Un premier jour pas très satisfaisant. [Nagasaki Sawada]

Une journée comme tant d'autre, le soleil se lève les oiseaux chantent et moi je continu de dormir. Si il y a bien une chose que je ne supporte pas c'est bien que l'on me réveil avant l'heure. Le soleil brille si fort, le ciel est si bleu et sans nuage. Après une minute de sommeil suplémentaire je me lève. Quoi?! Vous avez un problème avec moi?! Pourquoi je n'aurais pas le droit de me lever à la minute précise?! Je me levais donc, m'étirais de tout mon long et me dépêchais. J'observe mon lit défait avec envie mais le respect des horaires est très important du moins de mon point de vu. Je range rapidement le peu de desordre, il n'est que cinq heure et demi j'ai le temps.

Du temps pour quoi? Et bien il semble qu'un certain hôte ai eu le grand bonheur de m'avoir pour servant. Oui, j'ai bien dit "servant" et non, je n'ai en aucun cas le désire d'être assimilé à un esclave ou autre. Je ne fais pas cela pour le plaisir, je fais cela car des métiers que le club proposait c'était l'un des rares qui était adapté à ma situation. Je ne voulais pas de "rapprochement quelconque" avec qui que ce soit et la proximité avec des inconnus ne me disait rien. Alors imaginer ma joie lorsque je découvrir qu'il existe un hôte tel que celui-ci! Tout cela pour vous expliquez que je dois me rendre à mon premier jour de travail et que je suis vraiment stressé.

Une fois ma chambre en ordre je file dans la salle de bain. Je passe rapidement sous la douche, shampoing à la rose vous connaissez? Il sent fort et dégage un délicieux parfum de rose, je l'adore. Une fois ma douche terminer je m'habille rapidement. Un pantalon en cuir noir par dessus lequel j'ajoute un kimono bleu et blanc. Pour me donner un style je retire toujours une manche. J'attrape ma brosse et je me coiffe de façon à être impeccable. Je ne supporte pas l'imperfection sur ma personne.

J'attrape mon sabre en bois que j'accroche à ma taille. Pourquoi? Et bien je suis un kendo-ka et puis surtout il vaut mieux être prudent. Je sors en faisant bien attention de ne réveiller personne. Dans les couloirs j'évite d'attirer l'attention, chose difficile avec mes cheveux blanc argent. Je sors à l'extérieur et je marche rapidement jusqu'à la demeure de la famille Sawada. Il semblerait que cet hôte loge en ce lieu. Je regarde le ciel, il est encore très tôt alors pour passer le temps je me promène. C'est dans le jardin que je termine, j'observe un moment les lieux. Chose à savoir sur moi mon visage est toujours neutre et mon regard noir toujours froid. Je sors mon sabre et je commence à m'exercer tout seul enfin peut être pas...

Je m’étais mis à l’entraînement, certes il était vrai que l’entraînement seul n’était pas aussi intéressant que l’entraînement à deux mais pour l’instant je faisais avec ce que j’avais. Je saluais l’espace face à moi comme si il s’agissait d’un dojo. Après tout il fallait toujours témoigner un minimum de respect à son lieu d’entraînement dojo ou pas. Pour aujourd’hui cet endroit allait être le lieu ou j’allais cultiver mon corps et mon esprit. Je pris mon bokuto long, ou sabre en bois long selon le long que vous préférez employer. Mon visage était toujours aussi neutre, j’étais très concentrer comme à chaque fois lorsque je pratiquais ce noble art. Le kendo demandait beaucoup d’effort de volonté comme de pratique, la théorie était foncièrement inutile dans l’amélioration des techniques de combat. Mon maître avait l’habitude de vociférer sans cesse, « PRATIQUE! PRATIQUE! PRATIQUE! ». Et il n’avait pas tort avec la pratique j’ai acquis ce qui me manquait mais comme vous vous en doutez la pratique est éternel et il ne suffit pas de pratiquer pendant un temps puis de s’arrêter. Bon tout cela pour vous expliquez que je prenais très à cœur mon entraînement et que j’y mettais cœur et âme. Alors vous imaginez bien que lorsque cet inconnu se mit à me parler, en réaliser je n’ai aucune idée de quoi il parlait et au fond je m’en contre fichait totalement. Mon sabre tranchait l’air, j’aimais le bruit qu’il faisait mes gestes étaient calculer au millimètre près et se faisaient souple et fluide. Après une bonne demi-heure j’étais totalement essouffler et j’avais été bien au-delà de mes limites. Je m’assis sur l’un des banc en pierre et je pris une grande inspiration. Comment cela une demi-heure de pratique n’était pas si épuisante?! Vous avez déjà essayer peut-être?!

"-Hé vous! "

Je m’étais adresser à la même personne qui avait tenter de m’interrompre lors de mon entraînement Comment cela il voulez m’avertir? Je m’en fiche totalement, se que j’ai retenu de sa courte intervention était qu’il a osé m’adresser la parole sans se présenter et surtout il l’avait fait alors que j’étais occuper! C’est franchement honteux de nos jours d’être entourer de personne aussi impoli et puis vous avez vu sa tenue il ne fait pas si chaud voyons. Comment cela je suis un rabat joie?! Je poussais un long soupire tout en secouant la tête de gauche à droite et je me relevais. Contrairement à cet individu des plus impoli moi j’étais bien élever. Je m’avançais vers lui m’arrêtant à deux mètres, il fallait toujours garder une certaine distance avec l’inconnu du moins c’était mon point de vu. Ma démarche était assez rapide, mes pas silencieux et je me tenais toujours bien droit sans jamais montrer le moindre défaut. Je m’inclinais alors mais légèrement après tout je ne connaissais pas cet individu . Mon visage était toujours neutre, mon regard toujours aussi froid et ma voix tranchante. Pourquoi je me comportais ainsi, je n’avais aucune raison particulière c’était juste ainsi.

« -Kobaya Tenshi, enchanté. »