Ca marche hors du travail?! (pv Nagasaki)

Sanae avait laissé partir son beau policier rentrer chez lui. Le maire avait fini très rapidement ou plutôt bâclé son travail. Il avait réussi à terminer tout ce qu’il avait à faire en moins de 30 minutes. Le maire avait demandé à ce qu’on le ramène chez lui en voiture. Une fois arrivé, il prit une douche rapide et choisi ses vêtements. Il avait choisi une chemise simple en coton gris clair avec un pantalon noir. Sanae s’observa un moment dans le miroir avant de s’apercevoir de l’heure. Il allait être hors tard c’était sûr.

Le maire attrape un manteau long et léger et courut hors de chez lui. Il courut à travers les rues de la ville pour arriver devant le club pile à l’heure totalement essoufflé. Il chercha Nagasaki des yeux et le trouva dans ses pensées adossé à un arbre. Le policier était magnifique sans son uniforme et Sanae resta à l’admirer une bonne minute. Enfin il s’approcha doucement et posa sa main sur le bras de l’homme.

- Sawada-san, je ne vous ai pas trop fais attendre j’espère?

Sanae sourit rouge d’avoir cour juste avant de venir.

Sanae n’était pas en retard, mais naga attendait son arrivé depuis un petit moment déjà. Il souri en remarquant le jeune homme qu’il attendait lui tirer le bras pour manifester son arrivé. Il sourit après les mots du maire.

« Non ça va, ne vous inquiétez pas. C’est moi qui suis trop en avance. »

Dit-il en riant. Il invita le maire a entrer dans le bar. Il l’accompagna à une table pour deux. Ce qui était bien dans ce bar était la possibilité de choisir si l’on voulait rester au comptoir ou non. Après quelques heures auprès de Sanae à discuter de tout et de rien naga fini par lui demander en s’excusant a l’avance


-« Pourquoi n’avez-vous pas peur de moi ? Vous savez pourtant de quel famille je proviens. »

Naga n’avait pas pour habitude d’être si bien traiter par quelqu’un en dehors de sa famille.

« Vous êtes parmi deux personnes que je connaisse à ne pas me rejeter à cause de mon nom de famille ce qui me fait plaisir. »

Naga était heureux car il pouvait prouver à sa famille que l’on pouvait être ami avec un Sawada.