Enlèvement et séquestration [Nagasaki]

Je le sens venir en moi; Je me penche car la douleur est horrible lorsqu'il me pénètre. Hurle et je laisse couler quelques larme. Bien que je sois saoul ceci m'est douloureux. Le pire était que j'étais entrain de dé-cuiter d'où les cris de douleurs atroces qui se faisaient entendre. Je n'étais pas conscient de ce que je faisait mais je n'étais plus aussi saoul. J'étais comme dans un état second. son membre est gros, J' hurle a chaque fois qu'il remue en moi. Ce n'étais que la seconde fois que je me faisait prendre par un homme mais celle-ci celle avec Matsuo était violente. La première fois j'avais connu cela avec douceur et tendresse de la part de mon partenaire. Je me cambre encore. Mes main serres fortement le rebord de la table face a moi. Dieu que j'ai mal. Même s'il vient doucement en moi il n'est pas tendre pour autant. Je tente de me retenir de crier. Je le supplie d'arrêter car cela fait mal. Je ne pourrais pas tenir bien longtemps a ce rythme là. J'essaie de m'enlever de son membre et m'avança mais il me retient pour s'enfoncer d'avantage en moi ce qui me fait lâcher a plusieurs reprise des cris de douleurs. Même si ce qu'il me fait me plais j'ai mal. D'ailleurs il peut remarquer que je suis entrain de saigner. Il remarque aussi que mon petit trou n'avait pas été beaucoup visiter vu que j'étais encore tout serrer de l'intérieur. Je couine chaque fois qu'il remue en moi avec violence. Il m'avait prévenu je le sais.

" Stop! J'ai mal *hic*"

Je lui répète sans arrêt ces mots. Cela dure depuis une très long moment déjà. Je ne tient plus je suis fatigué et sa violence n'arrange pas forcément les choses. Je n'ai plus de force alors je me laisse tomber me retrouvant les fesses en l'air et lui me prenant toujours. Je suis vider en plus j'ai mal car je ne peux pas jouir. Mon membre se gonfle je suis a bout. Je suis tellement fatigué et j'ai tellement mal que je fini par sombrer dans l'inconscience juste après que mon maître joui en moi. Je suis recouverts de sa semence, il doit être fier d'avoir pu se libérer. Il doit aussi savoir qu'il ma déchirer les enrailles de l'intérieur et abimer et ne se généra pas pour recommencer. Grâce à lui j'ai également plein de bleues et de courbature dans tout le corps. Lorsque je me réveillerais de nouveau sobre je sentirais toute ses douleurs me parcourir. Mais pour le moment je suis inerte. Je ressemble a un mort. Quelle honte pour moi. J'espère juste que ma famille ne saura jamais ce qu'il se passe ici. J'aurais la honte de ma vie et ne voudrais plus jamais sortir ni voir quelqu'un de peur d'être dévisager et montrer du doigt. Je suis la honte d ela famille. Je le savais déjà ça ce n'étais pas nouveau mais là j'étais tomber encore plus bas que terre.

Quel plaisir d'entendre les cris de son esclave alors qu'il se fait prendre avec violence, Matsuo adorait entendre ces déchirements, ces gémissements, c'était si agréable qu'il ne se gênerait pas pour recommencer. Seulement, peut-être que la prochaine fois, il serait plus doux car selon toute vraisemblance, Nagasaki n'avait pas été beaucoup "visité" ces derniers temps, il pouvait le sentir. Nagasaki se crispait et serrait les fesses, ce qui faisait que Matsuo était obligé de forcer un peu... non disons le franchement, il forçait beaucoup pour parvenir à le pénétrer entièrement...

Il entendait ses plaintes, ses demandes incessantes pour qu'il arrête ajoutant qu'il avait mal, mais n'était-ce pas un peu de la faute de son esclave? N'était-ce pas lui qui l'avait chauffé? Hé, on ne récolte que ce que l'on a semé, rien de plus et c'est tout simplement la douleur que Nagasaki aura reçu, rien de plus... ah si, son sperme aussi, il avait investi son antre.

Il savait bien qu'il voulait venir, mais le petit tube en plastique l'en empêchait, alors tout gentiment, Matsuo avait glissé ses mains sur le membre de son esclave et lui avait retiré ce qui l'empêchait d'éjaculer et à sa surprise, il l'avait fait, même si Nagasaki semblait être devenu inconscient... le pauvre, s'il restait avec Matsuo, il n'allait pas arrêter de s'évanouir...

Matsuo, après s'être retiré de son esclave, prit un couteau et libéra les chevilles de son esclave avant de saisir la laisse, il tira assez violemment pour le réveiller, il approcha son visage assez proche du sien pour lui faire peur, tout simplement.

"Oh Nagasaki, réveille toi, je vais pas te porter. Allez bouge ton cul et ouvre les yeux!"

Je ne pouvais pas me relever. Matsuo m'avait complètement défoncé. C'était le cas de le dire. Je saignais lorsqu'il se retira de moi. C'était ma faute aussi je n'avait pas à le provoquer. Quand on est saoul on ne peut prévoir ce genre de chose. On s'en rend compte lorsque l'on décuité et demain matin j'aurais la plus belle honte de ma vie lorsque je vais me rappeler ce qu'il c'est passé. Si je ne m'en souvient pas, la douleur sera là pour me le faire savoir. Voyant que je ne répondais pas, Matsuo comprendrais que je ne jouais pas la comédie. Même si j’avais été réveillé je n’aurais pas pus bouger d’un millimètre. Le lendemain je me réveille. Je regarde autour de moi, je ne connais pas cet endroit. Où suis-je ? je me redresse et grogne suite au douleurs que je ressens. Je me regarde je suis horrifier de voir que je suis quasiment nu. Je me touche le cou et remarque enfin la chose autour de mon coup. Je me demande ce que cela peut être. Lorsque je veux détacher ce qu’il me gène, je remarque que je suis ligoté. Mes poignets sont reliés par mes liens aux barreaux de lit. Je tire dessus mais rien a faire. Pour mes jambes je remarque que c’est pareil. En voyant cela je panique. De plus je suis nu sous les draps. Où sont mes vêtements ? Je regarde et ne vois rien. Je panique encore plus car je me souviens de la soirée d’hier soir. Quelle horreur ! Comment ais-je pu agir ainsi. Et tout ça a cause de quelques gouttes d’alcools. Je soupir et j’ai honte. Je me réparer parfaitement ce qu’il c’est passé. Maintenant je vais devoir assumer mes actes si je ne veux pas nourrir. Je m’en veux car lorsque je bois je sors des atrocités et des suggestions indécentes comme le fait de servir d’esclave sexuel a Masato. Mais qu’est-ce qu’il ma prit. En plus ce salle flic a prit à lettre mes mots et les a exécutés. Remarque c’est mieux que d’être mort. Mais la situation ne me plaît absolument pas. Que vais-je faire maintenant. Je ne peux même plus revenir en arrière. Le plus simple serait d’obéir à Matsuo. Le fait que je sois prisonnier chez lui et que cela peux permettre d’avoir la paix entre nos deux clans j’accepterais de supporter ça. Par contre il ne faudra pas me demander de sourire comme avant et de garder mon côté joyeux. Se faire prendre tout les jours n’aura rien d’amusant.

Je suis réveillé, mon ventre grogne et réclame à manger. Je rougi de honte car ma posture et la situation dans laquelle je suis n’arrange pas les choses. Je soupire. Je veux qu’on me détache je ne pourrais supporter bien longtemps d’être ligoté.

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