[EVENT DE NOËL] sujet principal, début de l'event.

La salle principale du Luxurious Club était plus resplendissante qu'à l'ordinaire, décorée avec goût par les meilleurs décorateurs d'intérieur, elle exhibait une débauche de tons or et rouge, vert et brun, bleu et argent, dans d'artistique décorations et mises en scènes. Réaménagée pour l'occasion, elle s'enorgueillissait à présent d'épais fauteuils anciens, de tables basses délicatement travaillées, de lourds rideaux bordeaux, et de décorations délicieuses allant des discrètes feuilles de houx aux guirlandes joliment enroulées autour de colonnes artificielles et des poteaux des danseurs habillés de rouge et de blanc pour l'occasion, en passant par les chemins de tables pailletés et les boules de noël suspendues dans les air. L'estrade en fond de salle était elle aussi garnie de décorations de bon goût, tandis que les séparations entre les tables avaient étés remplacées par des constructions en branche de sapin garnie de houx et de gui. Pas encore comble, la salle s'ouvrait sur une piste de danse installée pour la soirée autour de laquelle quelques tables s'organisaient en cercle pour accueillir les danseurs et les gens désireux de plus d'animations que dans les alcôves improvisées par les murs de branchages.

Au milieu de tout cela, les hôtes déguisés, le visage parfois couvert d'un loup ou d'un masque, évoluaient avec la grâce que demandait leur emplois, glissant entre les convives avec qui un plateau portant des flûtes, qui un peu de nourriture, serveurs improvisés au sourires languides et aux hanches pleines se balançant avec indécence. D'autres, loués pour la soirée ou alloués par le patron à certains clients invités en VIP, exerçaient déjà leurs arts en entretenant la conversation ou en se montrant agréables, sans jamais passer au stade supérieur de leur emplois. Ceci serait pour plus tard, lorsque le vin et la musique auraient lassés les esprits, et que la soirée serait déjà vieille de quelques heures.

Au milieu de tout cela, Vaem évoluait avec une grâce un peu empreintée, un peu maladroite, qui dénotait grandement son inexpérience, et attirait sans qu'il ne le veuille des regards intéressés sur sa mince personne mise en valeur par la tenue qu'il portait. Le matin même, on lui avait fait comprendre de manière assez... violente, qu'il avait intérêt à porter le costume que le patron lui avait choisit, sans quoi il n'aurait plus qu'à attendre sagement dans une chambre, nu, que quelqu'un vienne le prendre, aussi avait-il capitulé et enfilé les vêtements dans lesquels il se sentait mal à l'aise.
Perché sur des bottes aux talons épais, noires et montantes jusqu'à mi-mollet, qui élançait sa taille de quelques centimètres supplémentaires, il avait couvert ses jambes fines mais musclés, impeccablement épilées, de bas gris foncés rattachés à des jarretelles noires dépassant d'un mini short de la même couleur qui dévoilait subtilement le bas de ses fesses lorsqu'il bougeait. Ne dépassant pas les hanches, il laissait le ventre plat et peu musclé du jeune homme à découvert, la poitrine, quand à elle, était enserrée dans une sorte de haut sans manche, s'arrêtant à mi-côte, et dont le col montant s'ornait d'un ruban auquel était noué un brun de houx ainsi qu'une clochette. De longs gants en dentelle sombre couvraient ses mains aux doigts abimés et ses bras à la peau brune, rappelant un peu celle dessinant des motifs étranges sur son loup noir. La tenue était complétée par une délicate paire d'oreilles noires et une queue mécanique couverte d'une douce fourrure au bout de laquelle on avait accroché un gros noeud rouge et un grelot en forme de boule de noël.

Actuellement au repos, cette dernière se balançait lascivement dans le sillage du jeune homme qui marchait avec précaution entre les invités, ses bras minces supportant avec inquiétude un plateau chargé de coupes de champagne. Sa charge ne l'empêcha cependant pas d'être alpagué par une puissante paire de bras, lui arrachant un cri de surprise et manquant de lui faire tout renverser. Courroucé, il tourna vivement la tête vers son "agresseur", montrant les dents tel le chat dont il était ce soir l'avatar, prêt à mordre si c'était nécessaire...

Le jeune Sawada arriva parmi les premiers à la soirée. Quelle ne fut pas ma surprise en voyant le changement apporté pour la soirée. Je regardais la pièce décorée un bon moment. Cela me fit sourire. Au moins cette soirée marquerait une pause dans les mauvaises relation avec les ennemis de la famille si ceux-ci décidait de se rendre à cette fête. Naga n'était pas du genre a fichtre le bazar mais avec la mauvaise relation entre certaine famille n'était pas de tout repos. Je fit savoir mon arrivée en m'approchant du club et ouvrant la porte de la salle principale. On vient prendre mon manteau pour le déposer délicatement dans un casier qui m'est réserve grâce à un numéro que l'on me remet. Je sourit à la personne. Je me dirige ensuite vers la salle principale magnifiquement décorée. Plus belle encore que la salle d'accueil lorsque l'on arrive au club.

Personne, je me sens comme un peu seul pour le moment. La situation me fait sourire; Je sais que des personnes vont arriver très vite alors je ne me plein pas. Un hôte sexy arrive et me tend un plateau, je le remercie et prend une flute de champagne. Je vais m'installer sur l'un des sofa mis à disposition ans la salle. je ne vais pas me mettre a danser seul, cela ferait vraiment tache. Alors j'attends. Un hôte viens me voir. Malheureusement pour lui le fait de parler me convient amplement. Pour le moment je ne désir pas plus et cela est très bien comme ça. de temps en temps je porte mon regard vers la porte pour savoir quel personne va entrer. Oui je suis curieux mais bon là tout seul je m'ennuie un peu on va dire.

C'était la première soirée de fête que Subaru faisait avec le club dans lequel il avait été accepté. Les tenues qui leurs avaient été proposées étaient souvent provoquantes, mais c'était bien le but, après tout, même si c'était une fête pour les client cela restait tout de même leur lieu de travail. Ils se devaient de faire leur travail correctement. Pour le moment Subaru avait opté pour une tenu de père noël, pas très original mais il n'avait trouver que sa et sa collait plutôt bien avec le thème de la soirée. La chemise blanche sans manche et à col largement ouvert laissait voir son torse et un neu papillon rouge entourait son cou. Son pantalon de couleur rouge en cuir lui collait les jambes moulant parfaitement son fessier. Il portait des bottes montante noir parfaitement cirées qui montait jusqu'à son genoux en épousant parfaitement le contour de ses mollets. Des manchettes blanche ornait le tour de ses poignets et les mains étaient recouvertes de gant noir en velour, il avait aussi fait l'effort de mettre un bonnet rouge auquel un grelot était acroché sur la fin et qui teintait aux moindres mouvements. Son teint légèrement mat ressortait parfaitement sous se costume et ses yeux d'or ressortaient encore plus vif sous ses cheveux de jais. Même s'il se sentait plus ou moins mal à l'aise dans le pantalon il s'y habituait petit à petit. Il prit soins d'aller fumer avant de venir dans la salle. Il sourit au barman et aux autres hôtes qui pouvait être présent lorsqu'il décendit dans la salle parfaitement décoré pour l'occasion, les décorateurs c'étaient surpasser, la salle était magnifique. Les clients seraient ravi. Subaru ne savait pas trop quoi faire il n'y avait pas encore beaucop de client et il avait beau faire et refaire le tour de la salle, les clients ne prenait pas deux coupes de champagne à la fois. Subaru regardait les hôtes travailler avec lui et fini par reprérer un jeune homme très intéréssant qui venait de rentré, son menteau venait d'être prit et une coupe de champagne l'attendait déjà. Subaru sourit et en profita pour poser le plateau et se diriger vers le fauteuil où c'était confortablement assis le cher invité. Il se pencha vers lui et lui sourit.

"Bonsoir... Puis-je vous aider en quoi que se soit ?"

Subaru faisait son métier et quand il y avait des jeunes hommes aussi mignon que le chaton qui venait d'entrer il faisait son travail avec beaucoup plus d'anthousiasme. C'était toujours plus agréable lorsque vous discutiez avec une homme de votre âge plutôt qu'un homme de quarante ans qui ne demande qu'à être satisfait. Apparement la soirée s'annonçait plutôt bonne au vu des première tête qui se montraient. Malgré tout Subaru se devait de faire son travail avant tout et de penser à son plaisir après, même si la personne avait été quelqu'un de barbant aux premiers abords il serait quand même aller le voir pour lui demander s'il avait besoins de ses servirces. Il avait été accepté dans ce club et il ne comptait pas s'en aller de si tôt. Il se demandait si l'homme allait apprécier sa présence ou non, parfois c'était la cas, la personne était là par curiosité et refusait qu'on le touche, mais c'était très rare et il avait plus des habitué que des nouveaux. Mais ce n'était pas n'importe quelle soirée. Il pouvait très bien y avoir quelques extra. Et c'était bien sa qui mettait un peu de piment dans ce club. Subaru se demanda aussi si les danseurs avaient des tenues particulière, si c'était le cas il était impatient de voir sa. Déjà qu'ils étaient sexy alors encore en plus dans des tenues pour l'occasion... Pourquoi se priver d'un tel spectacle. Mais il put voir que la personne n'avait pas besoins de lui il décida donc de refaire un tour avec le plateau de coupe de champagne.

Matsuo avait entendu parler d'un club assez intéressant, ce n'était pas vraiment son genre de fréquenter les club, surtout qu'il travaillait souvent de soir, certes en tant que flic mais surtout parce que c'était la nuit qu'il passait à l'acte. Le soir, il était tranquille, il choisissait sa victime, la suivait discrètement pour finalement s'amuser avec elle pour assouvir son sadisme, il avait besoin de ça, de faire son "affaire", c'était avant tout un besoin mêlé à une envie.

Alors ce soir était un grand soir, il allait dans un club pour la première fois depuis qu'il était arrivé, il verrait bien si ce club est si intéressant qu'on lui avait dit, il se demandait s'il allait rencontrer l'un de ses collègues ou bien quelqu'un en particulier...

Habillé relativement bien, d'un pantalon noir, une chemise blanche surmontée d'une veste noire, avec un blouson noir... ce doit être étrange, mais Matsuo était à moto, il privilégiait la sécurité au mode vestimentaire... Une fois garé, Matsuo entra dans le club, on lui prit son manteau, ce qui était relativement étrange pour lui, on ne lui avait jamais fait cela. Il ne savait pas vraiment quoi faire, il regardait autour de lui, son visage fermé, froid, il aimait jouer les mecs qu'il n'était pas, mais ce soir, il ne voulait pas jouer, il voulait être lui, le tortionnaire, le sadique...

Il remarque des sofas, il se dirigea vers l'un d'eux et s'assit tranquillement, il ne savait comment ça se passait ici, alors il laissait faire, il attendait simplement qu'on vienne le voir...

Il était deja tard et Kyoshiro n'avait pas spécialement envie de sortir. Une bonne soirée tout seul tranquillement dans le grand appartement de son amant, enfin dans son appartement aussi, lui disait bien. Mais Sanae n'était pas la ce soir, surement occupé ailleurs. Et la dans l'immédiat le petit voleur s'ennuyait. Ses blessures n'étaient pas totalement guérit bien au contraire. Des courbatures étaient même apparues. En sommes c'était assez douloureux de bouger pour lui. Mais pourtant il le faisait. Rester en place était trop ennuyant même si la maintenant, même en bougeant il s'ennuyait. Retournant calmement dans la chambre il s'installa sur le lit, fixant encore une fois le vide avant de s'allonger, soupirant. Il n'avait plus qu'un choix maintenant. Même si cela ne lui disait pas grand chose. Il savait que Vaëm bossait ce soir. Il lui avait parlé de l'horrible tenue qu'il devait porter ce soir la.

Une envie irrésistible d'aller voir son ami, ou meilleur ami, tout de suite le pris. Pourquoi pas après tout. Cela pourrait être amusant et il pourrait ainsi profiter de Vaëm sans que ce dernier ne soit obligé de draguer un de ses clients soûl pensant qu'à son joli petit fessier. Une léger sourire s'afficha sur ses lèvres alors qu'enfin il se décidait et se levait, allant vers sa penderie calmement. Il fixa un instant ses vêtements, se comportant comme une demoiselle, cherchant le vêtement idéal. Se rendant compte de cela il secoua la tête, riant, attirant bien vite a lui une simple chemise violette foncé et un pantalon noir moulant. Rien de plus rien de moins. Il n'allait pas la-bas draguer de toute manière, il comptait bien passer une bonne soirée en compagnie de son hôte préféré. Il pris une rapide douche bien chaude, laissant ses cheveux mouillés, allant au final s'habiller. Il fixa l'heure sur sa montre, pris ses clés et sortit de l'appartement.

Rapidement il arriva devant le Luxurious Club, mettant pied a terre en garant sa moto a côté d'une autre en sortant la béquille, il secoua la tête, ses cheveux dans tout les sens lui donnant un certain style négligé. C'était plutôt pas mal a dire vrai. Ses lunettes sur le nez, il entra calmement dans le club, fixant les allentours calmement, observant les arrangements de la pièce. Tout était dans les tons rouges et blancs en faite. C'était sympa si ce n'est peut être trop chargé sans doute. Enfin, il n'était pas la pour observer le décor. Il déclina bien vite la proposition pour une coupe de champagne, souriant faiblement a l'hôte il se mit a chercher du regard son ami. Il mit plusieurs minutes avant de le reconnaitre. L'accoutrement qu'il portait avait quelque chose de sexy mais aussi assez marrant a vrai dire. S'empêchant direct de rire en le voyant il se fraya un chemin vers lui, finissant par le chopper par derrière en enlacant sa taille tout en le portant légèrement, ignorant les verres qui s'entrechoquèrent légèrement. La réaction qui suivit le fit sourire franchement. C'était un vrai petit chat ce mec.

- Bah alors Vaë ... Tu comptes me mordre moi ? Moi le pauvre petit blessé ?

Une moue a la fois moqueuse et boudeuse apparut sur ses lèvres alors qu'il relâchait sa prise sur le corps fin de l'hôte, lui retirant le plateau des mains, il alla calmement le poser sur le bar. Ce soir Vaëm était son hôte et en tant que tel il se devait de faire "semblant" de s'occuper de lui. Revenant calmement vers lui, il le pris par la taille et le mena vers une table libre souriant.

- Ce soir je te sauve de tout ces mâles en chaleur ... Tu es mon hôte ce soir ca te va ?

Il n'attendit pas sa réponse que deja il s'installa a table, grimaçant très légèrement sous les blessures. Il ferma un instant les yeux avant de le fixer avec attention, détaillant une nouvelle fois sa tenue, si ... Comment dire ?

- Tu es très ... En beauté dit moi

Il tira légèrement la langue en le fixant, franchement amusé.

Quelle galère mais quelle galère ... Il aurait voulus rester tranquillement dans sa chambre loin de tout le tumulte de la fête.
Mais voilà Vaëm était à cette fête il devait donc le surveiller.
voilà comment il s'était retrouvé en ses lieux vêtues d'une chemise blanche moulante, d'un gilet noir avec des roses brodées, une veste style romantique, un pantalon en toile moulant et des new rock basses noires, argumenté de divers accessoire et bijoux en argent.
Il allait et venait à la recherche de l'hôte. Quel travail de s'occuper de lui ....

Et évidement il fallait que la salle soit bondé de monde ... quelle poisse.
Il était bousculé collé bref le cauchemar pour le jeune agoraphobe.
Il étouffait et se sentait mal à l'aise et bien sur le club était grand Vaëm pouvait être n'importe ou, il pouvait le rater passer à cotés de lui sans s'en rendre compte ....
Rah ce qu'il aimerait partir pour respirer l'air frais mais il devait faire son travail.

- C'est pas vrais..mais ou est-il ?

il soupira et se remit en route cherchant désespérément l'hôte se demandant si il allait le trouver un jours ...

( cours je sais amis j'ai pas pu faire mieux pour le moment, pour les fautes je corrigerais plus tard )

Cette soirée était parfaite, il n y avait rien a redire. Comment ne pas être satisfait en voyant tout cela pour nous les invité. Je m'amuse a regarder les personne qui entrent. Je me rends compte que je ne connais personne mais vraiment personne. Un hôte charmant vient me trouver sur mon sofa; Je le remercie et a mon tour fait en sorte que la soirée se passe bien pour lui comme pour moi. Je lui donne un bon pourboire. Cet hôte me plais je le réserverais bien pour la soirée. Soudainement je le vois arriver Matsuo cet enflure de la police qui donne tan de mal à ma famille. Je serre les poings et me lève pour aller le voir. Je m'assois à ses côtés et souris narquoisement tout en gardant le sourire au lèvres et d'un air joyeux don l'ironie était bien visible lui dit.

" Que nous vaut le plaisir de votre venue? Encore entrain d'imaginer un plan pour faire plonger la famille Sawada?"

Je le regarde puis finalement m'aperçoit qu'il est en simple tenue de soirée. Est-il là vraiment pour s'amuser c'est dure à croire ça.. Finalement je me prend au jeu.

" hum vous savez danser?"

Je l'invite, suis-je fou? De toute façon il ne sais pas qui je suis enfin je crois. De toute façon je m'en fiche. Je veux danser et j'ai envie de l'inter lui. Me prendre un râteau est fort possible mais au moins j'aurais essayé. Comme l'on dit vaut mieux avoir ses ennemis près de sois que loin de sois. C'est dommage que l'on sois ennemi il est pourtant sexy. Je m'en lèche les lèvres sans faire attention qu'il pouvait me voir et interpréter mon geste comme une invitation. La seul que je lui fait est de danser avec moi. Il peut refuser. Je comprendrais en même temps il y a plein d'hôte. Mais étant les seules membres présent pour le moment ce soir il fallait bien s'occuper non. Finalement en l'absence de réponses je décide de détourner les talons et revenir a mon canapé m'ennuyer fermement et je soupir.

Perché sur ses talons hauts qui lui rajoutaient bien 10 cm de taille - ce qui, soit dit en passant, le laissait tout de même plus petit que la plupart des personnes présentes, et accentuait l'aspect menu de son corps en fait juste maigre - il déambulait donc parmi les invités qui se faisaient de plus en plus nombreux, présentant ses coupes de champagnes avec un sourire incertain, évitant aussi vivement que possible les mains qui tentaient d'effleurer son fessier légèrement couvert.
Félin, dans ses mouvements comme dans son habillement, il se faufilait lestement entre les gens, allant jusqu'à Nagasaki pour lui offrir une coupe mais ne s'attardant pas : il n'aimait guère l'idée d'être reconnu par le frère de son "Maître". Ce dernier était absent, et nullement au courant du rôle qu'il devait jouer dans la soirée organisée par Kioshi, aussi préférait-il se faire discret histoire que tout cela ne remonte pas aux oreilles de l'héritier.
Après un sourire à un homme légèrement flippant -Matsuo- il était retourné vers le centre de la pièce, essayant de ne rien renverser, jusqu'au moment où deux bras s'étaient soudain noués autour de sa taille, le faisant sursauter, presque renverser son plateau, et tourner vivement la tête avec l'aspect courroucé d'un chaton en colère.

Mais le visage qui le surplombait n'avait rien de menaçant.
Bien au contraire.
Un large sourire éclaira brusquement les yeux verts jusque là ternis par le malaise et l'inquiétude, et un léger rire s'échappa de sa gorge.

- Franchement, avec la peur que tu viens de me faire, ouais. Et plutôt deux fois qu'une !

Son ton était enjoué, plein d'humour, et vu son expression, il était plus que ravis de l'intervention de Kyoshiro. Il ne s'était pas du tout attendu à voir son ami à cette soirée. A vrai dire, il l'imaginait plutôt en train de passer un réveillon tranquille en compagnie de Sanae. Le plateau lui fut vivement retiré des mains, et son compagnon eut tôt fait de s'en débarrasser en le déposant sur le bar avant de venir le rejoindre, l'un de ses bras s'enroulant agréablement autour de la taille nue de l'hôte.
Un nouveau sourire passa sur son visage.

- J'en serai ravi très cher... réellement ravi !

Un éclair d'inquiétude passa dans ses yeux verts tandis qu'ils se dirigeaient vers une table un peu reculée, et que sa queue mécanique, réagissant aux tensions de son corps, effleurait au passage les jambes d'Eïreï sans que le jeune homme se rende compte de la présence de son suivant. De toutes façons, pour l'instant, avec sa tenue et son masque, ses cicatrices dissimulées par son vêtement, il était quasi méconnaissable.

- Mais tu ne devais pas être avec Sanae ce soir ?

Il regarda son ami s'assoir, serrant les dents en le voyant fermer les yeux, trop conscient de la douleur qu'il devait ressentir. Arrêtant l'un de ses collègues, il garni rapidement la table de deux flûtes de champagne, de plusieurs assiettes de petits fours, et demanda à ce qu'on apporte rapidement des antalgiques à son client. Se glissant furtivement sur la banquette, soulagé de ne plus être exhibé maintenant que les haies de sapin le cachaient un peu à la foule, il posa délicatement une main sur la cuisse du jeune homme à lunettes.

- Ça va aller ?...

La phrase de son ami lui arracha un nouveau sourire, et il donna machinalement un petit coup de poing sur son épaule.

- Baka...

Une petite moue boudeuse s'installa sur son visage, et il retira son masque.

- J'ai juste l'air stupide. (coup d'oeil) Toi par contre... t'as décidé d'attirer tous les regards ?

Il esquissa un sourire amusé, se laissant aller à poser la tête sur l'épaule de Kyo, soulageant son dos meurtrit par le fait de marcher avec des talons.

- J'suis content que tu sois venu...

Soudain, son regard vert s'arrêta sur une silhouette bien connue, et il enfouit son visage dans le cou du garçon.

- Meeeeeeeeeeerde ! Y'a Eïreï ! Si jamais Nico apprend que je suis ici ça va être ma fête... cache moi !

Matsuo fut un peu surpris de voir une personne s'approcher de lui, et le voir s'asseoir à coté de lui montrait qu'on allait lui parler. Il n'attendit que quelques secondes avant d'entendre sa voix, lorsqu'il entendit le mot "Sawada", il ne comprit pas pourquoi on lui parlait de ça, mais pour qu'on lui parle de "Sawada", on devait être de la famille, et cet individu devait l'être, sinon, il n'aurait pas prononcé ce nom.

Matsuo travaillait sur les Sawada, oui et il avait en photo tous les membres du clan, cet homme était un membre, il en était certain, il était assez physionomiste et n'oubliait pas un visage que ce soit sur une photo ou physiquement et cet homme, s'il se souvient bien, c'est un des fils de l'Oyabun...

Il ne répondit pas tout de suite, simplement parce qu'il voulait qu'il croit qu'il avait raison mais aussi parce qu'il lui posa une question... danser... son "ennemi" l'invitait à danser, ne savait-il donc pas ce qu'il encourait? Etait-il fou? Matsuo ne pensait pas qu'il s'agisse d'un coup monté, il ne pensait pas que le Sawada était de ce genre, surtout qu'il lui avait clairement parlé des Sawada.

Alors qu'il allait lui répondre, il le vit se lever pour aller s'asseoir dans un fauteuil un peu plus loin. Il le regarda assez étonné de le voir agir ainsi, puis se leva à son tour pour aller s'asseoir à ses cotés, il le regarda attentivement, son regard froid pouvant déstabiliser celui qui croisait son regard, puis posa sa main sur la sienne avant d'approcher ses lèvres de son oreille.

"Tu sais qui je suis et je sais qui tu es... alors dis moi ce que fait l'un des fils de l'Oyabun Sawada dans un tel endroit? "

Quel idiot étais-je. J'oubliais sans arrêt que le nom de ma famille faisait peur, ou que peu de monde le prononçait. Pire que dans les films d 'Harry avec celui dont-on ne doit pas prononcer le nom. La famille n'était pas si horrible que cela tout de même si? Peu importe je m'en fiche. Je sais qu'il ma reconnu; en même temps je n'ai pas été très futé d'agir de la sorte, surtout avec ce type là. Je sais ce qu'il est. Un salle flic corrompu comme la plus part dans cette ville. Remarque je peux parler moi. Quelle idée aussi de venir le chatouiller et le provoquer dans un endroit pareil suis-je fou? Comment a-t-il su pour moi? Je me montre que rarement avec a famille. Je fais en sorte de rester seul pour leur éviter les ennuis. Enfin seul ça dépend des moments car avec Kenji je n'étais pas vraiment seul. Je sourit a cet nuit là et la façon dont-il m'avait eu. Heureusement que je ne suis pas devant l'autre flic il me prendrait pour un fou a rire de la sorte. Et puis zut pourquoi dois-je me préoccuper de lui. Je suis là pour m'amuser moi. Juste quand je dis sa une main se pose sur la mienne et je sursaute légèrement car je ne m'attendais pas à ce qu'il vienne à la charge. Il sais qui je suis tan mieux je n'aurais ainsi pas à jouer les faut semblant.

Je le regarde et l'embrasse sur la joue; Mon geste à peu être du le déstabiliser un peu, car en générale il se serait prit une belle baffe ou un cou mal placé si cela avait été un de mes autres frères. Je m'approche a mon tour de son oreilles et vient lui susurrer quelques mot pour que lui seul entende.Je n'ai rien a cacher mais bon.

' En effet je suis là, mais en quoi cela vous intéresse? J'ai le droit de m'amuser comme tout le monde. Et il se trouve que ce soir j'avais envie d'être là."

Je me détache de lui le sourire aux lèvres. Il doit me trouver bien étrange pour un Sawada. Et cela me plais grandement. Contrairement a un grand nombre de ma famille je n'en viens pas de suite aux mains. Je suis juste curieux. c'est en gros pour ça que je suis aller le voir. Je ne cherche aucunement les complications au contraire. je me charge de lui faire savoir, j'espère qu'il en fera autan.

Matsuo avait pu remarquer que le jeune Sawada ne s'attendait pas à ce qu'il revienne vers lui, mais Matsuo n'était pas du genre à partir sans demander son reste, il était ici pour voir comment était ce club, il n'allait pas rester 5 minutes et repartir. Le jeune Sawada avait encore des efforts à faire s'il voulait lui faire peur en lui disant qui il était, le plus amusant, c'était que le jeune Sawada ne savait pas à qui il avait à faire, car c'était certes un flic mais il n'était pas que ça, il était autre chose, de plus... sombre et malsain, sans nul doute.

Un sourire sadique fit son apparition à pensant à cela, s'il le prenait pour une victime, cela créerait un sacré problème dans la famille, le petit Sawada disparait, sans laisser de trace, ce serait assez problématique mais tellement plaisant pour Matsuo que cette idée prenait de l'importance dans sa vie.

Lorqu'il sentit les lèvres de son voisin sur sa joue, il sentit une chaleur prendre possession de ses joues, mais la douce couleur rosâtre ne fit pas son apparition, car Matsuo était simplement dénoué de sentiment et d'émotion, il était un être froid, un bloc de glace pourrait-on dire, alors le jeune Sawada ne pourrait pas voir la réaction qu'il engendrait chez lui, dommage...

Il écoutait le murmure de la voix du jeune Sawada dans son oreille, il était peut-être un être froid, mais il faut avouer que le murmure comme ça ne laissait pas indifférent notre petit flic... Oh il ne va pas se jeter sur lui, il va encore moins le draguer, mais il pourrait bien mettre son idée en marche, ainsi, il pourrait assouvir son besoin et son envie sexuel même s'il était moins important que son sadisme.

"Cela ne m'intéresse pas, je vous retourne simplement la question que vous m'avez posé. Je trouve cela presque étrange de voir le benjamin des Sawada seul, sans garde du corps, il serait dommage qu'il vous arrive quelque chose, votre famille serait très certainement perturbée..."

Matsuo devait se taire et éviter d'en dire trop car il pourrait bien mettre réellement et rapidement son idée en marche comme il l'avait pensé un peu plus tôt... Il s'imaginait déjà le jeune Sawada dans une mauvaise posture... dès lors, un sourire sadique fit son apparition, assez voyant pour que son voisin se pose des questions...

De nouveau assis sur le sofa je regardais mon interlocuteur dans les yeux et sourit. Satisfait que ce dernier n'avait pas vu mes gardes; Il faut dire que ceux-ci étaient très bien camouflé parmi les hôtes. a par moi personne ne penserait a les trouver ici sous de faut déguisements. A bien les regarder il pourraient très bien aire l'affaire comme hôte au club. J'invite Matsuo à s'installer près de moi. Je sais qu'il ne me fera rien pendant cette soirée. J'aperçois certains de mes gardes du corps nous surveiller. Ce dernier fait très bien son travail mais il risque de se faire repérer. Je souris en le voyant reprendre place et lui tend mon verre alcool comme pour saluer quelqu'un que je connais. Ainsi Matsuo ne saura jamais que c'est un de mes garde du corps. Installer contre le sofa je croise mes jambes et regarde de nouveau ce flic véreux. Je réponds alors à sa provocation.

" Qui vous dis que je suis seul très cher?"

" Puis parlons autre chose que famille pendant la réception voulez-vous? Pour une fois que l'on peu s'amuser autan en profiter."

Je lui tend mon verre sans alcool, comme lorsque l'on trinque avec quelqu'un et bois mon verre. Quel délicieux parfum cette boisson; Soudainement mon ventre cri famine, je cherche des yeux un serviteur/hôte et picore quelque amuses gueules que l'on nous proposes. Ha la f^te commence a battre de son plein, il était temps. Je regarde Matsuo et lui sourit encore.

" Il ne peux rien m'arriver ici, pour le moment, comme c'est une soirée neutre je suis tranquille de ce côté. Puis pourquoi voulez-vus que je disparaisse vu que j'en est pas envie. Que justement je veuille rester là. Puis souriez un peu vous serez beaucoup plus sexy qu'avec un visage sans émotions ou froids. Je vous rappelle que cette soirée est faite pour s'amuser."

De nouveau je met au milieu de la salle pour danser en rythme avec la musique. même s'il y avait peu de monde encore je doute que Matsu oserait s'avancer vers le milieu de la salle a moins que ce ne sois pour danser.

Matsuo se mit à rire, un rire discret mais qui voulait dire au jeune Sawada qu'il s'était trompé s'il pensait qu'il n'avait pas vu certains de ses gardes du corps, il regarda dans la direction du "buveur" et lui adressa un sourire sans que son voisin puisse le voir. Il ne fallait pas prendre Matsuo pour un novice, il avait appris à repérer ses "adversaires", il avait appris à "analyser" les comportements de ses adversaires, alors si le jeune Sawada pensait arriver à l'induire en erreur en "saluant" une connaissance avec son verre, il se trompait énormément.

"Le mot "seul" désignait votre famille et non pas vos gardes du corps, qui d'ailleurs, ont encore des efforts à faire pour vraiment éviter qu'on ne les repère trop vite... D'ailleurs, la personne que vous venez de saluer est un de vos gardes du corps... si j'avais voulu, je me serais débarrasser de lui dès mon arrivée, alors Nagasaki Sawada, évitez de me prendre un novice qui vient juste d'arriver et qui ne connait rien..."

Matsuo était là pour s'amuser mais il avait horreur qu'on le prenne pour un novice, ce qu'il n'était pas, il ne fallait pas que Nagasaki se sente supérieur car ce n'était pas le cas. Finalement, son voisin lui annonça qu'il ne voulait pas parler "famille" et qu'il voulait profiter de cette soirée pour s'amuser, Matsuo n'était pas contre cela, il ne demandait qu'à voir ce qu'il proposait.

Il prit le verre tendu par Nagasaki et trinqua avec lui, il le regarda attentivement tout en l'écoutant, il lui disait qu'il ne risquait rien ici et qu'il ne voulait pas disparaitre, il ne disparaitrait donc pas... seulement, si Matsuo voulait le faire disparaitre, il le ferait disparaitre comme il le voudrait et le désirait, ce serait simple pour lui, il avait l'habitude et aucun de ses gardes du corps ne pourrait rien y faire.

"Méfies toi Nagasaki..."

Il ne lui répondit pas concernant son sourire, il ne souriait pas sauf s'il s'agissait d'un sourire froid et sadique, il aimait bien la réaction de Nagasaki, il semblait vouloir lui faire croire qu'il était plus sexy avec un sourire... cela, d'ailleurs, engendra un sourire franc et sincère, ce qui était assez étrange. Puis il le vit se lever pour aller danser au milieu de la piste, Matsuo se contentait de le regarder, son verre à la main, sans y tremper ses lèvres car il n'était jamais trop prudent... il était peut-être parano aussi...

Faire peur à son ami était assez difficile en soi. Le jeune homme était constamment sur ses gardes et veillait bien à ce que personne ne le touche jamais. Alors voir que Kyoshiro avait réussit à le capturer de ses bras étaient franchement amusant. Le voleur avait rapidement pris le plateau de son ami pour le déposer plus loin, souriant doucement il était revenu vers le petit chat qui devait l’accompagner toute la soirée. Le prenant par la taille en veillant a ce que personne ne fasse vraiment attention à eux il les mena vers une table assez éloignée des autres protégées par une haie de sapin nais. Idéal pour discuter et voir arriver qui que se soit vers eux. Avançant calmement il préféré occulter la question sur Sanae pour le moment. A dire vrai il ne savait pas ou était son amant. Peut être avait-il une réunion importante ou un diné d’affaire avec les gros dirigeant d’entreprise de la ville. Enfin il lui avait envoyé un sms pour lui dire qu’il ne viendrait certainement pas ce soir et rentrerai que tard. Alors autant aller se changer un peu les idées.

S’asseoir fut le plus douloureux, ses blessures pour les plus importantes avaient commencées à guérir mais les bleus eux ne semblaient pas vouloir quitter le corps du voleur. Ce qui faisait que quoi qu’il faisant quand on touchait son dos et ses hanches il grognait tel un chien féroce près à mordre, plantant ses crocs dans la chair tendre pour la déchirer. Enfin. Kyo n’était pas un animal ou bien un animal bien camouffle. Quand ses yeux se rouvrirent sur le monde qui l’entourait Kyoshiro eut le plaisir d’apercevoir deux coupes de champagnes et une montagne d’amuse-gueules. Son ami était vraiment prévenant avec lui, c’était amusant à dire vrai. Doucement il hocha la tête à la question de son ami, déposant lui-même sa main sur celle de Vaëm. Il était attendrit. Il avait réellement un ami maintenant. Il ne put d’ailleurs pas s’empêcher longtemps de taquiner le jeune homme.

- Tu es très … En beauté dit moi

Rapidement il reçu un coup mais ne grimaça pas, ignorant la légère douleur, savourant plutôt le sourire de Vaëm. Il aimait le voir ainsi c’était plus sain. Et puis il était beaucoup plus mignon ainsi. Il n’osa pas dire qu’il était d’accord avec lui. Mais bon Vaëm était un petit chat dans le fond alors le costume allait plutôt bien avec lui-même s’il était légèrement ridicule. Surtout avec cette queue. Les talons ne choquaient pas même si le petit chat humanisé avait du mal à marcher avec. C’était amusant. Doucement Kyoshiro haussa un sourcil. Attirer tous les regards ? Qui lui ?

- Moi attirer les regards ? Idiot va …

Souriant en symbiose avec son ami il ébouriffa doucement ses cheveux en sentant sa tête sur son épaule. Il était tel un chaton en manque de caresses. Kyoshiro adorait Vaëm. Pas comme un futur amant, mais comme un frère depuis longtemps oublié. Un membre de la famille qu’il avait retrouvé. Il l’appréciait grandement et n’hésiterait pas à risquer sa vie pour lui. Son sourire s’élargit a ses mots et il murmura doucement déposant sa tête contre celle de Vaëm.

- Je suis content de t’avoir trouvé moi … Au moins même si Sanae bosse je ne suis pas tout seul … Qu’est-ce que tu fais … ?

Rapidement il avait sentit le jeune homme fourrer son visage dans son cou sans comprendre. Pas que cela le dérangeait, bien au contraire, mais c’était assez étrange de sa part. Les paroles que prononça ensuite Vaëm firent se hausser l’un de ses sourcils alors qu’il observait attentivement la salle et ses environs. Qui était cet Eïreï ? Quoi qu’il en soit Vaëm ne voulait visiblement pas le voir et au nom de Nico, le visage de voleur s’assombrit. Voila une raison de plus pour protéger le plus petit. Lui-même était à la limite du désespoir. Sanae lui avait bien dit qu’il ne voulait pas que Kyoshiro soit toucher par un autre mais comment faire quand c’est le chef de la mafia … Dans ce but Kyo avait le texto de son amant avec tristesse et joie. Il avait besoin de voir du monde et de se bourrer la gueule à coup de coupe de champagne ou autre. Une bonne cuite et faire l’idiot toute la soirée avec son meilleur ami. Quelle bonne idée ! Rapidement il alla chercher le masque de son amant entre ses doigts, le lui tendant, souriant légèrement.

- T’inquiètes … Déjà si tu restais camouflé, ça serait pas mal. Tu ne penses pas ? Et puis agit comme un hôte personne ne remarquera rien ainsi, tu en penses quoi ?

Laissant doucement échapper un petit rire, il s’amusa à entortiller une mèche de cheveux de Vaëm autour de son doigt, souriant doucement. Voila qui promettait d’être assez amusant. Récupérant une des deux coupes, il porta le liquide pétillant a ses lèvres et en avala une petit gorgée avant de reposer la flute sur la table. Bientôt un autre hôte s’approcha d’eux, et déposa doucement une petite boite devant Kyoshiro, lui souriant avant de repartir tout aussi rapidement. Il prit la petite boite en main calmement.

- Des antalgiques ? J’ai l’air de souffrir à ce point ou tu t’inquiètes ? Au faite c'est qui Eïreï ?

Cet homme prends très vite la mouche; Depuis le temps qu'il est en service il sais que je ne le prends pas pour un novice a moins que lui ai des doutes sur ses capacités. c'est ce que je pense. Je vais me retenir de lui lancer cette pique, je ne veux pas que cette si belle soirée termine dans un bain de sang. Ce serait tellement dommage. Vu que mon garde du corps c'est fait repérer je m'approche de lui pour l'informer de la situation. J'aimerais bien que l'un de mes frères arrivent. Il m'aiderait ainsi à me sortir du pétrin dans lequel je me suis mit. Quelle idée aussi d'être aller voir ce type qu'est-ce qu'il ma prit. Je me maudit devant le buffet servit et grogne tout seul. je me retourne et je le vois encore entrain de me fixer.Son regard me fait froid dans le dos.

Quelques minutes après il me suit toujours du regard c'est énervant à la fin de se sentir épier. Oui je suis aller l'aborder en premier et le chatouiller où il ne fallait mais ce n'était pas une raison pour continuer de me fixer ainsi; Il faisait peur à tout ceux qui m'approchait. On dirait un amant jaloux qui surveille ceux qui s'approche de son partenaire; Je me met une claque mentale pour avoir eu cette pensée idiote. Finalement je me rapproche de lui et le regarde de la même façon dont il me regarde. Je l'interroge du regard et prend et prend enfin la parole.

" Êtes-vous entrain de m'espionner pour savoir où je vais? Certes je vous ai offensé et m'en excuse"
" Avez-vous quelque chose à me demander pour me fixer ainsi depuis maintenant 10 bonnes minutes?"

J'attends sa réponse. J me demande ce qu'il va rétorquer? Il est vrai que je l'ai quitter un peu brusquement mais bon. Je n'aime pas avoir la sensation d'être une petite souris traqué par un gros matou. de plus le fait qu'il ai parler que je disparaisse tantôt à provoquer en moi une sorte d'inquiétudes. C'est pour cela que j'ai demander à l'un de mes garde de faire venir un de mes frères. Comme cela il pourrait intervenir si jamais il se passe quelque chose. Ha je me fais trop d'idées. La plus part des ennemis de la famille savent que je ne m'interesse pas à leur petite guerre des clan. Alors pourquoi voudrait t-il me capturer. A part pour faire pression sur la famille certes. Je me secoue la tête je pense trop. ce soir c'est soirée de fête. Il faut s'amuser. Je me le rappelle assez souvent depuis quelle a commencée. Autant rattraper mes erreurs.

" Est-ce à cause de ce que je vous ai dit tantôt que vous me fixez? Si c'est le cas j'en suis désolé. Je ne voulais pas vous offenser."

La il en avait marre.
De un il ne trouvait pas Vaëm, de deux il en avait assez de toute cette foule qui le bousculé.
Il ne compte plus le nombre de foie ou il a faillit se re trouver à quatres pattes suite à un coup de coude.
Il était mal à l'aise, le coeur prés à éclater sous la pression qu'il resentait.
Il tentait de respirer le mieu possible et d'éviter les endroit trop peuplés.
Eïreï commencait à se dire qu'il allait repartir dans sa chambre et dire à nico qu'il n'as pas trouvé ou vu l'hote. Quite à se prendre une réprimende il préfèrait ca que de mourir étouffé dans la foule, d'un arret cardiaque ou d'étouffement.

- Je ne pensais pas que devenir suivant me ferait devenir chercheur d'hote.

Ca pour le chercher il le cherchait. C'était comme un jeu d'exploration à pleins temps.
Pas trés reposant certes mais au moins le transylvanien ne mourrait pas d'ennuie au boulot et n'avait plus vraiment le temps de penser à son frère jumeau . . .
C'était voulu dans un sens, en vérité il dètestait sa chambre car tous les souvenirs de lui et de son frère revenait le tourmenter lorsqu'il était seul.
Le silence, la tranquilité de se lieu laissait les images sons et sensations du passé douloureux refaire surface.
L'abscence de sa moitié grandissait au fil des jours et des nuits creusant le vide qu'il ressentait en lui.
Ainsi le jeune suivent se tuait au travail si on peu dire, cherchant à avoir toujours quelques pour lui occuper l'esprit pour ne plus penser aux baisers et aux caresses de Draik son jumeau.

- draik ...

Une vague de tristesse apparu au fond de lui.
Il aimerait être à c'etscôtés plutot, qu'à cette fete stupide a bosser pour un mafieux et son hote.
perdu dans se spensées il ne vit pas la personne débouler d'un coup le bousculant violement et le faisant tomber. Eïreï se fracassa violement le crane contre une table poussant un gémissement de douleur.
Vous pensez bien que le chauffar ne s'arreta pas et ne pretat pas attention a lui.
Il se redressa difficilement se frottant le crane et reprenant ses esprits trés lentement.
Il se retourna pour s'exuser d'avoir dérangé les personnes présente à la table.
quel ne fut passa surprise de découvrir l'hote en présence d'un homme.
Il était donc la depuis tout se temp.

- Vaëm ....

Il aurait voulu lui demander se qu'ilfaisait avec cet homme mais la douleur que lui infligeait sa tête l'en dissuada. C'était comme une résonnance dans toute sa boite cranniene suivit d'une inflamation à l'endroit ou sa tête avait heurté la table.
Il fixait l'hote sans vraiment le faire exprés, encor dans les vappes et essayant de retrouver au plus vite ses esprits
Finalement il l'avait trouvé mais ca n'a pas était sans peine...ni douleur.

Une longue limousine noire s'était coulée sans un bruit devant l'entrée du Club, et soudain, le temps avait parut se figer. Une escouade de gardes du corps sembla apparaître de nul part, formant une haie d'honneur jusqu'à l'entrée du Luxurious qui fut rapidement vidée de ses occupants.
Alors, et alors seulement, le garde du corps personnel du passager de la voiture ouvrit la porte arrière de cette dernière, laissant une silhouette mince mais au combien musclée en sortir dans un froufrou agréable de soie et de cheveux agités par le vent.
Une main fine vint remettre les mèches folles en place, et les yeux perçants de l'homme parcoururent brièvement les alentours, les lumières de l'host club y faisant briller quelques éclats violets bien vite dissipés.

- Allons-y.

D'un geste négligent de la main, il remonta son kimono d'apparat qui avait tendance à glisser de ses épaules étroites, et le cortège se mit en branle, le protégeant jusqu'à ce qu'il entre dans le domaine Omura, le seul autre lieux sûr de toute la ville en dehors de la résidence Sawada. Ses pieds chaussés de sandales glissaient sans bruit sur le tapis douillet du grand hall, le bas de son vêtement dansant sensuellement sur ses jambes sans pour autant dévoiler quoi que ce soit, de son corps pourtant presque fluet pour sa taille se dégageait une aura à la fois attirante et terrifiante. C'était un animal qui venait d'entrer. Et pas n'importe lequel. Un fauve. Un prédateur. Un être ô combien dangereux et capable de frapper sans la moindre hésitation, comme les fils qu'il avait fait à son image.
Un jour, un homme avait eut le bon goût de le comparer à un tigre, et l'idée, sans lui déplaire, l'avait intriguée. Il était rare qu'on ose la moindre comparaison à son égars, il était ce qu'il était, et cela s'arrêtait là, mais ce fait avait retenu son attention quelques instant, assez pour qu'il décide qu'il n'était non pas l'un de ces rustaud de tigre, mais quelque chose de plus élégant, comme un panthère, ou un animal dans ces eaux là. Enfin, ce n'étaient que des réflexions frivoles et sans intérêt.
Car il était ce qu'il était.
Et pas n'importe qui...

Les gens s'écartaient déjà sur son passage sans qu'il ai le moindre mot à dire, et l'on murmurait son nom avec frisson sur son passage.
Sawada.
Séphiel Sawada était présent à la fête.
Majestueux, le visage impassible, il traversa la piste de danse presque sans jeter le moindre regard autour de lui, ne quittant sa destination des yeux que pour lancer un coup d'oeil d'avertissement à son fils qui se déhanchait un peu plus loin en compagnie d'un homme qu'il n'appréciait guère (encore un subalterne sur qui l'ont ne pouvait guère compter, malgré son talent non négligeable pour... l'art de faire parler).
Royal, il se laissa tomber sur une banquette un peu éloignée de la foule, ordonnant d'un mouvement de main nonchalant à l'un des hôte -vêtu en père noël- de venir s'occuper de lui.

Voyons en quoi la soirée de Kioshi était si... spectaculaire...

Un sourire amusé était de nouveau venu éclairer le visage d'ordinaire fermé de l'hôte, et il s'était mis à taquiner Kyoshiro sur sa tenue, continuant à soutenir qu'avec cette chemise, il mettait sa finesse et ses yeux en valeur, attirant tous les regard sur lui, se mettant pleinement dans le rôle de l'hôte... mais aussi de la jeune fille en train de parler chiffon, ce qui finit par le faire éclater de rire.
Souriant en même temps que son ami, il avait posé sa tête sur son épaule, savourant le passage des doigts dans ses cheveux, chose qu'il lui autorisait à lui seulement. Contrairement au mafieux à lunette, il ne le considérait pas comme un grand frère, ayant énormément de mal avec ces notions familiales depuis que son vrai frère l'avait vendu pour payer ses dettes, mais les sentiments étaient là : c'était un être précieux, auquel il tenait beaucoup. Leur relation était spéciale, nouée dans la douleur et pimentée par le secret, mais extrêmement forte et agréable.
Il aimait être en sa présence.
Il se sentait bien. En sécurité. A l'aise...

Aussi le lui dit-il, murmurant qu'il était heureux qu'il soit venu. Il lui sauvait réellement sa soirée de part sa présence. Cependant, il glissa quand même une question qui pouvait fâcher, sur la raison pour laquelle il n'était pas avec Sanae comme prévu, et il reçu une réponse rassurante : un instant, il avait eut peur que les deux hommes ne se soient disputés. Il ne connaissait pas le maire, mais rien que pour les sourires qu'il faisait éclore sur les lèvres de Kyo lorsqu'il en parlait, il l'aimait profondément. Ça lui aurait fait mal qu'ils se séparent.
Et puis soudain, son regard avait capté la silhouette bien connue de son suivant, et il avait précipité son visage dans le cou de son compagnon pour se cacher, laissant échapper quelques explications furtives pour faire comprendre son geste.

Et puis Kyo avait soudainement prit le masque le l'hôte pour le lui rendre, lui disant avec raison que s'il dissimulait son visage et se conduisait comme un hôte, personne ne le reconnaîtrait...
Un large sourire s'était soudain dessiné sur son visage.
Jouer à faire l'hôte... il adorait cette idée.
Surtout si c'était pour son ami.

- Pourquoi pas...

Malicieux, il laissa son compagnon faire des bouclettes avec ses cheveux avant de frôler ses lèvres par jeux, venant s'installer à cheval sur ses jambes, sa queue de chat s'agitant avec amusement dans son dos, le masque encore entre ses doigts, attrapant la boîte d'antalgique au passage.
Il défit l'emballage et glissa un cachet entre les lèvres de son invité de la soirée.

- Oui tu as l'air de souffrir.

Il prit sa coupe de champagne et la vida d'un trait.

- Et Eïreï, c'est la nouvelle invention de Nico pour me surveiller... il m'a alloué un suivant... où que j'aille, il me suis, il me surveille, il m'empêche de voir les gens... il est gentil, un peu couillon, mais d'un looourd...

En disant cela, il s'était laissé aller contre le torse de Kyoshiro avec un soupir, faussement dramatique, faisant bien attention à ne pas appuyer sur les blessures que le jeune homme devait encore avoir sur le corps. La tête sur l'épaule de son ami, il tendit le bras pour poser sa flûte sur la table lorsque... cette dernière s'envola.

- HEY !!!

Le choc de la surprise fit bientôt place à l'inquiétude lorsqu'il vit qui venait de s'éclater le crâne contre la table : Eïreï...
Il était dans la merde...
Mais surtout, son suivant était blessé.
Leste, il descendit des jambes de son compagnon, titubant sur ses talons trop haut, et s'accroupit avec inquiétude auprès du jeune homme.

- Ça va ?...

Ses doigts effleurèrent le visage du garçon, et ses bras passèrent doucement sous les bras du suivant pour l'aider à se redresser et s'asseoir. D'un geste de la main, il demanda à deux serveurs de venir remettre en place leur table pendant qu'il s'occupait de la blessure au front d'Eïreï.

- Franchement... qu'est ce que tu fous là ?... (soupir) Tu sais très bien que tu ne supporte pas le monde, quelle idée de me suivre jusqu'ici !

Subaru restait un plateau de coupe de champagne à la main, il regardait les invité arrivé petit à petit chacun vêtu élégament. Il souriait et approtait les coupes avec des regards charmeur. Mais le coeur n'y était pas trop, on pouvait dire qu'il s'ennuyait. Il commençait à s'habituer à son pantalon qui lui semblait, aux premiers abords, trop près de son corps. Mais finalement la sensation n'était pas si désagréable que cela. Il finit par regarder à l'entré. Un homme venait d'entré. Un homme extrèmement élégant. Subaru en oublia tous les autres invités et n'eut alors d'yeux que pour le nouveau venu dans le club. Que de finesse et de beauté... que de force dans ce regard. Rien n'était vraiment comparable. L'homme était vetût d'un habit de soi. On aurait put croire qu'il était très fin en dessous mais dans un sens Subaru doutait que cet homme soit le genre que l'on approche sans considération. Il semblait aussi très important vu le monde qu'il y avait autour de lui lorsqu'il était rentré... Subaru se demanda s'il oserait venir lui proposer une coupe de champagne. Il n'eut même pas besoins d'aller le voir que l'homme lui faisait un signe pour venir à lui. Il ouvrit des yeux surprit mais sourit et s'approcha avec le plateau en se penchant vers le cher invité. Il présenta le plateau devant lui et avec un sourire fin lui proposa la délicieuse boisson.

"Je serais ravi de pouvoir vous aider en quoi que se soit."

Subaru ne savait pas trop comment réagir avec l'homme, il était très mal à l'aise d'un côté à cause du charisme que dégageait l'homme. Mais l'exitation était aussi très forte. Il ne savait pas quoi, mais il sentait bien que cet homme n'était pas comme les autres. Il resta aux côtés de l'homme attendant que celui-ci l'invite à s'assoir ou le renvoi. Il avait quand même une certaine éducation et ne comptait pas s'attirer les foudres de cet homme là. Bien au contraire. Il sourit intérieurement, la soirée s'annonçait riche en rencontre. L'ennui mortel qu'il avait eut en début de soirée c'était envolé grâce à la simple entré de ce bel apollon. Que demander de plus face à se cadeau envoyé du ciel. Il sorit et se pencha de nouveau vers l'homme un sourire agréable aux lèvres.

"Si je puis vous apporter quoi que se soit d'autre.."

*Et si je peux vous servire pour quoi que se soit*. Pensa Subaru très très fortement, il n'allait quand même pas dire de tel chose, il fallait impérativement qu'il reste poli. Il sourit et attendit la réponse tant attendu du prédateur qui lui faisait face. Subaru savait peut-être reconnaître certaine proies, il savait aussi reconnaître les prédateurs dangereux. Et celui-là semblait le plus dangereux de tous, ce qui était encore plus exitant pour le jeune corbeau aux yeux d'or.

Matsuo observait Nagasaki mais il faisait cela juste pour l'énerver, rien de plus, il aimait énerver les autres, les voir "exploser" ou dire ce qu'ils pensaient, c'était d'un amusement presque machiavélique... il pouvait le voir parler à son garde du corps, il semblait l'informer de ce qu'il se passait ici avec lui, Matsuo se demandait si la famille Sawada viendrait pour aider Nagasaki à se sortir de là... quoique Nagasaki pourrait s'en sortir tout seul, mais cela n'était pas certain puisque Matsuo avait envie de s'amuser avec lui.

Lorsqu'il vit Nagasaki revenir vers lui et le regarder comme il le faisait à son encontre, un sourire s'afficha sur son visage, Matsuo le trouvait drôle surtout quand il lui demanda s'il l'espionnait... son sourire s'agrandit pour laisser apparaitre ses dents blanches et se mit à rire, Nagasaki était vraiment drôle, s'il l'espionnait vraiment, il serait un piètre espion, non s'il l'espionnait vraiment, il le ferait autrement...

"Vous espionnez? Pas du tout, je m'amuse à vous énervez, rien de plus... cela dit, vous être drôle de me demander si je vous espionne... il y a bien longtemps que je vous espionne, votre famille et vous..."

D'un geste rapide, je saisis le poignet de Nagasaki et le tira contre lui, il voulait le faire s'asseoir et il savait que son garde du corps n'en resterait pas de marbre, il devrait logiquement faire quelque chose et Matsuo n'attendait que ça, il pourrait se servir de cela comme prétexte pour "enlever" le jeune Sawada.

"Il m'en faut plus pour m'offenser et me perturber... mais je vous remercie de vos excuses. Pour ce qui est de la question que je suis censé vous demandez, la voici... Combien de temps mettront les membres de votre famille pour venir ici? Car c'est bien ce que vous avez demandé à votre garde du corps, je me trompe?"

Je grognais. ce type se croyait tout permis. Quel malheur j'ai eu d'aller l'aborder. Et pourquoi tien-t-il tan à m'énerver? Je ne sais pas. C'est raté, il en faut beaucoup pour me faire sortir de mes gongs. Lorsqu'il me saisit le poignet je vois un de mes garde du corps s'approcher. Je fait signe a ce dernier de ne pas bouger. Je ne veux pas d'histoire lors de cette fête. Il avait une force incroyable. J'obéis donc et m'assoie sur le sofa. Je lui lance un regard noir. Enfin quelqu'un de la famille arrivait. Je ne m'attendait pas que ce soit mon père. Il devait avoir eu vent de la soirée et non dans le tourment dans lequel je m'étais mis tout seul. Mes yeux se pose sur lui.

" Il ne se passera rien parce que je n'ai rien demandé à mes gardes du corps."
" Même si mon père est là, il na pas eu le temps d'avoir eu vent de la situation en si peu de temps."
"De plus vu son regard posé sur vous je me doute qu'il apprécie votre geste envers moi."
"Je vous serez grès Mr de me lâcher."

Un hôte avec un plateau passait par là. Je prends la coupe de champagne et bois que de très petites gorgés mais ne termine pas mon verre. Je le regarde l'air de dire nous n'allons pas nous donner en spectacle quand même. Le fait de me relever me fais me coller contre lui. C'est la seconde fois que je suis aussi proche de quelqu'un. Mais lui ne me veux pas que du bien cela ce vois dans son regard. Je cherche mon père des yeux et je grogne de le voir occupé avec un hôte. En même temps il n'était pas question de querelle pendant la soirée alors je fit comme si tout aller bien et je souriais;
Je continu de parler à mon "tortionnaire."

" C'est quand vous voulez pour me lâcher"

Pas que je m'énerve loin de là, mais cette position commençait à être gênante. Du cou je lui donne un cou de hanche et le voila qui bascule sur le sofa du à la surprise de ce geste. Enfin je récupère mon bras quand il me lâche et me dirige rapidement vers les toilette prenant soin de verrouiller ma porte et je grogne pestant contre ce type. Bon maintenant il faut que je sorte. Et la je vois une autre porte qui donne sur l'extérieur. Bingo. Il est grand temps que je parte cette soirée commence prendre une tournure bizarre. J'appelle mon chauffeur qui met un temps fou à me rejoindre. Mes gardes sorte de la pièce juste avan. ce qui a du interpeler ce brave policier véreux.

Installé quelque peu négligemment sur sa banquette, Séphiel avait prit le temps de détailler les personnes présentes, repoussant d'un simple geste de main les "hommages" que certains voulaient venir lui rendre. Il était ici pour s'amuser, pas pour supporter les bavardages ennuyeux des lèches bottes. Son regard était finalement tombé sur un hôte à son goût, et il lui avait fait signe de venir, déclenchant une brève incertitude chez le jeune homme, ce qui lui tira un mince sourire amusé : il avait l'habitude de ce genre de réaction, mais chez un hôte du Luxurious, c'était toujours comme... mh... mignon ? Pas vraiment... mais il éprouvait une sorte de tendresse pour ces hommes que d'ordinaire rien ne déstabilisaient, et qui se trouvaient brusquement empreintés en sa présence.
Il les intimidait.
Et il aimait ça.

Le jeune homme se rapprocha de sa table, lui servant un magnifique sourire ainsi qu'un peu de champagne que le parrain de la pègre prit avec plaisir, portant la coupe à ses lèvres pour savourer le liquide ambré et pétillant sans pour l'instant répondre à la question du garçon. Il aimait faire attendre.
En particulier les hôtes.
Après avoir bu la moitié de sa coupe, il reposa l'objet sur la table, observant avec une attention soutenu celui sur qui il avait jeté son dévolus pour la soirée. Plutôt grand, svelte, moulé de façon un peu trop vulgaire dans un pantalon rouge (il préférait lorsque les vêtements ne faisaient que suggérer les corps, pas lorsqu'ils les dévoilaient de façon aussi crue) mais toujours agréable au regard, il était réellement plaisant. Oui, il avait fait le bon choix.
Voyant que le jeune homme se penchait de nouveau sur lui, un sourire factice mais rayonnant accroché aux lèvres, le Sawada pencha gracieusement la tête sur le côté, une expression amusée sur le visage.

- Eh bien... tu pourrais me tenir compagnie pour la soirée ?

D'un léger mouvement d'un main, il invita le jeune homme à s'installer à ses côtés tandis qu'un seul regard suffisait pour que l'un de ses gardes débarrasse le garçon de son plateau.
Tout en surveillant son benjamin qui flirtait de beaucoup trop près avec ce flic verreux, du coin de l'oeil, il se tourna vers son hôte avec l'esquisse d'un sourire.

- A qui ai-je l'honneur ?

Sa main fine, mais forte, débarrassa Subaru de son bonnet avec délicatesse tandis qu'il se faisait la réflexion que cet accoutrement était réellement ridicule.
Enfin...
Le bonnet fut négligemment jeté sur la table et le parrain de la mafia esquissa une moue contrariée.

- Faut-il vraiment que tu portes ça ?

L'homme qui lui faisait face semblait savourer avec un grand plaisir l'attente insuportable qu'il faisait subir à l'hôte. Subaru était tellement intimidé par l'homme... Mais son côté joueur et parieur avait prit le dessus. Un sourire franc et joueur se dessina sur ses lèvres tandis que l'homme lui proposait de li tenir compagnie. Il s'assit à ses côté avec se sourire joueur toujours en coin. Les gardes de l'homme le débarassa de son plateau. Il le regarda faire comme un enfant qui voit une grande roue pour la première fois. Il se reprit et se tourna vers le bel appollon mystérieu. Il regarda l'homme curieusement.

"Subaru, Subaru Seirawa, mais Subaru suffira. Puis-je connaître le nom de celui qui me demande par une si belle soirée ?"

Il regarda son bonnet s'en aller prit par les mains du mystérieu homme. Il lui demanda si se bonnet était nécéssaire avec une moue qui le dit encore plus sourire. Décidément... Que d'amusement pour la soirée. Il se demandait bien comment le bel homme pouvait s'appeller. Il se pencha vers lui avec un sourire joueur et des yeux brillants.

"Si cela peut vous faire plaisir, je peux enlever le reste... Mais... j'aimerais éviter que cela se passe en public..."

Un éclair rieur passa dans ses yeux d'or. Il passa sa main dans ses cheveux laissant sa tête se balader en arrière quelques seconde et se redressa quelques mèches noir ébène dans les yeux. Il adorait être décoiffé. C'était bien plus agréable. Et il était vrai qu'il avait chaud sous ce bonnet ridicul. Il prit une coupe de champagne pleine, qui était sur le plateau qui se trouvait lui-même sur la table devant eux. Il la porta à ses lèvres en fermant les yeux. Il aimait déguster avec les yeux fermer comme si ses autres sens se mettaient encore plus en éveil. Il en bu quelques gorgé et reposa le verre en se léchant lentement les lèvres. Il se tourna vers le bel homme en souriant.

"Que me vaud l'honneur d'avoir été choisi, si je puis me permettre ?"

Subaru n'était pas trop du genre à être très très poli, mais quand il parlait de cette façon c'est que d'une manière il jouait. Et il avait envi de voir comment jouerait l'homme en fac de lui. Il avait toujours eu un gros défaut, la curiosité. Mais souvent il arrivait à ne pas trop s'atirer d'ennui, même si la plupart des ennuis qu'il s'attirait étaient du à sa curiosité un peu trop grande. Mais après tout c'était les risques et puis il s'amusait bien.

Matsuo se mit à rire en voyant le garde du corps commencer à s'approcher suite au geste qu'il venait de faire à Nagasaki... il était amusant, on prenait vraiment soin de lui, il avait presque l'impression qu'il était face à un prince ou on ne sait quoi, c'était assez amusant à voir. Une fois que Nagasaki se soit assis, Matsuo lui lâcha le bras, il écoutait ses dires et finit par sourire, Nagasaki semblait vraiment protégé par sa famille, mais il ne serait pas éternellement protégé.

"Aurais-je donc un prince face à moi? Ne me fais pas rire Nagasaki, tu es allé demandé de l'aide, tu ne peux donc pas te défendre tout seul? C'est bien dommage pour un membre de la famille Sawada... Je suis déçu..."

Matsuo était déçu oui, il ne pourrait pas s'amuser comme il le voudrait, mais cela ne devait pas être un obstacle, il aurait tout le temps pour s'amuser avec Nagasaki, ce serait plus intéressant si jamais sa famille se mettait à la recherche de l'un de ses membres, Matsuo risquait d'y prendre goût donc ce serait amusant, plus que si sa victime savait se défendre.

Matsuo avait saisit une nouvelle fois le bras de Nagasaki, celui-ci lui donna un coup de hanche qui le fit tomber sur le sofa, il se releva rapidement et le vit se diriger vers les toilettes, dès lors, il comprit que Nagasaki allait s'enfuir et il n'allait pas le faire en sortant par la grande porte, il vit un groupe de gardes du corps entourant le jeune Sawada, il sourit et se leva à son tour, il allait passer à l'attaque, il ne prendrait pas longtemps pour se débarrasser des gardes du corps.

*Si tu crois t'en sortir comme ça...Tu te trompes mon petit Sawada... *

Pourquoi sortir par la grande porte lorsque l'on peu le faire par la petite et en toute discrétion sans déranger la fête. D'un côté il était vrai que je n'avais demander d'informer à mes gardes de ce qu'il se passait. J'avais aussi dit que je me chargerais de ce flic. Bon je le fais très mal certes et alors. Prince? Je ne suis pas un prince loin de là. Si je l'avais été Matsuo était déjà mort à l'heure qu'il est. Que je déteste avoir a faire aus histoire de mon père même s'il est indirectement lié cela et que j'ai compliqué les chose en allant voir ce salle type. J'ai compris ce qu'il avait en tête. Ce serait très dure pour moi de lui échapper maintenant que faire? j'ai l'impression d'être une gazelle traquée par un lion affamé. Un fauve qui sait parfaitement où je me dirige.

M'attendant à cela lorsque je sors de la salle je prend un tout autre chemin. Celui-ci est plus sombre et étroit. Mais sure et loin des regards indiscrets. Seul un garde me suis. J'ai ordonné au autre de faire comme s'il continuaient de me suivre pour induire mon ennemi en erreur. Je souris croyant bêtement que mon plan marche. Qu'elle fou étais-je pour ne pas écouter les conseils de mon père et d'autre membres de la famille pour éloigner un ennemi. Je me traite mentalement d'idiot. De plus il aura un gros avantage je ne sais pas me battre. A part envoyer un coup de point c'est tout ce que je pourrais faire. Mais je me sous-estime trop. je dis ne pas savoir me battre car jusqu'à présent je n'en ai jamais eu l'occasion. Dans la famille je dois être l'un des seul.

Finalement je continu mon chemin détourné. Comme un idiot lorsque je vois une voiture noir ressemblant a celle de mon chauffeur s'approcher je m'approche sans me méfier de qui cela peut être.
Je ne m'inquiète pas pour mes gardes. Ils sont cinq contre une seule personne. Je souris de ma victoire. J'ai pu semer ce flic vereux sans problème finalement. En tut cas j'aurais passé malgrè tout une très bonne soirée. Cela était moins ennuyant que d'habitude.

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