Enlèvement et séquestration [Nagasaki]

Le pauvre Nagasaki ne savait pas ce qu'il se passait, il pensait qu'il s'agissait de Charles le chauffeur, mais en fait, il s'agissait de Matsuo, le flic tortionnaire, Nagasaki pensait être en sécurité, hors la sécurité n'était qu'une chose minime ici, il était peut-être en sécurité lorsqu'il était à coté de son garde du corps, mais une fois le garde du corps "supprimé", Nagasaki serait en danger et ce n'était rien de le dire.

Il écoutait les mots de sa jeune victime, il savait que ce n'était pas le chemin, mais il ne dit rien de plus, bien au contraire, il semblait ne pas se rendre compte du danger et c'était bien dommage pour un Sawada.

Matsuo pensait vraiment qu'ils étaient un peu plus méfiant, Nagasaki était comme cela, il avait donc bien trouvé sa victime, avec lui, le clan Sawada aurait du mal à penser normalement. Matsuo savait également qu'il y avait un risque qu'on le trouve mais étant un flic, un Sawada serait un stupide de s'en prendre à lui, surtout que rien ne relierait sa disparition à lui, il était donc tranquille.

Finalement, Matsuo roula jusqu'à arriver à une ruelle, une ruelle bien spécifique car c'était ici qu'il passait à l'acte, c'est ici qu'il s'amusait sadiquement. Le seul problème qui restait était le garde du corps, comment le faire sortir de la voiture? Matsuo sourit, sortit son arme, baissa la vitre qui le séparait de sa victime, sa froideur et son sadisme étaient marqué sur son visage, il visage le garde du corps et tira en pleine tête.

"Je n'aime pas les témoins Nagasaki... Pourquoi ne pas avoir pris en compte la menace qui pesait sur toi? Tu n'es plus en sécurité... alors dis moi, que penses-tu qu'il va se passer maintenant? Vas-tu finir comme ton garde du corps? Je te laisse deviner..."

La peur la panique se lisait sur mon visage. Cet homme avait parfaitement bien calculer son coup. Il n'était pas flic pour rien aussi. Je vois mes derniers instants se produire je le sens. Je suis coincé et ne peux sortir sans dommage de la voiture. Je regarde les portes elles sont toujours verouillées. Je n'ai aucune issiue. Je le cache mais mais j'ai peur. Mon garde du corps viend d'être assasiné et ce salle flic me demande ce qu'il va se passer, la bonne blague. C'est lui qui a les commande en mian et il ose me le demander l'enfoiré. Je le foudroit du regard. Si mes yeux avec des revolvers ils serait mort à l'heure qu'il est. Pourquoi moi? Je ne me suis jamais méler au affaires de ma famille. Pour ce flic l'ennemi n°1 de ma famille ma choisi moi ocmme victime. S'il veut des information il est mal barré parceque j'en est aucune. Je ne sais rien.

" Si vous voulez des informations , vous perdez votre temps je n'ai rien. Alors autant me tuer maintenant vous en mourrez d'envie."

Aller qu'il se dépèche au mons ça ser fait. Je tremble car je n'ai pas envie de mourire. Je veux revoir encore mes frères et mon père. Il me regarde toujours j'en est assez mais qu'est-ce-qu'il veut enfin? Je me rends compte que je fais un bien pètre fils Sawada. Je fais honte à mon père. Je baisse la tête et laisse couler quelques larmes sur mes joues en y pensant. Je suis vraiment stupide. Mon ravisseur doit bien rire au fond de lui de me voir ainsi dans cet état mais peut importe je m'en fiche. A l'heur qu'il est je me rend compte qu'en peut de temps j'ai tout perdu. Je n'en peut plus de cette situation elle me pèse. Je releve la tête et regarde mon raviseur qui joui de ma situation.

" Qu'attendez-vous? Je sais que vous désirez me supprimez, pourquoi attendre en me demandant ce qu'il va se passer? Je ne suis pas stupide mr"

Je lui crache mon venin. Je sais qu'il en a rien a faire. Il doit être déçu lui aussi je sais je deçois beaucoup de monde ce soir. J'aurais du suivre les instruction de mon père, suivre les cours de combats, être plus intereressé par les affaires de la famille mais non j'en ai fait qu'à ma tête encore. Je serre les poings pres a recevoir ce qu'il va m'arriver. Ho je le sais il va me tuer enfin je crois alors je m'y prépare. Sois ça soit la torture. L'un ou l'autre je ne lui ser à rien vu que je ne sais absolument rien. J'ai horiblement peur et j'assume.

Matsuo était satisfait de la réaction de Nagasaki, il pouvait voir la peur et la panique sur son visage après avoir tué son garde du corps, c'était satisfaisant, il était vraiment content de voir cela, il avait pu mettre sa victime en condition, c'était ce qu'il aimait, il adorait voir la peur et s'il ne l'avait pas vu, il aurait été déçu, il aurait trouvé que Nagasaki était plus fort qu'il n'y paraissait, mais il aurait trouvé un autre moyen pour lui faire peur.

C'est donc avec un sourire sadique qu'il observait sa proie, il savait que la disparition de Nagasaki ne tarderait pas à se faire connaitre, mais il n'avait rien à craindre car si les Sawada s'en prenait à lui, il n'hésiterait pas à tuer Nagasaki, mais il s'amuserait avant, c'était le but du jeu après tout.

"Tu crois vraiment que je suis là pour des informations? Je sais que tu ne sais rien et il y a d'autres membres de la famille qui en savent beaucoup plus. Je ne vais pas te tuer, pas tout de suite tout du moins... ta mort ne m'apporterais rien, et puis un Sawada a plus de valeur en vie que mort... sois rassuré, tu ne finiras pas comme lui, tu es en sursis..."

Il lui montra le garde du corps, du sang coulant le long de son corps, tâchant la banquette en cuir, il soupira car il serait difficile à nettoyer cela, il le savait, il l'avait fait plusieurs fois depuis qu'il avait commencé.

Il pu voir les larmes couler le long des joues de Nagasaki, cela l'enchanta mais d'un coté il était déçu, il le pensait un peu plus fort que cela, il semblait avoir peur de mourir, c'était étrange pour un membre de ce clan, Nagasaki semblait être né dans la mauvaise famille...

"Ressaisis toi Nagasaki, je vais te demander une chose... tu vas porter le corps de ton garde du corps... tu préfères quoi? l'enterrer ou bien le dissoudre? Je te laisse choisir... mais sois assuré que c'est toi qui fera le travail... comme ça, tu te rendras compte de ce qu'il t'arrivera si tu t'enfuis ou si tu ne fais pas ce que je dis... Quelle est ta réponse?"

Je le sais, je fais honte a voir et je me fais honte. Quel déshonneur pour moi de me retrouver dans cette situation alors que je suis un Sawada. Alors comme cela il ne va pas me tuer de suite la bonne blague. C'est ce que je croyais, il va d'abord me faire souffrir j'en suis sur. Il va me rappeler tout les jours que je lui appartient désormais. Il veux que je devienne fou. Je suis un oiseau en cage, incapable de retourner vers les siens. Mes frères me manquent. Je m'essuies les larmes qui ont coulées sur mon visage et je prends une grande inspiration. Je m'en fou de décevoir mon ravisseur, qu'est ce que cela peut bien lui faire? Je le regarde de nouveau et lui répond sèchement.

" Je veux l'enterrer bien sur question."
" Mais pas ici, ce serait un déshonneur pour lui. "
" Il vivait près de chez moi au bord d'un lac je veux l'enterrer là-bas.
" Et non je ne tenterais pas de m'enfuir. Je ne suis pas stupide pour mourir de façon idiote et inutile."

Je continue de le regarder tout en lui parlant. J'ai repris mes esprits. Certes je suis prisonnier pour le moment mais un jour je sortirais. Je garde confiance. Contrairement a certain membre de ma famille moi je suis apprécier et l'on remarquera très vite mon absence inhabituel à certains lieu. Et surtout le fait de ne pas prévenir. quand je change de programme ou m'absente j'avais pris l'habitude de toujours prévenir . si je ne le fait pas c'était que quelque chose de grave se passait. De nouveaux je l'interroge du regard. Et lui demande ce que je voulais lui dire.

" Une fois que j'aurais fais tout cela que vas-tu faire de moi, si tu dis que je vais vivre encore un certain moment."

Je suis curieux de savoir les projets qu'il a à mon égard. Je ne le comprends pas. Il était aisé pour lui de me tuer cela aurait détruit de chagrin quelques membres de la familles. Mon père serait surement devenue fou. Quoi que je me pose parfois la question s'il nous aimes mes frères et moi.

"Je ferais ce que tu veux, mais je t'interdis de t'en prendre a ma famille. Surtout à mes frères et mon père."

Matsuo était attentif aux mots de Nagasaki, il le regardait attentivement, son regard allant et venant entre le cadavre et sa victime. Il se mit à sourire lorsqu'il l'entendit lui dire qu'il devait enterrer son garde du corps près de chez lui au bord du lac, si Nagasaki pensait qu'il allait exécuter sa demande, il se trompait, Matsuo ne comptait pas le suivre dans cette affaire, Nagasaki était son "prisonnier" et le kidnappeur ne pouvait pas suivre le prisonnier, c'était l'inverse.

"Tu crois vraiment que je suis stupide au point de t'autoriser à faire cela? Non j'ai une meilleure idée..."

Un grand sourire sadique s'afficha, il avait une idée, une mauvaise idée, une idée glauque comme on pouvait souvent le penser et le dire.

"Je vais te dire ce que tu vas faire, tu vas le sortir de là et le découper en morceau, ensuite, les morceaux seront envoyé à la famille.... qu'en penses-tu? Tu prendras peut-être conscience que je ne suis pas Mr tout le monde et que tu cours un réel risque..."

Il n'attendit pas longtemps avant de l'entendre lui demander ce qu'il allait faire de lui après avoir fait ça... c'était une bonne question mais Matsuo n'allait pas lui répondre, enfin si mais il n'allait pas lui dire ce qu'il allait faire de lui, il ne voulait pas dévoiler son plan sinon Nagasaki pourrait savoir comment déjouer son plan.

"Pour ce qui est de savoir ce que je vais faire de toi, tu devras attendre, je ne compte pas te le dire, on va dire que ce sera une surprise..."

Puis Matsuo se mit à rire quand Nagasaki lui interdit de toucher à sa famille, en contre partie, il ferait ce qu'il voudrait, cela était intéressant, Matsuo ne comptait pas toucher à la famille Sawada et il avait bien prévu de donner des ordres à Nagasaki pour faire ce qu'il voulait.

"Ne t'inquiètes pas pour ta famille, elle aura juste peur de perdre un membre de sa famille et pour ce qui est de ta proposition, tu as peut-être eu peur de me le dire... je pourrais en profiter... mais peut-être que c'est ce que tu veux..."

Cet homme est vraiment horrible. Et ça se dit lieutenant de police. Quelle belle couverture pour ce démon. Alors il crois que je le prends pour n'importe qui. Déjà que dans ma famille on parle de lui comme l'ennemi N1 a abattre et il crois que je ne sais pas qui il est la bonne blague. C'est dommage qu'un être comme lui soit si horrible il aurait fait le parfait compagnon et papa n'aurait rien eu à dire. Au contraire vu qu'on aurai un espion dans la police grâce à lui. Mais bon passons. Puis cette idée de l'avoir pour compagnon me révulse alors j'éloigne cette idée de ma tête très rapidement. Découper quelqu'un qui fut l'un de mes plus proche ami jamais hors de question. Je ne manque pas de le lui faire savoir. Je le regarde.

" Peur de te dire ce que tu voulais, tu te fiches de moi là. Tu es comme les autre criminel même si tu es différent tu veux la même chose qu'eux."

" Argent, information, armes et je ne sais quoi d'autre encore. Mais une chose est sur je refuse de le découper je ne suis pas un meurtrier."

Est-il bête. Où le fait-il exprès? Comment veut-il que je cherche un moyen de m'enfuir alors qu'il ma sous la main. Je me doute qu'il a du poser quelques uns de ses hommes pour me surveiller et savoir où je vais si je m'échappe. Je le déteste. C'est pas tout mais en ces temps hivernale je commence a avoir froid. Je me frictionne les bras car cet imbécile a arrêter la voiture et donc tout coupé.

" Puis savoir que tu me possède ma famille le sais déjà. Je te signale que mon père était de la soirée et qu'il na pas du trouver ça normal que je ne revienne pas et que toi aussi tu es disparu. Il fera très vite le rapprochement. Pas besoin d'envoyer des morceau de mon garde du corps que tu viens d'assassiner."

J'en ai vraiment marre. Cette journée est la pire de toute. Dire qu'elle avait pourtant si bien commencée et dans la tranquillité. J'avais désiré me tenir éloigné des affaires de mon père D'être un Sawada unique en son genre respectant la loi. Même ça ce n'était pas suffisant. Alors même en ne se mêlant de rien un Sawada reste une menace pour ces ennemis. Je soupir. Je le regarde et ne n'approuve pas du tout sa façon de me regarder. on dirait qu'il est prêt à me sauter dessus. J'en ai la chaire de poule.

Matsuo écoutait attentivement les dires de Nagasaki, selon lui, il était comme tous les autres, même s'il était différent et qu'il voulait la même chose, hors c'est là que Nagasaki se trompait, il ne voulait pas d'argent, ni d'information, il voulait simplement jouer avec sa victime comme un chat jouant avec une souris avant de la manger... Matsuo était un chasseur et Nagasaki était sa proie, rien de plus, rien de moins, Nagasaki ne le connaissait pas, il ne savait pas comment il fonctionnait.

"Tu penses que l'argent ou des informations m'intéresse? Tu te trompes Nagasaki, je ne suis pas comme eux, il y a d'autres choses qui m'intéressent, l'argent et les informations sont futiles, ce que je recherche est simplement plus plaisant que tout ce que tu m'as dit. Pour ce qui est du fait que tu n'es pas un meurtrier, c'est peut-être vrai mais certains membres de ta famille le sont alors ce doit être dans ton sang... mais si tu veux pas, je m'en occuperai..."

Il se mit à sourire lorsqu'il lui dit le mot "possède", il ne le possédait pas encore, il se contentait de le séquestrer dans la voiture avec un cadavre comme compagnon... Il se retourna, prit une autre arme, y inséra une dose d'anesthésiant... il n'allait pas le tuer mais voulait juste voir sa peur face à la "mort"... Il se retourna et pointa son arme sur Nagasaki en souriant sadiquement...

"Et maintenant, tu vas mourir..."

Je panique en voyant le révolver. Par instinc je donne un coup de pieds qui lui fait lacher l'arme. Je la saisie rapidement et la pointe sur lui le regard noir de haine envers lui. Je le menace de me donner toutes les cartouches qu'il possède. Je tremble en pointant mon arme sur lui. C'est la première fois que je le fais. Je vide alors le chargeur et lui rend l'arme. Je lui explique que je ne vais pas m'enfuir. Il a du etre assez mali pour avoir des garde posisionner un peut partout autour d'eux. Je ne suis pas stupide. Naîf certe mais pas stupide. Mon ravisseur doit être surpris que je lui rendre l'arme. Il doit penser que je suis fou. Non je réfléchis. J'en ai marre de rester dans cette voiture ça me rend fou. Puis une idée me viens. Je saisis la cartouche anesthésiante et tente de la lui planté quelque part. J'aurais pu ainsi l'atacher et prendre le volant pour retourner là où je devais être habituellement.

Je me débat un long moment avec lui. C'est qu'il a de la force cet enflure. Pour quelqu'un qui ne sais pas se battre, je trouve que je me débrouille très bien. Enfin pas si bien vu qu'ilo arrive a me maitriser. Je le griffe, je le mort, lui donne des coups. Je ne pouvais me permettre de rester sans rien faire alors que j'avais une ocasion de retourner chez moi. Je hurle, je cris pour qu'il me lache quand je sens qu'il me plante quelque chose en moi. Je vois et c'est l'anesthésiant que je n'ai pas pui lui planter car je suis trop faible. Mes forces m'abandonne et je me retrouve allongé sur la banquette arrière de la voiture. Bien sur Matsuo avait pris le temps finalement de sortir le cadavre encombrant et de le mettre dans le coffre.

Je ne peux plus bouger. Je suis a sa mercie. Jai peur de ce qu'il va me faire pour m'ettre débatu sans pour autant avoir chercher a fuir. Je ne veux pas mourire. Mon esprit est toujour là mais mon corps ne m'obéis plus. Je deviens fou. Je ne supporte plus cette situation cela me gave. J'espère juste que mon père me retrouvera le plus vite possible, je veux rentrer. Quelle idée d'être aller à cette stupide soirée pour finalement me faire enlever. Je rage au fond de moi je suis furieux et bouillonne de rage. Finalement le lique faisant encore effet je sens mes paupière se fermer pour me plonger dans un sommeil profond. Par contre une personne ne connaissant pas ce qu'il m'arrive penserait que je suis dans le comma.
§Je suis donc plongé dans un profond sommeil. J'éespère jste me reveiller dans de meilleurs conditions que celle-ci.

*Ah le jeune c**

Matsuo regardait attentivement Nagasaki, le voila qui était à présent armé mais qu'allait-il faire? Lui tirer dessus? Le pauvre, il ne risquait pas de faire bien mal, le pire c'est qu'il lui rend l'arme, Matsuo le trouvait stupide d'agir comme ça, mais encore plus étrange, Nagasaki lui dit qu'il ne voulait pas s'enfuir... les autres membres du clan en aurait profité pour s'enfuir, comme ses anciennes victimes d'ailleurs, c'était assez étrange de le voir agir ainsi.

Le voila qui maintenant s'approche de lui pour lui planter l'anesthésiant, c'était très amusant à voir, il aurait bien rit mais malheureusement, Matsuo devait user de force pour maintenir ce jeune déliré et en profiter pour l'anesthésier afin de se débarrasser de lui.

Au bout de quelques minutes, Matsuo le maitrisa et n'attendit pas longtemps avant de venir lui planter l'anesthésiant dans l'épaule, il le laissa s'effondrer sur la banquette dans un rire sadique.

"Pauvre idiot, tu es trop faible pour me battre..."

Une fois certain qu'il était endormi, Matsuo sortit de la voiture, menotta Nagasaki dans le dos, mis le cadavre du garde du corps dans le coffre avec le chauffeur pour qu'il lui tienne compagnie. Il sortit Nagasaki et le posa à terre, contre un mur, il ressortit le chauffeur du coffre, le mit à sa place respective, lui mit la ceinture, mit le contact, passa une vitesse puis laissa la voiture partir, après avoir mis une petite bombe sous la voiture...

Il n'attendit que 5 minutes avant d'entendre une détonation, la voiture avait explosé avec le chauffeur et le garde du corps. Il prit Nagasaki dans ses bras puis l'emmena dans l'une de ses planques, là, il l'assis sur une chaise, le bâillonna, lui enlevant sa chemise et son pantalon, les chevilles attachées à la chaise comme ses poignets. Il s'assit ensuite face à lui et le regarda attentivement avant de se demander par quoi il allait commencer...

Au bout de quelques heures je me réveille. Je suis dans une mauvaise situation écore. Un mal de tête m'envahi dès mon réveille et je grogne. Je suis mal installer et quand je le remarque je panique. Je suis ligoté, bâillonné et attaché à une chaise à moitié nue. L’ incomprehension, l’interrogation se lisait sur mon visage. Je tente de défaire mes liens mais impossible c’est bien trop serré. J’ai peur et je suis encore coincé. Cette fois-si je tente de dissimuler la peur que je ressens. Je tire fortement pour tenter de libérer au moins un bras ; Je gigote comme un petit fou en grognant de rage. Le hic c que ma chaise bascule et je tombe un de mes bras ; Je grogne car je ne me suis pas loupé en tombant. Non de dieu ça fait mal.

Au sol je vois deux pieds. Je me pose des questions sur qui cela peut être, mais je sais déjà qui sait. Lorsque je lève mon regard qui sui les traits de ce qui forme la personne en partant des pieds je le vois lui. Je suis sur que c’est lui qui ma mis à nue. Je n’en crois pas c’est un vrai pervers celui-là. Maintenant il peu regarder mon corps fin et bien dessiné. J’ai froid en plus ais cela il doit bien s’en moquer. Etrange pourquoi ne mat-il pas encore tué. Qu’est-ce qu’il attend de moi. Je n’ai rien à lui offrir. A par de l’argent pour ma rançon et d’autre chose matériel. Mais que veut-il enfin.

Je me débats encore et parviens a retirer le bâillon sur ma bouche et je lui lance sèchement.

« Mais qu’est ce que tu veux enfin ? Et pourquoi suis-je a moitié nu ? »

Matsuo n'avait pas bougé durant ces quelques heures, il tenait à voir le réveil de Nagasaki, il voulait voir sa peur dans son visage, il tenait à ce qu'il voit son visage à la minute où il ouvrirait les yeux... Il avait pu le voir bouger dans tout les sens, grogner, se débattre pour finalement tomber sur son bras, Matsuo n'avait pas fait attention, mais il y avait un clou, clou qui s'était servi pour les dernières victimes...

Il n'avait pas bougé, il le voyait regarder ses pieds, il voulait voir ce qu'il allait faire et ce qu'il fit était amusant, il s'était débattu comme un démon pour s'enlever le bâillon, Matsuo, lui, regardait attentivement chaque parcelle de la peau de sa victime, il pouvait voir un léger filet de sang couler le long de son bras blessé par le clou.

Au final, il s'approcha de Nagasaki, se pencha et le releva avec la chaise, il lui caressait la peau désormais refroidit par la fraicheur ambiante, il se pencha et lécha le sang avec envie. Il savait que Nagasaki le prendrait pour un fou de le voir agir ainsi.

"Du calme Nagasaki, tu auras des réponses... je veux m'amuser avec toi c'est tout et j'ai une manière bien particulière de m'amuser... c'est pour ça que tu es à moitié nu... Regarde sur la table et imagine ce que je vais te faire..."

Il lui montra du doigt des couteaux, tenailles, fouet... j'en passe et des meilleurs... mais avant de le torturer, il voulait aussi assouvir un besoin naturel chez lui, il allait sans aucun doute le violer et faire de lui son esclave.

"Avant de commencer, je vais te retirer ce clou... qu'en penses-tu? Tu pourrais attraper une vilaine maladie et "partir" un peu plus tôt que prévu..."

J'ai peur, j'ai mal et tout va de travers depuis ma rencontre avec le lieutenant. C'est un bel enfoirée celui-la. Je me débat encore lorsqu'il me lèche le bras et me caresse. Il est fou. Comment dans la police on-t-il pu engager un type comme celui là? Pourquoi l'ais-je approché lors de cette soirée. Le clou planté dans mon bras me fais souffrir. Je capte qu'à moiter ce qu'il me dit. Je baisse la tête je sais ce qu'il compte faire je ne veux pas. Pourquoi ne me tue-t-il pas immédiatement. Je laisse couler quelques larmes sur mes joues me rendant compte enfin de la situation dans laquelle je suis. Je ne préfère rien dire car il fera ce dont-il a envie quoi que je dise. Mais j'ai horriblement peur des jours futurs.

Comme j'aimerais retourner dans ma famille, chez moi et profiter du bon temps offert à moi comme je le faisais avant. Si je sort vivant de ce cauchemar il est clair que je ne ferais plus jamais confiance à quelqu'un, que je serait distant et froid sans pour autant être seul. Je m'assurais d'avoir les meilleurs gardes du corps; Je me débat lorsqu'il me touche.

" Je ne veux pas mourir."
" Détachez-moi, je jure de ne pas m'enfuir."
" En plus j'ai froid."

Je sais qu'il va me rire au nez et me trouver stupide. Mais je m'en fiche. Je tente de ne pas trop regarder la table d'à côté. Je me sens si faible et nul. Pourquoi me torture t-il ainsi et ne m'achève pas. Ce serait tellement plus simple. J'ai une idée mais je doute qu'il accepte.

" Si je reste avec toi jure moi de ne pas toucher a ma famille. Je ferais en sorte qu'il fasse pareille"
" Au moins de cette façon *couinement de douleur* il n'y aurait plus de fusillade entre les deux clan."

Que je suis bête. Il va me rire au nez encore et me prendre pour un fou. Mais la j'ai vraiment mal. Je commence à avoir une forte fievre et a ne pas me sentir bien.

Qu'il est plaisant de voir la peur dans les yeux d'une personne, qu'il est plaisant de voir les larmes de sa victime, c'était tellement plaisant que Matsuo pourrait s'amuser à torturer le joli corps de Nagasaki pour le voir pleurer... Il n'était pas du genre à aimer se sentir supérieur aux autres, il était juste sadique et aimait faire mal, il n'était pas fou puisqu'il avait conscience de ce besoin.

"Mon pauvre Nagasaki, je devine ton regret de m'avoir rencontré... je sens cette envie de rentrer chez toi, je me trompe?"

Il pouvait le sentir se débattre quand il le touchait, pourtant c'était si agréable de sentir la douceur de sa peau, Matsuo allait adorer le toucher, il avait déjà apprécié le sang alors le reste risquait de l'enivrer.

Il finit par se lever avant de partir dans une autre pièce, il fit exprès de faire du bruit pour inquiéter un peu plus Nagasaki, puis il revient avec une bouteille d'alcool, il la posa sur la table à coté de ses "instruments", il prit sa chaise et s'assit à coté de Nagasaki, face à la plaie...

"Tu te répètes mon cher... Tu dois savoir une chose, ici, tu n'as pas le droit de vouloir, moi seul décide de ta mort... pour ce qui est de ta fuite, c'est simple, si tu t'enfuis, je détruis tout ce que tu aimes et je prendrai un malin plaisir à faire souffrir ta famille..."

Il l'entendit ensuite lui dire que s'il restait avec lui, Matsuo devait lui promettre qu'il ne toucherait pas à sa famille, c'était presque admirable de voir cela, Nagasaki était prêt à se sacrifier pour sauver sa famille?

"Presque admirable Nagasaki, je ne pensais pas que tu pouvais te prendre pour un martyre... tu serais donc prêt à rester avec moi? C'est étrange... Je doute cependant que ta famille reste calme en sachant que tu es avec un ennemi... Ne penses-tu pas comme ça?"

Il laissa un silence s'installer avant de prendre une tenaille, il l'approcha de la bouche de Nagasaki avant de lui donner un ordre...

"Ouvre la bouche! Tu ne sentiras rien..."

Quelle humiliation. celle-ci est cependant totale. Je n'ai plus rien sauf mon corps pour pleurer et encore même ça je ne l'ai plus. Il est fissurée a cause de ce type et du clou qui me fait atrocement mal. J'ai peur, j'ai froid et ms larmes ne cesse de couler. Je sais je suis faible et alors qu'est ce que cela peut faire.Lorsqu'il arrive avec cette grosse pince je recule, enfin j'essaie. Il me demande d'ouvrir la bouche alors je refuse et le supplie en l'appelant maître.

" Maître non, pitié "

Je me dégoute, j'appelle mon ennemi maître. Remarque lui qui voulait que je sache qui est le maître ici et qui commande c'est bien lui. Pas la peine de me torturer pour qu'il sache que je lui suis soumit. pour ce qui est de fuir il devrait savoir que je ne le ferait pas. J'avais l'ocasion de m'enfuir et pourtant je ne l'ai pas fait. Je le regarde et lui dit.

" Si ma famille voie que je vais bien et en bonne santé, il se tiendront a carreau si vous en faite autant."
" N'en avez vous pas marre de cette guerre stupide entre les deux clan?"
" Vous avez un moyen de la stopper grâce a moi pourquoi ne pas en profiter vous pourriez ainsi faire vos trafic tranquillement."
" Faites une vidéo de moi toute les semaines que vous enverrez à mon père. Si je vais bien il ne vous importunera plus lui est ma famille.

Pourquoi je parle; Je sais que cela ne va pas servir a grand chose. Pourtant j'espère au fond de moi avoir un peu de répits. Je tousse et je tremble toujours a cause du froid de la pièce. De plus ma blessure me fatigue énormément. Je doit avoir une salle tête a regarder. En plus j'ai faim, quelle idée de ne pas avoir mangé ce midi ni ce matin. Mon venre cri maintenant famine. Quelle idée dans un coin comme celui-ci surtotu avec un être froid et sans cœur.

Maitre? Matsuo ne pu s'empêcher de rire en l'entendant dire ça.

"Maître? Mets-y plus du tien si tu veux que je te crois..."

Il baissa la tenaille, il prit la bouteille d'alcool, il remplit ma bouche du liquide, prit le menton de Nagasaki et le leva, il posa ensuite ses lèvres sur les siennes, força l'accès à sa cavité buccale et laissa couler l'alcool dans la bouche de sa victime avant de l'embrasser langoureusement. Il renouvela l'expérience une seconde fois, tout en faisant cela, il saisit la tête du clou par la tenaille et tira d'un coup sec, il savait pertinemment que cela faisait mal, mais pourquoi croyez-vous qu'il l'a fait boire avant de faire cela?

"Voila qui est mieux, tu ne crois pas?"

Il prit du désinfectant, une compresse et du sparadrap, il nettoya minutieusement la plaie et posa compresse et sparadrap pour faire cicatriser la plaie. Il reposa le tout sur la table avant de se redressa, il posa sa main sur le torse de Nagasaki en le regardant avec envie.

Il l'écoutait lui parler de sa famille, lui conseillant de leur donner de ses nouvelles toutes les semaines, ce qui permettrait aux Sawada de se tenir tranquille... c'était assez amusant de voir cela, de voir avec quel tempérament, Nagasaki voulait éviter une effusion de sang.

"Franchement Nagasaki, je doute que ta famille reste sage même si je leur envoie une vidéo toute les semaines, ils feront tout pour te retrouver. Et cette guerre entre nos clans existe depuis longtemps... Je doute qu'il existe un moyen d'y mettre un terme et si un jour une paix se profile, je m'ennuierai... j'aime tellement torturer que ce serait lassant de n'être qu'un flic..."

"non pas d'alcool"

Je refuse qu'il me fasse boire je ne veux pas alors je me débat encore tout en regardant la bouteille d'alcool avec effroi. Je ne veux pas qu'il découvre par erreur l'un de mes points faibles. Lorsqu'il m'embrasse je sens le liquide qu'il me force a boire a deux reprises couler en moi et suivre son chemin. Il va maintenant découvrir que je ne tien pas du tout l'alcool. Il n 'y a pas que cela et il va très vite comprendre pourquoi. Après m'avoir fait boire et m'arrachant un cri de douloureux en retirant le clou dans mon bras je baisse la tête un moment. Quelques secondes après je la relève et lui sourit. Entre temps j'ai réussi a me dégager les bras je porte don ma main sur la sienne lui caressant le bras vers son col pour redescendre sur son torse par dessus la chemise. Arrivé vers les hanches je lui sourit et faufile ma main sous le vêtement de mon ravisseur pour lui caresser sans gène le torse. Il doit me prendre pour un fou de ne pas avoir tenter de m'enfuir mais il verra bien ainsi que je ne m'enfuirais pas. Enfin pour le moment avec l'alcool je suis mal barré et je fais n'importe quoi qui va m'attirer encore des ennuis. Je le caresse toujours et le regarde en même temps.

Mon autre main vient se poser sur son dos pour glisser vers sa nuque et le forcer a se pencher pour me permettre de l'embrasser fougueusement. A la fin du baiser je lui sourit et me lèche les lèvres. Je me caresse devant lui.

" Quel dommage que je sois attaché mon beau, on pourrai faire tellement de choses ensemble."
" Fais de moi ton esclave maître, tu ne le regrettera pas surtout en soirée."

Là c'est sur il sera surprit. Il ne mettra pas longtemps a comprendre que c'est l'alcool qui me rend comme ça. Là il pouvait voir qu'il n y avait aucune entourloupette. Juste les effets de la boisson qui me rende fou. J'obéis a tout ce que l'on me dit. Un vrai pantin mais je ne suis pas vulgaire ni pute je garde mon aspect sexy et sensuel. Si j'étais conscient je pense que je préfèrerais lui servir d'esclave que de mourir.

Matsuo avait entendu l'opposition de Nagasaki face à l'alcool mais il était trop tard pour lui car il l'embrassait déjà en déversant l'alcool dans sa bouche, il ne comprenait pas pourquoi il ne voulait d'alcool, cela lui permettait d'avoir un peu moins mal... enfin bon, cela n'avait pas empêché Nagasaki de crier lorsqu'il lui retira le clou, mais quelle idée aussi de bouger dans tous les sens pour se libérer... bref, Nagasaki n'avait que ce qu'il méritait, un point c'est tout.

A le voir baisser la tête, Matsuo pensait que la douleur était trop forte et qu'il s'était évanoui ou bien qu'il allait pleurer, comme il l'avait fait un peu avant. Ce qu'il vit par la suite, l'étonna, Nagasaki souriait, pourquoi? Etait-il satisfait de son sort? Il ne comprenait pas, mais ne tarda pas à comprendre, lorsqu'il sentit les mains de sa victime se balader ici et là sur son torse et tout cela, avant qu'il ne sente la langue de Nagasaki dans sa bouche...

Une fois fini, Matsuo écarquilla les yeux en le voyant se lécher les lèvres et se caresser... Matsuo regarda la bouteille et se mit à sourire, ainsi donc, Nagasaki ne supportait pas l'alcool? c'était bon à savoir, il pourrait devenir un bel objet sexuel... et vu la proposition qu'il lui faisait, Matsuo risquait de ne pas attendre bien longtemps...

Il débarrassa la table, s'éloigna de Nagasaki, puis revient vers son esclave avec un collier de chien... Il le lui mit autour de cou et l'embrassa fougueusement avant de venir lui détacher les chevilles... Il l'approcha de la table, le colla contre le bord de celle-ci, lui écarta les jambes pour pouvoir attacher les chevilles aux pieds de la table... Matsuo monta sur la table, tenant le collier par une laisse, il s'assit face à lui, entoura le torse de son prisonnier par ses jambes avant de lui dire en souriant...

"Et maintenant, esclave, fais moi plaisir..."

Il voulait bien sur lui parler d'une petite gâterie, voire une grosse, il n'allait pas laisser son esclave partir, il voulait le garder, surtout après cette nuit, si toutefois, il était satisfaisant...

"Si tu te débrouilles bien, je ferai peut-être de toi mon esclave, alors débrouille toi pour que je sois satisfais..."

Matsuo ne pu terminer sa phrase que j'entrepris déjà mes caresses sur son corps. Je me pense et embrasse le bas ventre de ce dernier; Je sors ma petite lange rose et le lèche a ce niveau n'oubliant pas de lui titiller le nombril pendant que mes mains elles s'attaquent aux boutons de son pantalon. Ravi d'arriver au bout j'abaisse les derniers vêtements qui me gène. Tout cela fait avec une main l'autre caressant toujours le torse sans oublier une partie. Mon autre main qui était occuper a lui défaire les vêtements viens d'abord titiller le bout du membre sorti de mon ravisseur. Je souris de nouveau et me penche pour commence à lécher son membre tendu face à moi. Je le fait de la même manière que l'on déguste un cornet de glace avec notre saveur préférée. Je me régale et ne manque pas de le lui faire savoir par mes caresses buccales toujours plus ardentes.

Lécher suçoter cela suffit maintenant, je décide de le prendre entièrement en bouche pour faire des vas et viens lents au début puis plus rapide; Je ne me gène pas d'aller lui caresser les alentours avec ma man libre; Je sais qu'il aime ça et j'en fier. Je le serais moins demain matin au réveil avec la gueule de bois que je vais avoir.

Je lâche le membre un instant très vitre repris de caresse par mes mains pendant que je fais dévier ma langue sur ses cuisses pour les remonter vers l'objet de mon désir pour le moment. Je donne un coup de langue bien long mais désireux pour m'attarder les le gland que je mordille sur la fente. J'enroule ma langue autour de son membre et reprend les mouvements tout en lui caressant les cuisses.

"Maître pourquoi m'attacher je ne vais pas partir."

Et c'est là que l'on dit vive les effets de l'alcool, demain je vais me souvenir de tout même si je suis malade et j'aurais très honte de moi. Je me verras avec le collier et la je ne répondrais plus de rien. Quelle humiliation ce sera. Mais ce soir ce n'est que du plaisir grâce à cette foutue bouteille de liqueur du diable. Quel poison.

Matsuo ne pouvait qu'apprécier ce que lui faisait Nagasaki, il tenait toujours la laisse d'une main tendit que son autre main caressait les cheveux de son esclave, il trouvait qu'il se débrouillait bien, c'était étonnant de le voir agir ainsi et tout cela grâce à quelques gorgée d'alcool...

Il était déjà bien excité en le voyant torse nu mais là, on peut dire que son membre était bien dressé, le corps de Nagasaki était si sensuel et le voir le chauffer ainsi avait un bon effet sur lui. Matsuo frissonnait lorsqu'il sentait la langue sur ses cuisses, c'était un endroit sensible pour lui, et les gémissements commençaient à se faire entendre, il trouvait ça si bon qu'il ne pouvait pas se taire...

"Nagasaki, tu es doué... continue comme ça et je te garde à mes cotés..."

Il était sincère, il le garderait comme objet sexuel, l'utilisant pour assouvir son besoin... Il laissa échapper un petit cri lorsqu'il lui mordilla le gland, il se pencha en arrière en se mordillant la lèvre inférieure, c'était si bon...

"Pourquoi t'attacher? Parce que je vais te prendre mon cher, je vais te prendre violemment pour te faire crier de plaisir... tu aimes avoir mal Nagasaki? Car avec moi, ce sera le cas, je ne serai pas tendre..."

Toujours aussi saoul je continuais mon traitement agréable sur le corps de mon tortionnaire. Il ne pouvait que apprecier vu ce que je lui faisait. Ace moment là je me fichait qu'il soit doux ou tendre du moment que je pouvais exercer mon envie soudaine de le satisfaire. Lorsue je suis dans cet état je me plais a être ce que je ne suis pas. Mais de l'autre côté cela me joue parfois des tours a mes réveils. Et demain matin sera très dur pour moi.Je souris car je me moque de ce qu'il peut dire, je ne retiens jusque que les compliments.Déjà que je suis saoul il ne m'en voudra pas. Je continue donc mes gâteries et le regarde.

" je sais que mon corps vous plais, si vous me gardez maître il sera entièrement a vous."

je continue de lui lécher le membre avec envie. Je veux qu'il vienne il na pas le droit de rester de marbre alors que je sais que ça lui plait. Je torture son membre surtout le bout je sais qu'il ai sensible à ça. Ensuite ma langue repars sur ses cuisse que je mordille et léche avec gourmandise. Pareillement mon autre bien est bien occupée ailleurs je touche tout ce que je peux je ne laisse aucune partie de son corps disponible laisser intouchable. Je le veux et je le goute avec plaisir.

En parlant de faire mal je souris et lui mort un peu son membre pour lu laisser un superbe suçon a cet endroit. Je souris encore et souffle dessus, mais je grogne car mon maître ne vient pas. Je le regarde et boude.

" Maître vous n'aimez pas?"

ha lala a l'alcool me fait faire et dire vraiment n'importe quoi . Il va me prendre pour un fou si ce n'ai pas déjà le cas.

Franchement, c'était génial, on kidnappe le fils Sawada, on le fait boire et peu de temps après, il agit de façon sensuel et n'hésite pas à venir vous chauffez... Il était maintenant en train de lui faire une gâterie et vraiment, il se débrouillait bien, mais Matsuo n'était pas du genre à "venir" comme ça, il voulait en profiter au maximum.

"Tu as raison, ton corps me plait... mais resteras-tu avec moi une fois que tu auras décuité? Remarque je pourrais te faire boire pour que tu continues à me faire plaisir..."

Matsuo se met à gémir lorsque Nagasaki se met à lui torturer son membre, il serra un peu plus ses jambes autour de la taille de son esclave lorsqu'il lui lèche les cuisses et les mordille, Matsuo avait du mal à se contenir, il avait envie de "venir", il voulait remplir sa bouche de sa semence, il voulait encore se satisfaire et il allait le faire...

Il l'écoutait lui demander s'il n'aimait pas, Nagasaki semblait frustré de ne pas le voir "venir", mais chaque chose en son temps, alors que Nagasaki continuait de torturer son membre, Matsuo saisit la laisse, la tirant vers lui pour que Nagasaki reprenne son membre en bouche et il ne fallu que peu de temps avant que Matsuo se "lâche" dans sa bouche en laissant échapper un râle de plaisir...

"Je vais peut-être te garder... tu es doué..."

Enfin ce que je voulais arriva; Je souris lorsque je me pris la semence de mon maître. Je le regarde lui souriant toujours et avale le tout. Je m'en lèche même les lèvres. Je lui montre ainsi que j'ai apprecier. Je recommence a le caresser là où il est sensible et lui mordiller les cuisses car je sais qu'il aime ça je l'ai tout de suite vu. Je me relève et me frotte contre lui. Je marmonne quelque chose qui pourrais lui plaire à entendre. Enfin selon mon point de vu c'est ce que je crois.

" Hic Alors faites-moi signer un contrat hic d'appartenance hic qui stipule que je n'ai pas le droit de vous quitter hic."

Je touche le membre de mon maître du bout des doigts et je me met par moment a lui souffler dessus. Je pose ma tête sur les cuisses de mon maître attendant de récupérer un peu. Je me met a bailler et a fermer les yeux. L'alcool me tourne la tête je ne me sens pas très bien; J'ai même des haut le cœur, ce qui me réveil alors que j'allais m'endormir. Je suis entrain de dé cuité. Je vais dormir jusqu'à au moins demain matin. Le mieux serait que le maître m'installe dans une chambre même s'il doit me ligoter au barreau du lit sinon comment je vais faire pour le satisfaire.

Au pire il peut me vêtir d'une tenue de cuire je suis sure qu'il adorait ou sinon me laisser nu pour me contempler a souhait.

Matsuo était content de voir que Nagasaki avalait toute sa semence, pourtant ce sourire ne lui plaisait pas, certes, Nagasaki allait très certainement devenir son esclave sexuel, son jouet, mais une chose le dérangeait, son esclave ferait tout ce qu'il lui dit? Se dévouerait-il corps et âme pour son maître?

Lorsqu'il lui mordille les cuisses, Matsuo eut un réflexe et serra encore plus le torse de son esclave entre ses jambes, mais il se détendit lorsqu'il entendit la proposition qui l'enchantait. Un contrat? Pourquoi pas... c'était une idée intéressante et si ce contrat est signé, Nagasaki serait obligé de rester avec lui, sans aucune possibilité d'échappatoire... mais les contrats sont souvent à double tranchant, Matsuo ne devait donc pas faire d'erreur...

"En plus d'être mignon, tu as de bonnes idées... mais tu n'auras aucune possibilité d'échappatoire, une fois signé, tu m'appartiendras pour le restant de tes jours, même ta famille ne pourra rien y faire... j'adore cette idée..."

Puis Matsuo sentit la tête de son esclave se poser sur sa cuisse, il ne voulait pas qu'il s'endorme, il ne l'avait pas pleinement satisfait et un esclave digne de ce nom se devait de satisfaire les désirs de son maître avant de pouvoir vaquer à ses occupations.

"Tu m'appelles "Maître" et pourtant, tu t'endors, si tu continues comme ça, je risque de te tuer Nagasaki... Te tuer ne sera pas un problème, mais souhaites-tu réellement mourir?"

Dès lors, Matsuo se releva, descendit de la table, se mit derrière lui et tira violemment sur la laisse pour que Nagasaki se redresse. Sans ménagement, Matsuo inséra deux de ses doigts dans l'antre de son esclave, il avait envie de lui et sans possibilité de se libérer les chevilles, le pauvre Nagasaki ne pourrait que souffrir ou aimer se faire "prendre" par Matsuo... Il approcha ses lèvres de son oreille et lui murmura des mots que lui seul pouvait entendre :

"J'en ai pas fini avec toi esclave... laisse moi entendre tes cris que je puisse jouir de ma supériorité..."

Lorsque mon maître tira sur ma laisse je gémi et me redressa donc aussitôt. Je grogne quand il insère un doigt violemment en moi ca me fait mal au début mais j'aime ça. . Je me cambre et place mes paumes de mains sur le rebord de la table. Je gémi puis me recule pour être mieux empalé sur son doigt et je me même a remuer dessus. Les mains lire je fais en sortes de caresser mon tortionnaire partout où je peux. Il est si chaud. Je me tortille contre son torse et fais tout pour que je sois désirable a souhait pour lui. Je tourne ma tête vers lui comme je le peux et l'embrasse avec fougue. Je lui susurre également.

" On pourrait continuer dans un lit non? *hic* tu pourrais mieux m'attacher *hic* Comme par exemple au barreaux du lit"
" C'est mieux que là non *hic*"

Je fais en sorte de me tortiller, de me caresser mon rendre plus que désirable et que mon tortionnaire accepte ma proposition. De plus que dans un lit on est confortablement installé. je fais en sorte de bougr sur les endroits de son torse encore sensible puis je me retire de son doigt pour me tourner vers lui. Je me lèche les lèvres. Il n y a pas à dire, un lit est mieux pour faire ce genre de chose. Je sais que c'est ce qu'il veut. Mon instinct de bourré ne me trompe pas. Là je sais que ca va lui plaire. Je reste toujours sensuel sans tourner dans la provocation. Je me lèche les lèvres et l'agrippe avec un bras sa hanche. Je l'approche vers moi et me met a lui caresser chaque parcelle de peau tout en restant contre lui. Quel délice de voir ca et de gouter à ca. Il peut le sentir mon corps et en feu et désir mon tortionnaire. J'ai envie de lui également, mon membre réclame satisfaction vue comme il est dressé. De nouveau face a lui je me met a lui lécher le torse allant titiller ses bille de chaires entre mes dents et jouant dessus avec ma langue. décidément il a bien fait de me réveiller car la je ne suis plus endormi même si j'ai encore mon mal de tête affreux mais bon ce n'est pas très important.

"Si n allait dans la chambre *hic* on se filmerait*hic*et on pourrait revoir après nos ébats *hic*"

Je n'avais pas encore réalisé l'ampleur de mes propos; Si Masato faisait ce que je lui disait s'en était fini de moi. Il pouvait très bien envoyer ces vidéo a ma famille et les faire changer avec ça. Je serait tellement humilier que je devrais rester ici et je ne voudrais plus jamais sortir. Il est donc très dangereux pour moi d'être saoul car je donne de très très mauvaises idées sauf ce pour qui ça arrange

Matsuo avait adoré entendre le grognement de son esclave lorsqu'il lui avait enfoncé deux de ses doigts dans son antre, mais il y avait une chose qui l'étonna, c'était de sentir le corps de Nagasaki se reculer puis commencer à se remuer comme pour sentir encore plus ses doigts, comme s'il en voulait plus... Matsuo sourit à cela car si son esclave aimait ça, il n'allait pas l'épargner et risquait de le prendre, encore et encore jusqu'à ce que ce soit l'esclave qui en redemande...

Il se laissa faire lorsqu'il le baiser fougueux de son esclave à son égard, c'était amusant car c'est comme si le fait de l'avoir fait boire l'avait rendu sexuellement actif et très demandeur, c'était vraiment intéressant et Matsuo allait très certainement utiliser cette ruse pour parvenir à ses fins, même s'il ne le faisait pas boire, il abuserait de lui...

A la demande de Nagasaki et de son envie de se retrouver attaché au lit, Matsuo saisit le collier et le tira en arrière pour venir embrasser violemment son esclave, lui mordant la lèvre avec envie.

"Ton idée est intéressante mais non, pas aujourd'hui, je vais te prendre ici et maintenant, je vais te prendre encore et encore mais avant de te prendre, je vais t'empêcher de jouir..."

Matsuo se mit à rire sadiquement, il retira ses doigts, alla dans la cuisine et prit un tube en plastique assez fin, il revint vers son esclave, saisit son sexe et y inséra le petit tube pour empêcher son esclave de jouir et d'éjaculer... petite punition? Ou simple sadisme?

"Voila, maintenant que c'est fait, je vais m'amuser à te prendre..."

Il se remit derrière lui, écarta ses fesses et enfonça son membre doucement mais avec violence car il n'avait pas préparer son petit trou, mais il y avait été relativement doucement pour l'entendre grogner de douleur. Il l'écoutait lui parler de caméra, qu'il pourrait les filmer pour revoir la scène... seulement, ce que ne savait pas Nagasaki, c'était qu'il était filmé en ce moment même... C'était une sorte de protection pour Matsuo, il ne risquait rien car cet endroit lui appartenait mais il avait utilisé de faux papiers, un faux visage pour acheter cet endroit, ainsi, personne ne remonterait jusqu'à lui.

"Mais tu es filmé mon cher... tu ne le vois pas, mais tu es filmé depuis ton arrivée en ces lieux... je pourrais même envoyer ces vidéos à ta famille, je suis certain qu'ils apprécieraient de voir le fiston se faire prendre comme à cet instant... A ton avis, je devrais leur envoyer une vidéo?"

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