『 My Identity 』
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☑ NOM │ Yara
☑ PRÉNOMS │ Lorenzo
☑ GENRE │Masculin
☑ ÂGE │29 ans
☑ ORIENTATION SEXUELLE │ Bi
☑ ACTIVITÉ │Informateur |
✗ YØUR LIFE & MØRE4 septembre 1981 : La naissance.Les derniers rayons de soleil éclairent la ville et rentre dans la fenêtre d'une chambre pour se poser sur une jeune femme qui tiens entre ses bras un bébé : Shintaro, né il y a une heure il est maintenant endormi contre sa maman sous le regard émerveillé de ses deux parents. Sa mère Akina est une japonaise petite, brune et surtout c'est une grande pianiste qui fait des tournées dans tour le Japon. Son père Emon est serveur dans un grand restaurant. Shintaro est leur premier enfant et le dernier, fils unique qui sera gâté et choyé. Shintaro ne se doute pas qu'une longue destinée l'attend avec un nombre incalculable d'expérience et d'aventure, il dort pour l'instant comme le bien heureux bébé qu'il est. Seul un autre membre de la famille viendra rendre visite a ce petit élu, Chiyo sa tante, la sœur de sa mère. Il ne connaitra jamais le reste de sa famille mais cela ne lui manquera pas.
L'enfance de Shintaro : Les parents de Shintaro travaillant beaucoup, le petit bout de chou passait les trois quart du temps chez sa tante qui était comme une seconde mère. Il voyait souvent son père mais rarement sa mère qui avec le temps faisait des tournées hors du Japon. Il avait toujours des jolies cartes des pays ou elle allait, et elle lui ramenait toujours des cadeaux. Shintaro ne manquait de rien, il avait l'amour de ses parents même si il les voyait peu, du confort, des jouets. Bref c'était un tout petit être plutôt épanouis. A l'école ça se passait bien, il était en maternelle que sa mère prévoyait déjà son inscription dans une grande université. Son école était une école privée, une des meilleurs de la ville, ou il n'y avait que des petits élus dedans, des fils de riche. Il fallait l'argent pour y rentrer et des capacités. Shintaro se révélait au plus grand bonheur de ses parents doué à l'école. On lui fit même sauter une classe, il avait la sensation que tout rentrait de manière naturelle, curieux aussi attentif aux leçons. La seule chose peut être inquiétante il n’avait pas vraiment d'ami à son école, ce n'était pas un souffre douleur mais il préférait jouer avec des cailloux dans son petit coin que jouer au loup ou autre connerie, c'était des activités bruyante ou les enfants criaient et il n'aimait pas ça. Tant qu'on le laissait tranquille après tout. Après l'école sa tante venait le chercher et l'emmenait dans sa boutique. Il devait rester sage pendant qu'elle recevait des clients, et il faisait ça merveilleusement. Il faut dire qu'elle lui avait appris un jeu très intéressant, il observait chaque client qui rentrait et notait tout ce qu'il voyait, c'était marrant, un exercice pour la mémoire aussi. Il faisait ensuite son rapport a la vendeuse sa tante et se sentait presque important, comme si il accomplissait une grande mission, il adorait ça. En grandissant le jeu se compliquait, il ne s'agissait plus de décrire le monsieur qui venait acheter mais aussi de tirer des conclusions de ses observations. Il observait si le monsieur était soignés, si ses vêtements étaient de la marque pour se dire qu'il était riche, si il avait une alliance... il trouvait ça passionnant il pouvait ensuite imaginer la vie de ses gens qu'il ne connaissait pas. Plus tard il apprit à essayer de décrypter les expressions, la façon de parler de quelqu'un ses gestes, ses moues, son regard...
L'adolescence : Le temps passait vite, et voilà que de petit garçon haut de trois pommes il prenait plusieurs centimètres par mois. Shintaro avait peu changé depuis le primaire. Il était toujours assez solitaire dans le fond mais il avait lié connaissance avec tous ses camarades avec qui il bavardait souvent, pas de meilleurs amis mais des camarades de classe oui. Il avait pas forcément beaucoup de popularité mais assez pour attirer deux trois filles, m'enfin a 13 ans cela ne l'intéressait pas encore, il n'allait jamais aux boums de ses camarades et autres. Il était mieux chez lui, même si il n'était plus obligé d'aller chez sa tante il continuait son jeu en permanence. La fenêtre de sa chambre donnait sur une rue bien fréquentée, et celle du salon sur une ruelle avec moins de passage. Il avait repéré une pizzeria dans cette ruelle qui semblait recevoir plus que de simple client, oui a force d'observation et d'intelligence cette pizzeria était un repère... mais un repère de quoi ? Des beaux messieurs y allaient souvent avec de belles chaussures qui brillaient, toujours bien cirées. Plus tard il voulait être comme ça. Et c'est ainsi que le jour de 14 ans pas timide pour un sous il se planta devant le patron et lui sorti qu'il voulait travailler pour lui. Le patron éclata de rire, mais il fut pris et pas pour faire des pizzas. Il devait simplement porter des colis de temps à autres à des endroits de la ville, il ignorait ce qu'il y avait dans ses colis mais ça avait l'air important et précieux, puis le patron le payait bien. Ses propres sous à lui. Ses parents avaient beau avoir des moyens ils étaient radins, il n'avait même pas d'argent de poche quoi. Il conservait tout cet argent dans une boite. Parfois il devait sécher des cours, c'était quand il avait une course importante à faire pour le patron. Il espérait que bien vite il aurait des trucs plus intéressants à faire. Quand il fut au lycée, il commença à passer le plus clair de son temps à la pizzeria. Ses parents se disaient qu'ils s'étaient enfin fait des amis. Les cours il y mettait de moins en moins les pieds et bien évidemment un beau jour le directeur appela ses parents pour les convoquer. C'était la fin de tout, il se fit engueuler comme jamais, prétexta avoir une copine mais bon...ce n’était pas une excuse, faudrait qu'il trouve moins pourris la prochaine fois. Qu'il développe un une argumentation un peu meilleure. Il du dire au patron avec regret qu'il ne pourrait plus bosser pour lui car ses parents allaient l'avoir à l'œil et puis à cause de son école. Un regret oui mais qui s'envola vite quand le patron lui dit qu'il allait tout arranger et lorsque les parents allèrent rencontrer le directeur, ce dernier leur sorti qu'il avait juste loupé un cours que ce n'était qu'un avertissement et que Shintaro était un élève modèle et travailleurs. Le directeur était nerveux, faut dire qu'il s'était fait taper dessus et menacer, désormais Shintaro recevait des bulletins impeccable avec des bonnes appréciations alors qu'il loupait la moitié des devoirs vu qu’il n’était pas là. Malgré tout, il essayait d'étudier chez lui dans les bouquins parce que avoir un vrai diplôme ça lui disait bien, il travaillait jusqu'à tard dans la nuit et se rendait juste aux examens.
Le 19 avril 1999 : le départ pour l'armée.A la fin du lycée, il passa le concours d'admission à l’université et fut reçu dans les premiers. Une joie à fêter avec la famille et pourtant se soir là ne se passa pas des mieux. Il leur annonça qu'il arrêtait ses études et s'inscrivait dans l'armée. Sa mère faillit faire une attaque, quand à son père il était silencieux, un peu choqué. La soirée fut animée entre cri, supplication, interdiction mais il avait pris sa décision. Travailler pour la mafia lui avait appris beaucoup au cours de ses quatre ans puisqu'il en avait désormais 18 mais il ne voulait pas travailler à vie avec eux. Y entrer fut facile, en sortir serait difficile il le savait. Ainsi Shintaro parti rejoindre les rangs de l'armée pour devenir un militaire, apprendre à tuer, tirer. Partir faire la guerre. Il était prêt. Il resta 2 ans dans l'armée japonaise jusqu'à ce qu'il apprenne la mort de ses parents dans un accident de voiture. Cette nouvelle l'affecta beaucoup. Il quitta l'armée, était ce réellement un accident ? Peut être était il parano mais au fond de lui même c'était comme un signe, peut être que la mafia n'avait pas apprécié son départ, un rappel à l'ordre. Ses pensées devenaient profondes et noires, ses parents étaient mort lui laissant une bonne petite fortune, ils n'étaient pas du genre dépensier. Lorenz non plus et il avait lui même de bonnes économies après tout. Il assista à leur enterrement et pleura pour la première fois de sa vie. Il avait déçu ses parents... mais il espérait un jour que de là haut il serait de nouveau fier de lui comme ils l'avaient été dans sa jeunesse. Shintaro mit la maison de ses parents en vente et parti après avoir dit au revoir à sa tante en Amérique. Il reparti dans l'armée mais américaine cette fois et c'est ainsi qu'il se retrouva à faire la guerre d'Afghanistan en 2001, qu'il se fit passer pour mort en 2003 pour revenir au Japon sous le nom de Lorenz, sa nouvelle identité à tout jamais. Shintaro appartenait désormais au passé.
2003 : Le départ d'une nouvelle vie.Lorenz était de retour au Japon. Pas question de retourner voir la mafia, de près ou de loin. Non il voulait être quelqu'un d'indépendant. Il voulait monter sa propre entreprise mais il savait que ça ne serait pas une mince affaires, il aurait besoin d'argent, de beaucoup d'argent. Il n'avait que peu touché à son héritage et ses économies. Besoin d'homme aussi. Besoin de beaucoup de chose...il allait devoir y aller doucement, se faire son réseau. La première chose que fit Lorenz s'était de s'acheter un restaurant. Etre propriétaire, pas n'importe quel restaurant, un des plus grands de la ville, que du luxe. Ça lui rapporterait des sous. Il fit juste quelques travaux dans le restaurant, derrière le bar il y avait un grand miroir, mais de l'autre côté du miroir c'était le bureau de Lorenz qui lui ne voyait pas un miroir mais une vitre, il pouvait donc observer à loisir les clients, encore mieux que des caméras. Quand au reste il logeait au dessus du restaurant c'est là qu'était ses quartiers, il acheta aussi un studio isolé en ville. Il ne lui restait après ça plus rien de sa fortune. En attendant de pouvoir monter son projet il ne resta pas inactif, il vendit des armes, parfois de la drogue. Il évoluait en solo dans un milieu pas des plus nets. Et puis il était désormais majeur après tout, puisqu'au Japon c'était 21 ans. Il avait une liberté totale, les femmes qu'il voulait, ou les hommes ça dépendait. C'est à l'armée qu'il a eu sa première relation avec un homme faute d'avoir autre chose, et puis sans être grossier un trou c'est un trou. Il restait dominant s'en foutant du sexe de son partenaire. Il prenait son pied dans les deux cas donc bon. Tout en faisant ses petits travaux il n'en gardait pas moins ses projets dans la tête et commençait à prendre des notes. Sur sa clientèle, sur foule de petite chose. Le concept était très simple. Lorenz se baladait avec un jeu de carte, sur les cartes au lieu du traditionnel valet de cœur, il y avait la photo d'un homme. Pour le jeune homme cela signifiait qu'il possédait la carte de cet homme. C'est une manière de dire qu'il connaissait son point faible, son secret et il appelait ça une carte. Tous les hommes sur terre en ont une, même lui. Qu'on en soit conscient ou non. Il rejoignait ce qu'il faisait si bien quand il était petit, observer, apprendre tout d'une personne. Bon il s'agissait plus seulement d'observer parfois fallait aller chercher loin l'information. Dans les placards de Lorenz se trouvait plus de cinquante tenues différentes, il avait de l'argent il achetait sa nouvelle tenue pour une nouvelle rencontre, celle d'un étudiant, d'un homme d'affaire, d'un pauvre, d'un riche, d'un étranger... c'était très pratique. Et quand je dis tenue, c'est de la tête au pied, l'éventuelle perruque qui irait avec, la montre, les chaussures tout. Pas un détail d'oublié. Il commençait à avoir quelques cartes, à se faire quelques relations. Mais que ferait-il de ses cartes ? Il songeait à les vendre, très cher... et un jour il aurait une clientèle, besoin d'information on irait le voir parce qu'il aura la carte de toutes les personnes vivant dans cette ville. Mais bon le problème c'est qu’il ne pouvait pas tout faire, ce n’est pas superman non plus. Il était temps au bout de longues années qu'il devienne patron, son boulot à lui serait la relation avec les clients, la gloire et les devants de la scène. Mais avant tout il aurait besoin de quelqu'un de fidèle, de loyal et d'entièrement dévoué corps et âmes.
2006 : Un mauvais départ.Alors que Lorenz s'était décidé à trouver l'homme de sa vie, façon de parler, il cherchait quelqu’un, un futur employé mais plus que ça. Il imaginait un vrai partenaire comme les deux doigts de la main. Et ça coulerait de source. Oui il est idéaliste parfois. Il commençait doucement à chercher quelqu'un d'intéressant, qui n'aurait pas peur du risque, dans les caïds, ou il ne sait pas trop...une tête brulée peut être. Et c'est là qu'arriva un événement imprévu. Lorenz sortait depuis plusieurs mois avec une jolie fille nommée Maeko, très belle et très envoutante, elle disait avoir 20 ans. Il était vraiment bien avec. Il était toujours bien avec les filles qu'il choisissait remarquez. Elle en avait dans la tête te savait ce qu'elle voulait. Et qu'un soir il oublie un préservatif tellement elle était chaude et impatiente et bien ça n'avait rien de grave car une fille comme elle prenait forcément la pilule n'est ce pas ? Et puis un beau jour elle commença à être plus distante, à repousser tout le temps Lorenz, à ne pas vouloir le voir. Elle avait un comportement étrange, peut être ses règles ou ses hormones. Il s'en foutait un peu à vrai dire, il l'aimait bien mais il n'était pas profondément amoureux non plus. Alors bon il s'en préoccupait pas plus que ça, il cédait à ses caprices, pas le voir, le voir. Un jour ou il eu un sms lui disant de venir, il la retrouva en larme. Ça l'agaça un peu se demandant ce qui se passait encore, ouais à la fin il en avait marre et il était bien décidé à la larguer. Enfin un peu de compassion n'a jamais fait de mal, il l'a pris dans ses bras pour la réconforter, parlant doucement jusqu'à ce qu'elle sorte qu'elle était enceinte... L'horreur. Enfin bien sur il ne lui dit pas ça, il l'emmena voir un médecin, faire des prises de sang. Vu le temps qu'elle s'était mis à se décider cette idiote le délai pour avorter était passé. 3 mois...Non mais il hallucinait, dès le premier retard de ses règles elle aurait du réagir. Il n'arrivait tout simplement pas à y croire, mais vraiment pas. Il était tombé sur une idiote profonde, qui loin d'être étudiante était en plus une lycéenne encore chez ses parents... C'était la goutte d'eau de trop. Il fallu bien sur rencontrer les parents et il se fit engueuler comme de la merde inutile de le dire. Il y peut rien si leur fille était une péta*** sérieusement quoi. M'enfin c'était fait c'était fait, ses parents voulaient déménager, qu'elle accouche sous x et basta. Cette idée le dérangeait, profondément. Il s'agissait de son enfant quand même, n'avait il pas son mot à dire ? Il y eut beaucoup de dispute, elle était à la fois de son côté à la fois de celui de ses parents, surtout des parents, normale elle ne voulait pas finir à la rue. Pour finir il alla consulter un avocat qui lui conseilla de faire une reconnaissance prénatale et de chercher l'enfant après l'accouchement. Au bout d'un long moment et d'argent aussi Lorenz réussi à conclure un accord avec les parents. Leur fille accoucherait bien sous x mais ils l'avertiraient de ou et quand afin qu'il puisse récupérer le bébé. Une fois l'accouchement passé, ils déménageraient et Lorenz ne devrait jamais chercher à retrouver leur fille ni dévoiler le nom de la mère au bébé. Au fond ça l'arrangeait de ne pas avoir à la revoir. C'est ainsi qu'a 25 ans il se retrouva avec un bébé sur les bras. Un petit bout de chou trop adorable même quand il pleurait, il n'avait jamais vu quelque chose d'aussi beau de sa vie. Ça le bouleversa énormément. Prêt à remettre son avenir en cause, à rester avec lui à tout jamais. Il était perdu, ne savait pas réellement s'occuper d'un enfant... et pourtant il se sentait pris d'un amour immense, il était si petit, on aurait qu'un rien pouvait le casser. Si fragile...et puis il avait ses yeux non ? Tout mignon. Il finit par aller voir sa tante avec le bébé, parfois le conseil d'un adulte expérimenté ça aide. Il était complètement gaga de cet enfant même si il ne voulait pas l'admettre. Et en même temps...l'élever signifiait renoncer à tous ses beaux projets, alors qu'ils allaient démarrer... c'était stupide. Et pourtant il fallait bien prendre une décision, après des nuits tourmentées il en vint à trouver une solution. Sa tante accepta d'élever l'enfant comme le sien, et lui heureux papa viendrait souvent voir son bout de chou, son trésor rien qu'a lui. Il le protégerait et ferait son possible.
Lorenz passa son temps entre son bébé et ses recherches. Il ne trouvait pas vraiment ce qu'il recherchait jusqu'à présent, des mois qu'il cherchait. Et puis un jour il tomba sur des gars qui racontaient l'histoire d'un homme. Un délinquant, une tête brulée, un imbécile qui s'embarquait dans des projets insensés trop gros pour lui tel que le braquage de banque. Un homme en prison....la prison. Il réfléchit un moment. Il n'avait pas pensé à chercher par là, mais s’il sortait un prisonnier de prison....le dit prisonnier aurait une dette envers lui. Et quelqu'un qui a une dette doit respecter ses engagements et être dévoué non ? Il allait rencontrer ce Toshyo et même si il ne convenait pas il cherchait parmi les bagnards. Il chercha la prison dans lequel il était enfermé, pour un très long moment, 4 ans qu'il y était le bonhomme quand même. Il serait sûrement heureux de trouver une porte de sortie. Lorenz réfléchit longtemps, y aller en homme d'affaire avec une grosse montre en or, montrer une éventuelle richesse pour l'impressionner ? Finalement il opta pour le genre avocat moyen, une belle tenue sans plus, une cravate et une petite mallette. Des petites lunettes sur le bout du nez et il parti à la prison. Oui il était l'avocat de Toshyo et désirait le voir. Il se demandait bien à quoi allait ressembler ce type. Il attendit. Et puis un homme franchit la porte, assis sur sa chaise Lorenz le jaugea du regard, musclé sous sa tenue de bagnard, insolent aussi. Il n'eut pas le droit à un bonjour ou a un qui êtes vous mais une phrase provocatrice '' On m'a encore foutu un avocat incompétent ou je rêve’’. C'était amusant en fait, il le prit pas mal il n'était pas avocat il se contenta de rire en l'observant. Ah il avait l'air d'avoir du caractère ça commençait bien...ou pas. Il se décida cependant à être franc et direct, il n'était pas avocat, il le cherchait et était là pour lui proposer un marché. Un marché dont Toshyo s'en foutait, mais il suffisait d'insinuer qu’il n’était pas capable de servir un grand monsieur parce qu’il n’avait pas les capacités pour le genre de mission qu'il aurait et le tour était joué.... ah les hommes et leur fierté. Il avait trouvé la bonne phrase et Toshyo accepta. Lorenz venait de trouver son homme en espérant qu'il n'aurait pas à le regretter.
Commença alors dès le lendemain son projet. Il alla chercher Toshyo à la prison. Comment il l'avait fait sortir ? Simple tour de passe-passe, un peu d'argent aussi. Une erreur judiciaire. Il existe beaucoup de moyen de faire sortir un homme et d'en envoyer un autre à sa place. Toujours était il qu'il était dehors et grâce à lui c'était ça l'important, il lui fit signer un contrat. Loyauté fidélité, homme à tout faire à son service. Si le contrat venait à se rompre Toshyo retournerait pourrir en prison jusqu'à la fin de ses jours. Et quand il dit pourrir c'est dans le vrai sens du terme. Il l'avait emmené dans un de ses studios, oui désormais il en possédait plusieurs dans la ville c'était pratique. Il lui confia des missions tout en surveillant la manière dont il les faisait. Pas si mauvais le petit, il l'emmena avec lui aussi parfois. Ça venait lentement mais sûrement. Confiance pas encore complètement mais il avait quelqu'un qui travaillait bien. Parfois il échangeait quelques mots avec lui. Il remarqua lors d'une nuit ou il surveillait une chambre d'hôtel à l'aide de jumelle que Toshyo ressentait une gène, en effet ils pouvaient voir deux femmes ensemble. Peut être était il homophobe ? Qui sait mais qu'importe le boulot c'est le boulot faut savoir passer au dessus de ses préjugés ou autre, il tenta vaguement de savoir mais ne pu rien tirer alors il le congédia lui laissant prendre sa précieuse moto. Il pouvait surveiller tout seul ce qui se passait.
Il tenta une fois de toucher le jeune homme qui refusa explicitement ses avances. Il n'était pas de ce bord là. Après tout on n’est pas tous bi ou homo ça arrive d'être hétéro et c'est ce qui est le plus courant après tout et Lorenz le respectait. Aussi ne tenta-t-il jamais réellement de nouveau. A part une nuit ou plein de désir il alla le voir dans sa chambre mais il eut un autre vent. L'histoire dit qu'il n'y a jamais deux sans trois. Et il y eut en effet une troisième fois, pas prémédité. Lorenz voyait Toshyo comme un employé sans plus, attirant mais il en mourrait pas de pas coucher avec et ça valait mieux. Ça se passait bien entre professionnellement. Ce n’était pas son idéal, les deux doigts de la main mais on ne devient pas l'ombre d'un autre du jour au lendemain. S’il avait eu un meilleur ami d'enfance ça aurait mieux marché mais il n'en avait pas. C'était comme ça parfois on se fait plein d'illusion et puis tant que le boulot marchait bien. C'est comme ça qu'après une soirée bien arrosé à cause d'une victoire, il se retrouva sur un toit avec Toshyo à lui faire toutes ses confidences, lui raconter ce qu'il faisait, son projet et pour finir se retrouver au dessus de lui à tenter de le convaincre qu'il était gay. C'était complètement stupide en y réfléchissant, peut être était ce seulement le désir de Lorenz que Toshyo soit gay parce qu'il était hétéro n'est ce pas ? Il lui sorti toutes les bêtises qu'on pouvait sortir, comme quoi qu’il ne fallait pas être étroit de l'esprit, que si il n’était pas gay il ne banderait pas etc... Et finalement non seulement il banda et y prit du plaisir mais il lui rendit la pareille. L'alcool peut être ou pas... c'était étrange, il voulu parler avec Toshyo, le retenir...mais il se fit violemment repousser et se retrouva seul avec l'idée qu'il avait fait une énorme connerie, qu'il s'était passé une mauvaise chose. Il l'avait forcé dans un sens... était il devenu fou ? Il parti rejoindre sa copine pour rester chez elle le reste de la nuit et dessouler. Le lendemain de cette soirée, il sut qu'il devait éloigner Toshyo. Cet événement malheureux le faisait culpabiliser. Trop de culpabilité pour supporter un regard qui pourrait le juger, il n'alla jamais le voir en face, il utilisa un intermédiaire pour lui confier des missions sans réelle importance pour le talent qu'avait Toshyo. Il avait fait une erreur et ne savait comment réagir. S'excuser aurait été pas mal mais ça lui vint pas à l'esprit, dans cette ambiance étrange que les jours passèrent, qu'il se dit qu'il allait devoir retrouver quelqu'un que...plein de chose. La seule chose qui le réconfortait c'était son bébé qui savait dire papa quand il le voyait, sa copine avec qui il était désormais vraiment un couple et auquel il commençait un peu à s'attacher.
Ce qu'il faisait était pas terrible c'est vrai, il y a des périodes ou on n’est pas au meilleur de sa forme ou de son intelligence parfois l'homme peut se montrer très bête. Il savait que Toshyo allait voir des hommes, quel faux jetons franchement et ça se dit pas gay après einh. Enfin en tant que patron il sait bien qu'il faut jamais toucher un employé et il l'a fait voilà ça bousille bien des choses. Un beau jour Toshyo disparu, il se montra vaguement en colère mais le chercha pas plus que ça il avait d'autre soucis en tête. Sans son principal espion c'était plus dur de récolter des informations quand même. Ennuyeux même il devait retourner sur le terrain lui même, il était plus que temps qu'il retrouve quelqu'un et il ne ferait pas la même erreur deux fois, il serait aussi plus réaliste et moins idéaliste. Sans qu'il comprenne pourquoi la porte de son bureau s'ouvrit un beau jour sur … Toshyo alors qu'il était entrain de se couper les ongles en regardant a travers le miroir les quelques clients dans la salle. Bien, il était encore vivant lui, il allait lui rappeler son contrat et l'engueuler comme possible. Il lui portait sur les nerfs le Toshyo même avec son paquet de feuille il le congédia et il lu quand même ce qu'il lui avait apporté... quelque chose de gros, de bien. Malgré ce qu'il faisait subir à Toshyo celui ci travaillait pour lui plus qu'il ne le demandait il...impressionnant. Lorenz brula toutes les feuilles en réfléchissant. Il avait sous estimé Toshyo. Oui...il était temps qu'il passe par dessus ce qui s'était passé et répare cette erreur, il stocka les informations dans sa mémoire comme à son habitude et attendit son retour. Lui rappeler sa place quand même que fallait le prévenir quand il faisait un truc aussi intelligent, juste la morale pour la forme avant de lui proposer d'être son associé, qu'il reprenne sa place de numéro 1 auprès de lui, qu'il soit son principal espion, qu'il soit son tout. Il en était capable il venait de le prouver. C'était le retour aux affaires, la chance qui lui souriait de nouveau, la vie est faite de haut et de bas et leur relation repartait sur de bonnes bases, meilleures qu'avant même si possible sans jamais évoquer ce qui s'était passé, oublié et effacé la vie continuait son chemin et Lorenz menait son projet à bien, il gagnait beaucoup d'argent à chaque fois qu'il obtenait une carte d'une homme important et qu'il la vendait. Lorenz était aimé et haït de ses clients, maitre de leur destin et essentiel à la réalisation de leur projet quand il s'agissait de faire tomber quelqu'un. La vie était belle et pas qu’au niveau des affaires, il venait de se fiancer avec sa copine. Une nouvelle qu'il annonça à Toshyo quand même. Une vie tranquille, une femme aimante, le soleil avant la pluie.
Et quand le soleil fut recouvert par les nuages l'orage éclata.Un soir où il rentrait retrouver sa fiancée, un nuage envahit le ciel. Alors qu'il allait prendre sa douche et se rendit compte qu'il avait oublié un truc dans la chambre et y retourna il trouva sa fiancé entrain de faire ses poches. Une sensation bizarre l'envahit. Elle lui fournit une excuse plausible mais pourtant, comme si il sentait que quelque chose n'allait pas. Il alla prendre sa douche le doute s'insinuant dans son esprit. Un léger malaise qu'il s'efforça de mettre de côté il en parla malgré tout à Toshyo qui le rassura très vaguement. Finalement il décida d'avoir une conversation avec sa futur femme ce qui lui fit le plus grand bien, c'est vrai que le mariage approchait, qu'il devait rencontrer ses parents, beaucoup de stress et des deux cotés, la peur que l'autre le trompe, qu'il s'enfuit avant le mariage. Mais elle l'aimait elle désirait fonder une famille avec lui. Il était vraiment parano parfois, bon il avait des choses à cacher comme son vrai métier, son fils ou sa tante mais....il la trompait pas croyez le ou non elle le satisfaisait pleinement pour qu'il n'en éprouve pas le besoin. Ses doutes furent envolés et le soleil de nouveau là, mais c'était un faux soleil qui brillait. L'amour rend aveugle parfois. Le jour ou Toshyo débarqua dans son bureau l'emmenant dans un bar de beauf il se dit que son associé avait littéralement pété un câble. Septique il le laissa lui prendre son alliance et ce qu'il vit le choqua, un mécanisme que son associé désactiva sous ses yeux se mettant à parler librement. Il était sur écoute...grâce à sa bague mais...c'était impossible. Toshyo jouait avec lui, il allait le défoncer c'était quoi le délire. La bague...la bague. Ce mot tournait dans son esprit sans cesse, c'était une atteinte à son intimité, sa personne. Il réfléchit une colère sourde l'envahissant, c'était un coup du bijoutier, rien d'autre ni plus ni moins. Il allait le buter, il embarqua Toshyo prit sa moto pour foncer chez ce petit bijoutier de ses deux, le faire pisser dans son froc, menacer de lui exploser la cervelle. Il était comme fou lui d'une nature calme et placide habituellement était désormais hanté par un démon qui rêvait de sang, de vengeance. Et la vérité sortie, payé par une jeune femme, celle qui l'accompagnait pour lui vendre cette bague et pas une autre. Sa future femme. Le mensonge, il crut qu'il allait tirer mais son homme de main l'en empêcha et l'emmena loin...loin sur un port. Il ne pouvait croire en la trahison de celle qu'il aimait. Il le fallait bien pourtant, alors il allait la tuer. Il n'avait pas à réfléchir, rien de sensé...mais Toshyo le calma l'aida à retrouver une partie de sa raison. Il réactiva la bague et emballa Toshyo, plus par vengeance, mesquin en se disant qu'elle l'écouterait la tromper cette garce. Il parti à son appart prêt à coucher avec lui et finalement ça se fit pas...trop triste, trop dur, il ne pensait qu'elle, il passa la nuit dans les bras réconfortant d'un homme.
Lorenz passa du temps au bureau avant de retourner chez lui, faire comme si de rien n’était, se forcer à faire l'amour. La vengeance est un plat qui se mange froid. Toshyo travaillait sur le coup, il ferait tomber l'homme derrière tout ça. Cet homme, son ennemi désormais. Le faire tomber prendrait du temps, il s'inquiétait pour Toshyo. Leur relation avait prit un tour charnelle, il n'aurait jamais cru que son associé était du genre passif mais bon c'est comme ça, le plaisir de tromper sa femme ou bien de coucher de nouveau avec un homme et pas n'importe lequel s'il vous plait. Il s'inquiétait quand même un peu pour lui, le voir fatigué c'était pas très bon. La fatigue c'est mauvais, c'est être moins sur ses gardes. Quand tout ça serait fini il sera bien content. Enfin il eut la carte du type. Enfin...il vendit la carte très cher et alla voir sa cher et tendre fiancée, c'était finis pour elle, une semaine à s'amuser, à lui faire payer, petite souris et lui le chat avant de finir par l'achever et se débarrasser du corps. Au fond de lui il aurait eu envie de la croire quand elle disait qu'elle avait été obligée et qu'elle l'aimait mais...c'était trop tard, lui il allait cicatriser son cœur et ne plus jamais s'approcher des femmes, deux fois qu'elles le décevaient ses garces. Mais avec les hommes...Il n’arrivait pas à se mettre en couple avec un homme alors il resterait célibataire avec des amants et puis comme ça et bien...c'était peut être mieux ainsi dans le fond. Le plus surprenant c'est avec Toshyo il continua parfois à coucher avec lui...et puis plus que parfois au bout d'un temps. Ils étaient devenus très proche depuis cette affaire. Toshyo d'ailleurs l'avait un jour surpris alors que Lorenz pour se changer les idées avait fait un mélange bizarre d'herbe qui l'avait rendu chaud comme jamais et malheureusement un peu bavard. Ainsi son associé connaissait désormais une partie de sa carte, sa tante mais dieu merci pas son fils sinon il aurait du le tuer au réveil. Il ferait mieux de pas toucher aux herbes lui il n’est pas herboriste.
L'orage était passé et le soleil de retour.Le retour des affaires, de la vie quotidienne... de plein de chose. Mais bon à force d'avoir trop de carte ça devient dur, pas pour lui mais pour Toshyo surtout. Il était temps d'évoluer, de monter plus haut à l'ascension d'une nouvelle ville, plus grande avec encore plus de monde, il avait déjà commencer à investir dans un deuxième restaurant, de même marque que le premier, des studios ici et là. Il préparait son futur déménagement. Et puis il avait failli perdre Toshyo lorsque ce dernier avait grillé sa couverture et ça ne lui allait pas, temps de changer d'air. Il avait encore besoin de son associé. Son fils avait trois ans il marchait et fiou qu'est ce que ça grandit vite, il le verrait de moins en moins même si il s'en allait seulement à la ville d'a coté revenir ici ça serait...plus compliqué. Il lui manquerait son petit bonhomme à lui. A moins de convaincre sa tante de déménager aussi ? L'avenir le dira et pour eux une autre vie commencerait, il pourrait trouver d'autre gros clients, d'autres nouvelles affaires intéressantes, d'autres homes à mettre dans son lit. Bah oui il n’était pas en couple avec Toshyo va pas se priver des joies de la vie quand même. Limite lui raconter ses coups, ou l'introduire dans ses coups mais bref. Le départ approchait lentement jusqu'au jour ou ils furent prêts pour partir pour de bon rejoindre leur nouveau quartier.
✗ YØUR CHARΛCTER & MØRE 
Lorenzo est quelqu’un de plutôt posé, il ne parle pas beaucoup sauf avec le temps il peut se livrer un peu plus. Mystérieux ? Peut être certaine personne le trouveront ainsi, ou bien intriguant c’est ce que lui a sorti Toshyo une fois mais il n’est pas d’accord. Il n’interdit pas aux gens de poser des questions pour savoir qui il est à priori. C’est parce qu’il a pas beaucoup d’expression qu’on ose pas lui parler, pourtant une fois la conversation engagée, il peut se montrer très souriant et moins sombre. Le naturel de Lorenzo est dur à déchiffrer, de par son métier, il sait se montrer enjoué, hypocrite, adopter un certain type de langage, une certaine gestuelle. Un acteur né ? Possible dans le fond, très possible. C’est le type même qui est indéchiffrable, qu’est ce qui lui ferait plaisir ? On ne sait pas, il est assez susceptible sur certaine chose, surtout si ça le touche de près. Par exemple quand Toshyo a dit qu’il couchait avec n’importe qui et s’en foutait du physique, Lorenz l’a plutôt mal pris. Bon après son ami lui a dit qu’il était quelqu’un de spécial m’enfin. Il aime qu’on lui fasse des compliments voilà, il aime se savoir beau. Oui ses chevilles vont bien mais qui n’aiment pas les compliments après tout. Il n’est pas du genre à déconner, il a un peu d’humour mais pas trop, il n’a pas le caractère pour aller en boite ni rien, c’est un obsédé du travail et de sa famille pour le reste il n’y a rien d’autres dans sa vie…rien d’autre ? Ah si sa moto et ses virées avec Toshyo pour s’aérer l’esprit. Quand au sexe si y en a il est content si y en a pas il s’en fout, ce n’est pas un obsédé sexuelle de base, seulement si l’occasion se présente. Tentez-le avec un peu de charme et un beau physique il se laissera surement aller dans vos bras. Par contre n’espérez pas le faire tomber amoureux, les seuls amours de sa vie jusqu'à présent n’ont été que des femmes, et les hommes des coups d’un ou deux soirs ; Sauf Toshyo avec qui c’est assez stable mais il est spécial. En amitié, Lorenz est quelqu’un de fidèle et loyal, il est protecteur avec les personnes qu’il aime, attaché aussi facilement même si il essaye de ne pas trop le faire voir.
✗ YØUR FΛCE & MØRE 
Lorenz est japonais, il a donc un profil asiatique. Il a les yeux bridés, de couleur marron. Il n’est de taille moyenne, pas spécialement petit mais pas spécialement grand non plus. A vrai dire, Lorenz est quelqu’un de très banal, le genre passe partout. C’est plutôt pratique pour se faufiler un peu n’ importe où sans se faire remarquer. Ses cheveux sont de couleurs naturelles châtains foncés, presque bruns. Ils ne sont pas très long même plutôt courts, des mèches tombent dans sa nuque, dégradés et plutôt pas mal effilés aussi pour que l’ensemble soit léger. Lorenz a un objet fétiche c’est un chapeau qu’il s’enfonce sur le crâne à chaque fois qu’il sort. Il n’aime pas les vêtements colorés et flashy, mais plutôt les vêtements sombres, sobre discret. Malgré tout pour les besoins de son travail il dispose dans ses placards d’un nombre incalculable de tenus de tous les genres et tous les styles. C’est sympa de pouvoir changer de peau de temps en temps non ? Il est le genre d’homme à prendre soin de lui mais sans plus, il ne se maquille pas ni rien, juste un coup de brosse le matin, éventuellement un peu de parfum et encore. Son seul signe distinctif dans son physique c’est son tatouage, le même que celui de Toshyo, un signe cabalistique. Mais à la différence de son associé il se trouve derrière son épaule droite, signe de leur association.
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✗ YØUR FΛMILY & MØRE 
La famille de Lorenz c'est simple et compliqué. Mais commençons par le simple. Tout d'abord comme tous les enfants il a deux parents qui l'ont conçu, Emon et Akina mais qui sont morts dans un accident de voiture. Sa mère, Akina, avait une sœur, Chiyo qui est donc la tante de Lorenz et qu'il considère comme une seconde mère car elle l'a en partie élevé pendant les absences de ses parents. Son père quand à lui était fils unique. Quand aux grands parents de Lorenz, c'est là que ça devient plus compliqué. Il ne les a jamais connus et ne cherche pas à les connaître. Du côté de sa mère, sa grand mère et son grand père se sont fâchés avec leur fille quand elle a choisi d'épousé un ''vulgaire serveur'' et l'ont renié. Et du côté de son père, sa grand mère est morte et il ne reste qu'un grand père qui a perdu la boule après la mort de sa femme et vit dans une maison de retraite bref... ça s'arrête là. Mais Lorenz a cependant une autre famille, sa descendance, il a un bébé de trois ans (c'est plus un bébé j'avoue mais c'est son bébé). La famille de Lorenz aujourd'hui se résume donc, a Chiyo sa tante et Kenzo son fils.
✗ ØTHER Nothing to write about.
✗ IN REALITY Somewhere in the dark of your heart㋛
DÉCOUVERT VIA │
Toshyo㋛
COMMENTAIRES │
Y’a pas de cb et mon social alors TT 
Mer 8 Sep - 22:11
