[EVENT DE NOËL] sujet principal, début de l'event.

Une fois dans la voiture je soupire. Je remercie mon garde du corps qui avait très bien fait son travail. Je me met a sourire et me détend. J'ordonne a celui que je pensait être mon chauffeur habituel de me ramener à la maison. Me croyant en sécurité dans ma propre voiture je me détendit et ferma les yeux tout le long du trajet qui me ramenais chez moi. C'est bizarre le temps de trajet est beaucoup plus long que d'habitude, je réouvre les yeux et vois que le paysage est différent de d'habitude. Mais que fiche le chauffeur, ce n'ai pas dans ses habitude de se tromper. Je l'appelle via l'interphone de la voiture.

" Charles que fais-tu? Ce n'ai pas le chemin? La mémoire te jouerait-elle des tours?"
" Prends le chemin habituel voyons."

J' éteins et me réinstalle confortablement sur mon siège. Hum il fait chaud dans la voiture alors je déboutonne les premier bouton de ma chemise. Je Pose mon coude sur l'accoudoir et met en marche la radio. Je sélectionne ma station préférée et je me laisse allée. J' essais d'oublier ce foutu flic. Je me lance au garde du corps sans crainte qui est a mes côté, et suffisamment fort pour que mon chauffeur peut comprendre sans problème.

" Pourquoi avoir été accoster ce flic . Je me suis dévoilé comme un débutant et abrutit."
" Puis qu'est ce qu'il faisais là d'abord encore une salle affaire a résoudre je paris."
" Et puis zut. Pourquoi je parle encore de lui".

La voiture se stoppe et je m'apprête a descendre lorsque je remarque que les portières arrières son fermées. Je râle et demande a mon chauffeur d'arrêter les plaisanteries que ce n'était pas drôle du tout. Qu'est ce qu'il se passe encore ici. C'est énervant à la fin. Cette soirée n'était pas vraiment la meilleur. J'avais hâte quelle se termine en plus j'étais fatigué. Je grogne et donne des coups dans la portière pour qu'elle s'ouvre. Je ne supporte pas de me savoir enfermé. Je sors mon téléphone dans l'espoir de prévenir quelqu'un mais rien pas de réseau et en plus la batterie de mon téléphone est à plat. Décidément rien n'allait ce soir. Remarque il ne pouvait pas arriver pire que cela. C'était ce que je croyais.



[ pour la prochaine réponse Matsuo, il serait préférable de continuer ailleurs vu qu'on est sortie de cette salle. Juste tu m'enverra le lien de ta réponse par mp. Ce serait plus logique que de continuer là mdrrrr.]

Subaru fut surprit de la voir rire, sa lui donnait... Un charme.. Encore différent de celui qu'il avait. Il sourit lorsqu'il lui proposa de lui donner un nom. Il réfléchit un instant et son sourire s'élargit quand le bel inconnu lui avoua que se serait plaisant de le déshabiller. Il était heureux de voir qu'il amusait son compagnon. Il réfléchissait encore sur un nom qu'il pourrait lui donner lorsqu'il lui demanda les qualité qu'il avait. son regard brilla et il s'installa confortablement.


"Et bien... J'adore jouer... J'aime beaucoup jouer. Et puis... Si vous voulez quelque chose de plus normale, je joue un peu de violon. Si c'est pour autre chose... Il faudrait être autre part où aucune personne ne pourrait nous voir ni nous entendre..."


Les allusions de Subaru ce faisait devinaient facilement et c'était bien fait exprès. Mais le fait qu'il ne connaisse pas le nom de son interlocuteur le dérangeait, il ne pouvait pas mettre de nom sur lui et il aimait à dire le prénom des gens juste pour paraître un peu plus osée que les autres et justement leur montrer son jeux.


"Je vous donnerais bien un petit surnom, mais je doute qu'il soit à la hauteur de votre beauté... Et j'aurais peur de vous offenser..."


Il s'était légèrement rapprocher de l'homme et lui souriait largement une main posé sur le canapé et l'autre sur sa propre cuisse Cette homme l'intriguait, il était si mystérieux... Il aurait voulu en savoir plus, le connaître, lui parler le faire rire. Passer toute la nuit avec lui, même si cela avait été rien que pour discuter même si une nuit au lit avec lui ne le dérangerait pas du tout. Il se secoua intérieurement, à quoi il pensait, il devait penser d'abord au client et ensuite à lui. Ca marchait toujours comme sa au club. Mais sa l'aurait bien ennuyé de ne rien faire avec ce bel appolon... Vraiment...


"Pourrais-je alors connaître le nom du bel homme que j'ai face à moi ? Ou suis-je trop curieux ?"


La curiosité... Un sérieux problème chez Subaru qui est hyper curieux...

Subaru était un peu contrarié que l'inconnu ne lui dise pas son nom... Mais il semblait s'ennuyer. Subaru començait à se demander s'il en devait pas s'excuser mais son regard se fit curieux lorsqu'il parla du patron du club... Peut de gens pouvait connaitre leur patron et la personne qui était le plus apte à le connaitre était le chef de la mafia... Hors Subaru ne connaissait pas vraiment le visage du chef de la mafia vu qu'il était tout nouveau dans le quartier. Il fini par comprendre et ses yeux s'agrandirent, il comprenait alors cette impression, le charisme que dégageait cet homme... Il était vraiment qu'un idiot fini et un ignorant. c'était donc pour sa que les hommes et cet homme avaient rit. C'était parce qu'il connaissait le statu de leur patron et que le fais qu'un hôte ne le connaisse pas les amusaient. Il se laissa aller sur le dossier du canapé et soupira. Un sourire joueur se dessina sur ses lèvres. Il ne pouvait décidement pas laisser passer une pareil occasion. Il s'approcha de l'homme sans plus de discrétion et sans gêne le sourire joueur toujours aux lèvres.


"Mmm... Je ne sais pas pourquoi mais je suis certain de pouvoir mettre un nom sur votre personne... Et je suis presque sûr de ne pas me tromper."


Il sourit et se rapprocha de l'oreille de son interlocuteur, et le sourire au lèvres lui chochuta le nom de "Nagazaki Séphiel". Il en savait pas comment le prendrait l'homme mais Subaru était sûr de ce qu'il avançait. Il était terriblement gêné de ne pas l'avoir su avant mais bon... Il n'y pouvait rien, ce n'est aps comme s'il était la depuis des années. Il sourit et se recula en posant une main xur la cuisse de son interlocuteur, il remonta doucement pour venir vers la hanche et remonta le long des côtes puis sur le cou qu'il remonta et decendit doucement, il resta un moment le doigt sur la base du cou du chef de la mafia en souriant.


"Je suis rarement bon pour trop parler... Mais j'aime agir... Il faut forcément trouver une bonne proie ou alors jouer sois-même la proie dans certains cas..."


Subaru voulait vraiment s'amuser, et il agirait comme avec n'importe qui. Nagasaki avait beau être le chef de la mafia il n'en restait pas moin un homme, à craindre et à respecter, certe mais toujours un homme. Subaru n'était pas du genre trouillard et adorait les défi. Et comme il l'avait dit il adorait agir, être provoquant, énervé son interlocuteur ou au contraire le rendre gêné, surprit. Les rendres fou de lui, a cro... Il sourit et bu de nouveau en prenant délicatement la flute dans sa main. Il la reposa aussi silencieusement.


"Mais si vous voulez vraiment savoir en quoi je suis douer, il va falloir que l'on aille autre part... Cette endroit est un peu trop... Voyant."


Le sourire de Subaru ne partait pas et il dévorait Séphiel de ses yeux d'or, qu'il tenait de sa mère et grand père. Sa avait toujorus impressionné les gens qui lui demandaient souvent s'il mettait des lentilles mais c'était bien la couleur naturelle de ses yeux.

Un homme,un inconnu entra dans la salle principale. Son visage était marqué par la panique et l'effroi. Pour ce qui le connaissait, il sagissait de l'un des gardes du corps de Nagasaki. De plus il était blessé mais le cacha pour ne pas effrayer les occupants des lieux qui avaient l'air de s'amuser. Apparemment ce devait être une bien bonne soirée pour eux, mais certainement pas pour son jeune maître. l'homme avait une carrure assez impressionnante. Si quelqu'un avait vu ce qu'il c'était passé il y a maintenant 30 minutes personne n'aurai pu croire que cette homme c'était fait royalement avoir. Et pas par n'importe qui. Malgré la difficulté a marcher il parvient a rester discret dans l'ombre cherchant les personnes qu'il pensaient trouvé là pour les avoir vues tantôt. Par bonheur il trouva deux personnes qui lui convenaient. Malheureusement pour les hôtes il ne s'agissait as d'eux pour une fois.


Lorsqu'il reconnu l'un de ses maîtres il se précipita vers l'un d'eux. D'abord vers Sawada Séphiel s'excusant auprès de l'hôte. mais il devait l'avertir de la situation. Il expliqua alors ce qu'il c'était passé. Le combat avec le lieutenant de police, l'enlèvement de Nagasaki. Tout ce qu'il avait retrouvé était le téléphone du jeune benjamin, sa montre favorite avec ses initiales et une chaussure appartenant à l'un des fils de ce dernier. Il expliqua a son maître qu'il craignait pour la vie du jeune maître. Il demanda alors les consignes à suivre et c'est ce qu'il fit


[ Le garde a juste fais un aller (ici) retour (l'hôpital) et avertir Mon papounet de la situation pas la peine de continuer avec lui. Il est repartit de toute façon lol]

Subaru écouta la phrase jusqu'au bout, chaque mot le blessant légèrement. Il se figea et son visage se ferma pendant un instant. Son sourire factis fini par revenir et il laissa le mafieux se lever et aller furieusement vers une autre personne qu'il semblait connaître. Il joigan ses mains derrière sa tête et se laissa tomber sur le dos du canapé en sourpirant.


"Aaaa~ Raté... Je vais me faire enguirlandé par Kioshi si jamais il le sait vraiment..."


Subaru regarde autour de lui, si'l reste ainsi assis à flemmarder il va s'endormir. La soirée semblait pas si bien après tout. Mais il était hôtes pas la peine de s'éfondrer pour un échec, ce n'était pas la première fois et certainement pas la dernière fois. Mais bon Séphiel connaîssait Kioshi là était le problème, il rit un moment et se leva lançant des regards dénué d'intéret pour les gardes qui suivaient leur maître comme des chiens. L'hôte se dirigea vers le bar et sourit au barman qui lui donna sa commande habituelle. Il discutèrent un moment. Subaru aimait bien discuter avec le personnel, c'était bien les seuls personnes qui ne les prenaient pas que pour des hôtes et qui leur parlait normalement. Plus la soirée avançait et plus Subaru s'ennuyait, il avait parler avec le chef de la mafia et sa avait été un échec inimaginable, qui l'avait rendu encore plus ridicul qu'il ne l'était. Il avait quand même été blesser par les paroles du mafieux. s'il pensait que son travail était si mal que sa il n'avait qu'a venir lui montrer comment faire s'il pensait mieux s'y conniatre. Certe Subaru avait agis comme avec n'importe quel client parce que pour lui l'homme restait un homme qui était rentré dans ce club comme un client et non pas comme le patron de la mafia même s'il gardait un charisme impressionnant... Bref, il n'allait pas se laisser aller comme sa. Il fini par se retirer de la fête, il en avait marre et il commençait à avoir trop chaud. En plus de sa ses habit lui collait à la peau. Il monta se changer et redécendit avec un pantalon plus large, noir mais il avait garder sa chemise blanche. Pour rester dans le thème de noel il avait trouver une boucle d'oreille en forme de sapin qu'il avait mit à l'oreille gauche. Il sortit du club pour fumer une cigarette tranquillement et admirer le ciel noir qui reignait dans la nuit.

Subaru c'était fait littéralement jeté par Le chef Sawada. Il c'était prit un verre à boire et était partit se fumer une cigarette histoire de se détendre correctement avant de revenir dans la salle et voir si quelqu'un avait besoins de ses services. Il dut se fumer deux cigarettes, il allait pour allumer la troisième lorsqu'une voix se fit entendre il sursauta coryant fermement être seul, il ne s'attendait pas à rencontrer quelqu'un. Subaru se raidit en voyant son patron. Séphiel avait du faire passer le message très vite à se qu'il voyait... Il soupira et tendit une cigarette à son patron avec un demi sourire. Il ne pensait pas à avoir vraiment une discution avec son patron sur sa... Il pensait qu'il se ferait punir point, mais apperement pas. Il allauma sa troisième cigarette et proposa le briquet à Kioshi. Il souffla vers le ciel et s'adossa au mur derrière lui.


"Si c'est pour Monsieur Sawada, je m'excuse d'avance s'il n'a pas apprécié ma compagnie."


Subaru n'aima pas du tout prononcer cette phrase. Il avait été peut-être trop entrepenant... Mais il ne pouvait pas lire dans les pensé des gens. Au fond Subaru boudait légèrement. Il n'avait pas bien comprit en quoi Séphiel n'avait pas apprécier sa compagnie. Il se torturait l'esprit à chercher mais rien ne venait à par le fait qu'il ai été entreprenant mais bon... Il soupira et reprit de sa cigarette il se calmait peu à peu. l'hôte était légèrement stresser il se demandait bien se qu'allait lui dire son patron face à ça. Il ne serait sûrement pas content de sa performance... Il regarda le ciel bleu nuit qui laissait maintenant voir quelques étoiles ainsi que des satellites qui passait par là. Pendant une minutes un avion passa laissant une trainé de fumé ferrière lui.

[Désolé c'est court]

La vache il avait mal … et il saignait en plus…Vraiment qu’elle soirée pourris il aurait mieu fait de rester dans sa chambre …
Il serait les dents sous la douleur, sans répondre à Vaëm.
Non ca n’allait pas ! Il avait vraiment l’impression d’être pris pour un con, pour un boulet et ca il ne le supportait pas ! D’autant que l’hote ne le connaissait pas vraiment alors il ne pouvait pas porter un jugement sur lui.
Eïreï était énervé, la pression de la foule, trouver vaem tranquillement sur les genoux d’un inconnus alors qu’il le cherchait partout, les souvenirs de son frère …Tout ca l’avait chamboulé et agacé, se qui expliqua ses paroles :

- Désolé de vouloir faire correctement mon boulot !

Il regarda Vaem dans les yeux avec une expression de colère sur le visage puis baissa la tête.

- désolé…je n’aurais pas m’emporter …

Il resta un instant silencieux pus releva la tête pour regarder l’hote le visage redevenue calme et innocent.

- Mon travail c’est de m’occuper de toi et nico m’a bien dis de rester à tes côtés…je ne fais que suivre ses instructions …

Voilà son principal travail s’occuper de Vaëm, se que lui avait confié nico venait au second plan et pour lui était moins important.
Il porta sa main à son front et gémit de douleur il ne c’était pas loupé.
Il laissa vaem s’en occuper et jeta un bref regard sur Kyo, il le détailla puis fermât les yeux en soupirant.

- Une rencontre que je vais devoir cacher a nico ?

En effet, comme dit plus haut son rôle était de s’occuper de lui pas de le jeter dans d’éventuels sanctions. C’est pourquoi il avait cacher certaines rencontres de l’hôte à nico, vaem n’était pas au courant car lors de ses fameuses rencontres eirei était caché loin de la vue du jeune homme.
Il regarda l’hôte qui avait un visage surpris. Après un instant de silence il se releva difficilement.

- je vois bien que je te dérange …

Il perdit légèrement l’équilibre et manqua de tomber mais ils e rattrapa de justesse a la table, porta sa main à son front douloureux. La tête lui tournait, la chaleur, le trouble mélangé au choc ne lui avait pas réussi. Il persistât tout de même à se lever et commencer à s’en aller.
Il savait bien qu’il était un boulet pour vaem comme pour le monde en fait …
Mais se soir il n’avait pas la force de supporter cette situation.
Il n’aurait pas du venir. Il commença à faire son premier pas tremblant manquant de tomber mais se retrouva l’équilibre et continua.

Vaem ne le retiendrais pas il en était certain il se foutait bien de lui.
A par une emmerde plus eirei n’était rien. Juste le petit suivant qui le surveillait et l’étouffait.
Pourtant le brun faisait des efforts pour être agréable mais ca ne semblait pas suffisent.
Comme d’habitude il ne savait pas comment s’y prendre.
Il se retourna pour regarder l’hote, il voyait un peu trouble mais trop se qui ne l’inquiétait pas.

- Je dirais à nico que je ne t’ai pas vu …

( c’est pas terrible dsl u_u je corrigerais les fautes mercredi la je n’ai pas le temps ^^ ‘’ )

[Compte tenu que Subaru est parti, je me bouge un peu...]
_________________

Ce qui devait être une soirée tranquille avait pris une tournure étrange, et pour le moins énervante. Cependant, Kioshi avait choisis de continuer à sourire et paraître à sa petite fête comme si de rien n’était. Après avoir fait le tour de la salle, avoir serré vaguement quelques mains, repéré ceux qui étaient présents, en quelques sortes, il s’était mis à la recherche de Subaru. Le trouvant après quelques minutes, il lui demanda une cigarette. C’était une façon de rentrer dans la place comme une autre. Il remercia le jeune hôte,puis s’appuya à son tour contre le mur, tirant une longue bouffée.

- Le problème n’est pas juste Séphiel. C’est le fait que tu n’ai pas repris le travail depuis...

En effet, le Sawada lui avait annoncé d’un air peu enchanté (normal au vu des circonstances aggravantes) que cet hôte n’avait pas été de bonne compagnie. Ce qui franchement, le connaissant, n’était pas forcément un drame en soit. C’était embêtant, certes, mais pas un drame. Cependant, Subaru n’avait pas eu de client depuis cet échec, et Kioshi ne voulait pas que cela se termine ainsi pour cet hôte nouvellement entré au club. Il ne savait pas ce qui s’était dit ou passé exactement, mais l’Oyabun ne pesait pas ses mots, et pouvait avoir engendré bien plus qu’un simple plantage, sans le savoir.

- L’Oyabun est capricieux. Car habitué à avoir ce qu’il y a de meilleur.

Ca, c’était bien vrai... C’était un défi de taille pour un nouvel arrivant au club.

- S’il t’as choisi, c’est bien que tu lui as plu au départ. Après, en fonction de son humeur du moment, ce qu’il attend peut varier. Je n’étais pas là, mais c’est comme pour tout client. Il faut apprendre à décrypter leurs envies. Ce n’est pas facile, mais il le faut.

Il ne voulait pas faire de long discours, juste expliciter ce qu’il avait à dire, et rassurer le jeune homme pour le remettre en selle.

- Bref. C’est un échec. Ce n’est pas dramatique. Tu en auras d’autres, comme tout le monde. Le moins possible, j’espère. Mais il faut s’en remettre.

Il jeta la cigarette à terre, et l’écrasa du pied, un sourire passant sur ses lèvres alors qu'il lui lançait un conseil du genre qu'il valait mieux suivre :

- Trouve-toi un autre client, avant que le patron s’en rende compte, il parait qu’il est pas facile...

Sur ces mots, il se contenta de rentrer au chaud. Il faut dire que fumer dehors en plein hiver et en chemise fine, ça rafraichit les idées.

Des frissons parcoururent sa peau alors qu’il se réchauffait progressivement, et il arriva finalement à nouveau dans la grande salle. Ce qui attira immédiatement son regard fut... Vaëm à quatre pattes... Tiens donc !
Un sourire amusé aux lèvres, il s’approcha. Chemin faisant, il le vit se relever, tirer son suivant par le bras et le faire s’asseoir à ses côtés. Puis, il remarqua la blessure. Les coupant dans leur conversation, dont il eut le temps d'entendre la fin, il s’imposa presque :

- Bonsoir... Eïreï, il y a permanence d’infirmerie, si tu veux te faire soigner proprement... Bien que je ne mette pas en doute la capacité de Vaëm à jouer les infirmiers...

Il se fit tirer en arrière se qui le surpris, il ne s’attendait pas à se geste venant de l’hote …
Il était pourtant sur qu’il l’aurait laissé partir se fichant de se qui aurait pu lui arriver.
Se tromperait-il au sujet de Vaëm ? Possible et même certains, il avait beau passer la quasi totalité de ses journée avec le jeune homme on ne peu pas dire qu’il apprenait à se connaître vraiment.
Et le transylvanien n’osait faire le premier pas à cause de sa timidité habituelle et il ne voulait pas trop s’imposer.

- Okay …

Il ne dérangeait pas ? bah voyons…C’était gros comme une maison qu’il dérangeait.
Il se contentât de soupirer et obéis à l’hôte, se rasseyant et prenant dans main fine et couvertes de bagues la flute de champagne qu’il y insérait.
Il leva son regard rouge pourpré vers Vaëm le regardant pour qu’il voie bien qu’il était sincère.

- oui je ne vais rien lui dire …

Il se doutât que se geste dut surprendre l’hôte.
Il désobéissait à nico mais il s’en fichait royalement, pour lui il faisait se qui était juste et ca ne l’empêchait pas d dormir la nuit. Alors pourquoi se tracasser ?

- Mon rôle et de m’occuper de toi … pas de te dénoncer pour que tu ai des sanctions … Je ne suis pas comme ca ...

Et puis ca n’allait pas avec sa personnalité, il ne supportais pas de voir des personnes souffrir de quelques manières que se sois. Il se fichait d’éventuels sanctions, la pire qu’il pourrait avoir serait un renvoie …

- Ce ne sera pas la première foie de toute façon …

Il baissa la tête, il aurait voulu que vaem ne soit pas au courant de cette manigance.
Pourquoi ? Il n’en savait rien, ca le gênait qu’il sache.
D’ailleurs il sentit ses joues se teinter de rouge comme habitude. Il s’asit un mouchoir présent sa sa poche et le mit délicatement sur son front. La blessure avait cessé de saigner et était moins douloureuse.

- Il n’y a que moi pour me prendre une table en pleine tête.

Il eu un sourire gené, il voulait montrer à vaêm qu’il allait mieu.
Le jeune releva la tête surpris en entendant la voie de kioshi.

- Bonsoir...

Se tournant vers l’hote ne sachant vraiment quoi faire.
Finalement il décida de rester avec Vaem jusqu'à se que celui-ci lui donnera congé.
Il allait certainement se faire virer mais il voulu tenter le cou.
Il se retourna vers kioshi retirant le mouchoir de son front.

- Merci mais…ca va aller...je ...je préfère rester pour le moment …

Nico n'avait strictement eu aucune envie d'aller au club, malgré la fête, malgré l'abondance de possibilité de détente. De un parce que son cher père risquait d'y pointer son nez et que l'héritier ne tenait absolument pas à le voir plus que nécessaire. Et de deux parce qu'il avait du boulot, Noël était toujours extrêmement productif et il fallait bien que quelqu'un se charge de cette période. C'était comme pour les stagiaires en hôpital. Le plus jeune s'y collait, en l'occurrence, Nico.

C'était donc seul et tranquille qu'il s'était installé dans son salon, assis au bureau face au couloir de l'entrée. Les papiers s'amoncelaient, l'ordinateur chauffait, mais armé d'une tasse de chocolat brûlante, le Sawada se sentait près à tout affronter. Enfin question administration, parce qu'il doutait qu'une tasse puisse l'aider à voler ou tuer...quoique ça restait à essayer.

Sa soirée paisible, partagée entre les coups de téléphone et les mails à envoyer, fut brusquement saccagée par le claquement d'une porte, vite suivi par la présence de Ciara, bien campée sur ses talons.
...
Pourquoi n'avait-il pas fait changé la serrure ?

«  Ooooh Tu ne comptais quand même pas rester toute la soirée ici avec cette merveilleuse fête au Luxurious ? »

Rapidement elle s'approcha, ne prêtant aucune attention au regard glacé et noir de son fiancé, et l'agrippa par le bras. Nico hésita sérieusement à la balancer de l'autre coté du salon, il se rendit alors compte du poignard avec lequel la jeune femme s'amusait.

«  Rends-moi ça... »

Un rire cristallin retendit tandis qu'elle le dissimulait dans sa robe de soirée. Gentiment elle le tira hors de sa chaise et le projeta dans sa chambre.

«  Pas question, et si tu ne te prépares pas immédiatement je m'installe ici le reste de mon séjour. »

Cette fois-ci, Nico ne chercha plus à protester, elle serait capable de le faire et lui ne voulait absolument pas la supporter plus que nécessaire. Ciaira aurait été capable de l'obliger à rentrer à certaines heures. Grommelant un peu face à l'autorité de sa fiancée, le Sawada se prépara, néanmoins un rien amusé. Il aurait pu renvoyer la jeune femme d'un ordre, ils le savaient tous les deux. Mais leur relation entière n'était qu'un jeu, et ce soir, Ciaira avait gagné...la première manche en tout cas.

C'est qu'ainsi qu'une heure plus tard, une deuxième limousine s'approcha du Luxurious club pour s'arrêter au plus près de l'entrée. Comme un cérémonial minutieusement répété, une colonne de gardes lia la porte d'entré à celle de la voiture. Le chauffeur se précipita pour ouvrir cette dernière et Nico apparut. Le visage lisse de toute émotion se retourna pour observer Ciaira sortir avec élégance. Cette même élégance que l'héritier, sans l'odeur de danger qui trônait autour du Sawada. Il n'était peut-être pas la panthère qu'était son père, mais il en était le digne fils.

Sans se presser, le jeune couple parcourut les quelques mètres restant, bien protégés. Nico n'avait voulu faire courir aucun risque à sa fiancée et ainsi quatre gardes triés sur le volet fermaient la marche, laissant les autres se disperser sitôt la porte franchie. Le bras passé sous celui de sa fiancée, l'héritier s'était habillé aussi sobrement qu'à l'habitude, son écharpe blanche tranchant au moins autant avec ses habits noirs que ceux-ci avec la longue robe rouge de Ciaira.

Sitôt entré, le jeune mafieux parcourut la salle de ses yeux bleus, notant chaque détail rencontré. Un groupe attira son attention et il frémit légèrement en reconnaissant les gardes de son père. Ainsi il était bel et bien venu. Son téléphone vrombit alors et Nico déposa un baiser sur la joue de Ciaira avant de l'abandonner pour sortir, ignorant royalement la moue de celle-ci. Il n'avait aucune inquiétude quant à l'amusement de la jeune femme. Leur entrée n'était pas passée inaperçue et il y aurait bien quelques fous pour oser flirter avec la petite amie de l'héritier.

A l'air libre, flanqué d'un garde, le jeune homme écouta les nouvelles catastrophiques se déverser dans son oreille. Nagasaki ?...Enlevé ?
Fronçant quelques peu les sourcils avant de se maîtriser, Nico s'appliqua à calmer son esprit pour rester froid. Il faisait espionner son frère, peut-être que l'un de ces hommes auraient des indices. Leurs ennemis avaient bien choisi leur cible. Le plus vulnérable.

Raccrochant, il attendit patiemment, dans le froid, s'angoissant au fur et à mesure que les minutes passaient. Mais c'était également bon signe. Plus le temps passaient et plus ses hommes gardait une trace de son frère. Enfin le téléphone vrombit.
Et le couperet tomba.

Il avait beau souffert des mots de Kenji, cependant, Nico n'avait pu se débarrasser des sentiments que lui inspiraient ses frères. Ce fut le regard dangereusement animé d'une tempête glaciale qu'il retourna à l'intérieur pour forcer le barrage qui entourait son père...tient, l'oncle était là aussi. Et ils étaient au courant apparemment.

Le trou créé pour le Sawada se referma, préservant leur intimité au maximum. Ils étaient dans une fête à la base hein.

«  Un de mes hommes vient de retrouver la voiture de Nagasaki. Elle a explosé, il semble qu'il y avait deux corps différents, je viens d'y envoyer une équipe. »

Sa voix était froide, mais pour quelqu'un le connaissant, on pouvait facilement deviner la tension qui habitait ses muscles et l'inquiétude qui bloquait sa gorge. Il n'avait d'ailleurs pas salué son père, l'esprit un peu trop occupé à chercher parmi une liste d'ennemis potentiels.

[Désolé c'est court ^^']

Tomeo observa avec un certain intérêt tous les faits et gestes de son ami dans le même temps qu’il tentait de trouver des éléments plausibles à l’enlèvement de son neveu. Il n’arrivait pas à s’expliquer le pourquoi du comment de la chose, et il voyait bien que l’esprit de Séphiel travaillait durement pour trouver. Un tic qu’il connaissait bien l’animait, ses doigts jouant machinalement avec les courtes mèches de son front… Notre ami attarda soudain son regard sur un mordillement de bouche, repassant ce moment plusieurs fois dans sa tête avant de revenir à la réalité. Il était troublé…

Tomeo détourna son regard rapidement, ne sentant pas le rouge lui monter aux joues, alors qu’il réalisait qu’il ne serait pas compétent ce soir. Il avait bu beaucoup de champagne en un laps de temps plutôt réduit et il craignait à juste titre que son jugement en soit altéré.

Un pic de colère le prit, effaçant le petit moment de flottement qu’il avait eu, alors qu’il exposait sa réflexion à son ami : Tomeo avait l’impression de dire n’importe quoi, que ça réflexion n’était pas assez poussée pour répondre aux attentes de Séphiel vis-à-vis de lui. Il le savait bien ça qu’ils étaient les Sawada et ça ne pouvait pas être ça se disait-il alors que Séphiel le lui confirmait.

Il avait tord et devait réfléchir plus fort, plus vite pour trouver une solution.

Tomeo poussa un soupir d’exaspération alors qu’il frappait du poing sa cuisse. Ses sens étaient altérés par le champagne, et il sentait qu’il n’arriverait à rien. Il passa une main nerveuse dans ses cheveux pour les ramener en arrière, sa tête, suivant le mouvement, bascula, et il ferma un instant les yeux pour tenter de se calmer. Une fois fait il se redressa, puis s’accouda sur la table sa tête reposant désormais sur ses mains pour réfléchir, Séphiel prenant de nouveau la parole, il l’écouta religieusement.

Ces mots s’éteignirent sur l’arrivé de Nico, visiblement aussi inquiet que l’Oyabun et lui, oubliant alors le protocole. Ce qu’il vint leur annoncer n’était pas très réjouissant et Tomeo retint un sursaut quand son ami leva la main sur son neveu pour avoir manqué de les saluer.

Encore une fois, et il était persuader que l’alcool en était la cause, il se prit à admirer son « frère », son geste était emprunt d’une impériosité qu’il ne connaissait que trop bien, et d’une grâce qui faisait ma fois, tout le charisme de cet homme. Et il se maudit intérieurement de penser à ça alors que sous ses yeux Nico valdinguait sur un siege.

Il ferma les yeux, encore, Séphiel sermonnant son fils quand à son comportement.
Que lui prenait-il à lui bon sang ?! Le sien aussi laissait à désirer ce soir et notre ami pesta intérieurement contre lui-même.

Il souffla lentement son air, il se trouvait véritablement inutile à cet instant précis. Ecouter Séphiel parler ainsi, donner des directives, le tout compilé dans un calme olympien qui ne servait que mieux à sa colère... Il ne put que se lever quand celui l’interpella et avant d’y aller, il appela un serveur lui priant de lui emmener de la glace pour l’héritier. Il laissa à loisir le temps à Nico de se redresser, et se composant un masque de neutralité il le salua pour suivre Séphiel.

Lui qui pensait passer une bonne soirée voyait tous ses plans chamboulés pour que tous deviennent pire. Son esprit lui jouait des tours, sa réflexion devenait hasardeuse, il avait l’impression de ne rien contrôler. Quelle galère !

Il était certain que la salle était pleine, véritablement bondée, et Tomeo après coup ne comprenait plus très bien ce qu’avait voulut dire Séphiel.

Une autre table ? mais où ?

Marchant derrière son ami il fronça des sourcils mais lui faisant entièrement confiance, il se garda de poser une question qui serait sans doute inutile aux yeux de l’Oyabun, il ne voyait pas l’intérêt de briser le silence qu’il avait gardé après les paroles de se dernier.

En traversant la foule il croisa le regard de la ravissante Ciaira à laquelle il désigna d’un regard l’endroit où se trouvait son fiancé pour reposer son attention sur Séphiel. Où voulait-il bien aller pour être plus à son aise ? Tomeo ne le saurait qu’une fois sur place.



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