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 Clarence Evans [validée]

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Clarence Evans

Clarence Evans


Nombre de messages : 33
Age : 25 ans
Profession : Policier (non corrompu)
Date d'inscription : 21/03/2009

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MessageSujet: Clarence Evans [validée]   Clarence Evans [validée] Icon_minitimeDim 22 Mar - 0:02

Nom : Evans

Prénom : Clarence

Age : 25 ans

Activité Professionnelle : Jeune policier débutant et donc non corrompu

Physique : Clarence est un homme efféminé, surtout que sa façon de s’habiller en dehors du travail amplifie cet aspect de lui par moment. Une chevelure châtaine, ondulée, mi-longue et dégradée encadre son fin visage. Des yeux lumineux couleur d’ambre ajoutent une belle couleur à l’ensemble, sa peau étant d’une couleur pêche, avec la douceur allant de paire. Ses traits sont fins et asiatiques, des yeux bridés, un nez fin et un peu retroussé, des lèvres pleines juste comme il faut, pas trop volumineuses. Ayant hérité de cette originalité par son père, Clarence mesure à un centimètre prés la taille moyenne d'un homme, mais cela ne le complexe nullement, car, déjà qu’il fait svelte, voir même chétif au début de ses études, être plus grand n’aurait pas été à son avantage, alors, que là tout était harmonie avec ses courbes, portant souvent des pantalons moulants révélant des cuisses à faire pâlir bien des femmes. Il a développé une fine musculature, raffermissant son corps, grâce au sport et son travail, offrant un bon maintien à son dos, cambré d’une jolie façon. La seule chose qui le dérange, c’est d’avoir une faible pilosité, ses jambes étant imberbe. Pour cela qu’il ne porte que des pantalons, et jamais de short, ni de pantacourt. Pour finir, Clarence porte principalement du blanc, du marron et du noir en couleur, restant discret au premier abord, ce n’est que dans les formes et les textures qu’il se permet de l’excentricité : veste avec col de fourrure synthétique, chemise moulante, un côté baroque par moment, il joue avec de tout, tant que le résultat est superbe.

Psychologie :
Clarence est un homme intelligent et des plus sociables, tant que tout va bien. Il est quelqu’un de très doux, que ce soit dans sa façon d’agir, de se comporter avec les autres ou dans ses gestes. Pacifique dans l’âme, il dirige sa vie par des principes qui lui ont été inculqué : tolérance, humanité, honnêteté et modestie étaient les piliers de sa vie. Seulement, le châtain se démontre être complexe, car, bien qu’il soit pacifique, il n’hésite pas à faire part de son mécontentement oralement, avec fougue s’il se sent réellement bafoué, ou encore à agir en douceur pour réparer les torts causés, même si cela ne le concerne pas. Autre point complexe, c’est de considérer sona rme comme une sécurité, même s’il n’en ferait usage qu’en dernier recours.
Il parle beaucoup, agit parfois, mais il n’a encore jamais su prendre son courage à deux mains pour si’nvestir dans des actes sans retour. C’était son premier défaut, une certaine peur et un manque de confiance pouvant l’empêcher d’aller plus loin par moment. Oui, un manque de confiance, lui qui est un surdoué ne se sent que bien que quand c’est en travaillant dans ce qu’il connaît bien, en dehors, il hésite énormément et se contente de faire aux mieux sans se mouiller. Heureusement pour lui, ses connaissances sont vastes, faisant de lui un policier avec de bonnes bases s’arrêtant à chaque détail. Il n’avait cependant pas ce manque de confiance en lui avant certains évènements de sa vie.
Approchons nous maintenant d’un Clarence plus privé. C’est un homme qui a une capacité à parler, sans barrière, et qui est des plus affectueux une fois qu’il vous connaît bien, il sait bien manier aussi les limites d’une relation à une autre, pour se faire accepter et apprécier de tous. C’est un passionné de mode, affichant un goût vestimentaire propre à lui, digne d’un mannequin. Il est très attentionné avec ses proches et ses amis, les cajolant vraiment, mais il ne vaut mieux pas le taquiner, car il voit rarement cela et du genre plutôt susceptible, sans la barrière du professionnalisme, il monte vite sur ses grands chevaux. En amour, on retrouve un homme des plus complexes, qui est un tantinet jaloux et qui ne supporte pas la sensation d’étouffer qui lui vient étrangement vite, faisant qu’il est incapable d’avoir de relation qui dure depuis sa première rupture qui a laissé des traces chez lui, en renfermant quelque chose de précieux au fond de lui, pour tout faire pour oublier, ayant réussit cela en partie, bien que dans son comportement, des gestes et mots soient révélateurs. Et c’est toujours lui qui rompt, sans la moindre exception, car, dès qu’il ressent que quelque chose ne va pas, il coupe court les ponts. Ce n’est pas pour autant qu’il est quelqu’un de facile, bien au contraire, on ne le séduit pas comme cela, et il aime prendre le temps de connaître, de flirter, avant de devenir plus sérieux.
Derrière la carapace de son intelligence et de sa vie plus professionnelle qu’autre chose, se cache un vrai Crystal.
Pour ce qui est des goûts de Clarence, il est un fan de manga, de tout genre, tant que le sujet est intéressant à ses yeux. Il lit beaucoup de romans fantastiques, a une bonne collection de DVD de ce genre de science-fiction et de ce qui parle de catastrophe naturelle. Il aime énormément les animaux, ne portant jamais de vrais fourrures, le cheval étant son préféré, vu qu’il le côtoie lors de ses moments d’équitation. C’est un gourmand aussi, qui a hérité de son père, qui pouvait manger autant qu’il veut sans grossir, et qui est un vrai fanatique du sucre. Pour ce qu’il n’aime pas, la liste serait bien trop longue, vu le monde actuel….

Situation familiale (3 lignes) : Son père a été assassiné. Il n’a plus que sa mère et son demi-frère candidat pour être maire, mais le sera-t-il ?


Dernière édition par Clarence Evans le Dim 22 Mar - 12:58, édité 1 fois
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Clarence Evans

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MessageSujet: Re: Clarence Evans [validée]   Clarence Evans [validée] Icon_minitimeDim 22 Mar - 0:03

Histoire : Clarence est le fruit d’une aventure d’un soir de sa mère, mannequin américaine, avec un médecin japonais nommé Chikashi, premier amour de sa mère, qu’elle revit lors d’une soirée bien arrosée. Cette dernière était mariée à un fameux photographe américain d’une agence d’un magazine très connu de Tokyo. C’était son premier bébé, qui lui avait offert une pause dans sa carrière fatigante, neuf mois à prendre soin d’elle et être choyé par son époux qui pensait être le véritable père. Mais à la naissance de l’enfant tout bascula… Les traits asiatiques du visage du bébé ne pouvait venir du mari de la jeune femme, cette dernière n’ayant aucune origine asiatique également. Il était clair que l’enfant n’était pas du photographe. L’homme s’emporta, certes, lui-même avait trompé un bon nombre de fois son épouse, mais cela faisait partie de son métier… Seulement, il n’acceptait pas que cela se passe dans l’autre sens et qu’il soit cocu… Ne s’étaient-ils pas mariés pour éviter au jeune mannequin de devoir décrocher des contrats au lit ? Et voilà qu’il découvrait que celle-ci n’avait pas hésité à le tromper avec quelqu’un, un asiatique en plus, de toute évidence. Alors que l’enfant dormait paisiblement dans le berceau à côté du lit d’hôpital de sa mère, une dispute éclata entre le couple, la femme se défendant comme quoi ce n’était arrivé qu’une seule fois ! Mais cela tourna mal, le photographe, enragé, chercha à blesser son épouse, énumérant toutes ses maîtresses, leur qualité de fille facile contrairement à elle, avec son côté prude, mais qu’en fait, il accusait de s’être moqué de lui… Une claque, l’homme se retrouva avec une joue rouge et sortit, en déclarant qu’il allait contacter un avocat pour divorcer et qu’elle devra se débrouiller avec ses propres moyens pour avoir des contrats. Il ignora même les pleurs du bébé, que la femme prit dans ses bras, le berçant, en même temps qu’elle, étouffant ses propres larmes….

Deux ans ont passé, Clarence était appuyé contre une chaise, avant de se lâcher, marchant vers l’origine des flash, pour arriver à l’endroit de passage entre maquilleurs, mannequins, stylistes, manquant de se faire bousculer et renverser, tout ce monde pressé ne le remarquant pas. Soudain, des bras qui le soulèvent, doucement, avec tendresse et inquiétude, et il eut un grand sourire, avec un « Maman » ravi. Sa mère, qui venait juste de finir une séance de photos, essoufflée, l’amena avec elle à la loge, le laissant jouer avec la dernière peluche qu’elle lui avait achetée, son fils adorant ces fausses boules de poils. Il s’agissait là d’un ravissant lapin blanc avec de longues oreilles pendantes. La mannequin avait l’air d’avoir minci et son sourire se faisait moins présent qu’au début de sa vie avec son fils, seule. Elle était débordée, maintenant qu’elle n’était plus en congé, gardant la journée son fils, l’amenant pendant son travail, certaines de ses collègues pouvant surveiller Clarence le temps qu’elle pose, et le soir, très souvent, elle le laissait à une nounou, alors qu’elle devait assister à des soirées, ou était invitée au restaurant, pour parler d’un contrat et que la plupart du temps, elle ne rentrait que le matin, fourbue, d’une nuit hors de chez elle… Le petit garçon s’adaptait bien malgré tout à ce rythme étrange, car, quand sa mère était disponible rien que pour lui, ils passaient tous deux des moments inoubliables. Ils étaient inséparables, Clarence si doux et adorable, sa mère si aimante. Vu l’apport de l’argent, lors du divorce, ils avaient une vie convenable, le garçon ayant tout ce dont il avait besoin, sans être gâté.

Vint l’âge où Clarence entra à l’école, sa mère ayant choisit la simple école de quartier, se disant qu’il valait mieux le séparer du monde de la mode, qu’il y avait déjà passé assez de temps, bébé, oui, c’était son « baby » à jamais, l’appelant même encore comme ça à 3 ans. Le garçon avait quand même déjà une influence, il voulait choisir ses vêtements, et n’acceptait pas n’importe quoi, inutile de dire qu’il se fit remarquer ainsi, avec ses traits asiatiques mais un prénom et nom américain, refusant tout net de porter des salopettes ou encore ses horribles polos et pulls, disant à chaque fois qu’il en voyait « pas beau ! ». C’est comme ça qu’il fit pleurer bien de ses camarades, parlant de leur tenue, mais ces derniers le prenant pour eux. Il se démontra très doué et motivé à l’école, calme et très sociable, bien qu’un tantinet capricieux, mais tout se passait fort bien, enlevant un poids sur les épaules de sa mère, qui, bien que moins bousculée dans la vie de tous les jours, déprimait peu à peu, avec la dure vie dans le monde de la mode, saturant de vendre son corps ainsi pour le travail. Mais cette dernière supporta ce train de vie jusqu’aux 9 ans de Clarence qui entra en sixième, ayant sauté deux classes durant la primaire….. Cependant, le trop-plein arriva…

Le jeune garçon venait de faire sa première rentrée au collège, se moquant bien d’être plus jeune que les autres et de s’habiller de façon classe et à la mode, il y avait bien quelques lycéens du lycée d’en face qui l’avait qualifié de « fillette » mais un autre lycéen l’avait défendu, il l’avait joyeusement remercié, tout en lui conseillant de porter des jeans moins grands, avant de filer dans son établissement à lui. Il s’appelait Mayuto, vraiment quelqu’un de gentil à première vue, il avait hâte de raconter sa journée à sa mère. Seulement, personne ne lui répondit, quand il rentra dans le bel appartement, prés du centre ville, pourtant, sa mère devait être rentrée depuis le début d’après-midi. Posant son sac, il chercha sa mère, pour passer devant la chambre de cette dernière qui était dans un désordre pas possible. Il arriva devant la porte de la salle de bain entrouverte, la poussa, pour se retrouver face à sa mère, évanouie, contre la baignoire, de légères coupures un peu partout sur les bras, des bleus, et une marque rouge tout autour de son cou. Clarence paniqua, et c’est les larmes coulant sur ses joues et ayant du mal à parler, en proie à la panique qu’il appela les secours….

La mère de Clarence fut amené au meilleur hôpital privé, pour soigner ses blessures, et c’est là qu’elle revit une vieille connaissance, son premier amour, Chikashi, qui se trouva être le médecin en charge d’elle. Vu que son fils ne désirait nullement retourner seul à l’appartement, Chikashi accepta de prendre le collégien chez lui, le reconnaissant et l’acceptant, ayant son premier fils vivant avec lui, et qui se trouvait être nul autre que le Mayuto croisé tôt ce matin. Clarence se montra cependant bien plus renfermé de son côté, suite à ce qui était arrivé à sa mère, il avait entendu, en se cachant, que c’était le dirigeant d’une agence de mannequin, qui voulait l’embaucher à condition qu’elle se donne à lui et qui aurait fort mal réagis au refus et à la crise de nerf de sa mère qui n’en pouvait plus de faire cela, ne voulant pas que son fils subisse les rumeurs courant sur sa mère et sur les mannequins. Au début, il ne prit que le juste nécessaire, en s’installant momentanément chez les Evans, mais cet hébergement se fit plus long et il s’entendait de plus en plus avec le fils aîné du médecin, prenant de plus en plus d’affaires avec lui. Il se sentait bien, voyant sa mère à l’hôpital, n’étant pas seul, ayant un contact autre que féminin, quelqu’un qu’il côtoyait et embêtait comme un frère, car, il allait dans le même bus que Mayuto pour se rendre en cours, partageant et allant jusqu’à vouloir changer et améliorer les goûts vestimentaires de ce dernier.

Un soir, alors que Clarence avait sur ses genoux un catalogue de vêtement, assis en tailleur sur le lit de Mayuto, en train de montrer des habits qui iraient très bien à ce dernier, il y eut une surprise, sa mère était ici, accompagnée de Chikashi, en pleine forme à nouveau, après ce séjour à l’hôpital pour se reprendre physiquement mais aussi moralement, son premier amour ayant été d’une grande aide pour elle, tous deux s’étant remis ensembles. Ce qui ravit le collégien, enlaçant sa mère et sautant sur Mayuto qu’il appréciait déjà grandement. Ainsi, tout ce petit monde s’installa à la demeure du médecin, Clarence était heureux, il avait gagné une présence paternel et un demi-frère. Une vie normale commença, avec ses réussites scolaires, un loisir qu’il commença, l’équitation, s’adaptant bien à sa fine silhouette, et son affection de plus en plus débordante pour Mayuto, n’arrêtant pas de l’appeler « Aniki » et de dire « je t’aime Aniki ! » ou encore « Daisuke Aniki ! ». Clarence avait développé un goût prononcé pour les mangas, et il réussit superbement son brevet, ayant la meilleure mention. Un fort lien s’était tissé entre eux, fort ambigu, et le jeune homme de 13 ans était nullement intéressé par les filles, il appréciait bien plus les garçons, mais ne cherchait pas un petit ami, bien qu’il avait le comportement et la maturité d’un adolescent de 16 ans. Ce n’était pas comme s’il n’était pas convoité, bien au contraire, bien des lycéens regardaient avec envie Clarence qui ne remarquait en rien leurs regards, se contentant largement d’amitié, mais des choses se disaient sur ce dernier et son demi-frère, vu comment il courait vers celui-ci quand il venait le chercher et était si proche de Mayuto.

C’est comme ça que le meilleur ami de Clarence au lycée en vint à recommander à celui-ci de se trouver quelqu’un, de chercher l’amour, mais le jeune doué ne comprenait pas, il avait tout ce qu’il voulait, de la réussite, des amis, une mère un beau-père et Mayuto son demi-frère. Vint alors la question de son ami sur les rumeurs circulant sur sa relation avec son demi-frère et ses sentiments pour lui. En toute sincérité, Clarence répondit qu’il aimait son « Aniki » et qu’il ne voyait pas ce qu’il y avait de mal, ni pourquoi il s’éloignerait de lui à cause des « on dit », que c’était tout simplement ridicule, il avait le droit d’avoir un fort amour fraternel ! Et il ne changea pas d’avis, aimant sa vie de maintenant, habitant au studio de son demi-frère en semaine, qui était bien plus prés du lycée où il pouvait aller à pieds, et laissant en paix leurs parents. Le temps passa, il était tel un homme de maison parfait, à 15 ans, étant en terminal mais ayant déjà bien plus de temps que Mayuto pour s’occuper du studio. Un soir de printemps, après avoir révisé un bon moment, il venait de faire la cuisine, portant un beau tablier super-tendance qu’il avait acheté, quand son demi-frère arriva avec une bande d’amis, pour passer la soirée ici. Et le voilà qui s’occupa de préparer un repas pour tout ce monde, étant invité à se joindre à eux, joyeusement. Il avait toujours refusé de boire, avec ces soirées-là, mais ce soir-là, il se laissa convaincre, goûtant sa première bière, un premier verre de sake, et ce fut la première fois qu’il fut saoul, incapable de tenir debout. Mayuto décida de l’aider à aller dans sa chambre, même s’il était saoul tout autant, mais, habitué, arrive bien mieux à se déplacer et à contrôler ses gestes. Clarence attrapa à deux mains le visage de son demi-frère, alors qu’il disait au revoir aux amis de ce dernier, pour l’embrasser, pas à pleine bouche, c’était après tout son premier baiser, même si ce ne fut pas en douceur, l’alcool n’aidant pas particulièrement. Les amis de Mayuto les sifflèrent joyeusement, avant de partir, bien bourré pour avancer lentement vers la sortie de l’immeuble, n’ayant pas d’escaliers à descendre, heureusement.

Quant à Clarence, il riait, agrippé à Mayuto, qui tenta de déposer son cadet sur le lit, mais tous deux perdirent l’équilibre et atterrirent sur le lit. Le lycéen ferma les yeux, ayant le poids de son aîné, pour rire à nouveau, réellement amusé, avant de poser son regard d’ambre sur son demi-frère. Murmurant un « Daisuke Aniki », il entoura ses bras autour de son cou, pour sceller ses lèvres aux siennes plus longuement, une chaleur provoquée par l’alcool et cette proximité l’envahissant. Il ne savait pas ce qu’il faisait en se mettant à caresser le dos de Mayuto, sans rompre le baiser, suivant son instinct pour approfondir ce dernier…. La passion s’installa entre eux, son demi-frère suivant et prenant les choses en main, pour être celui qui fit découvrir bien des choses à Clarence, celui qui eut droit à sa première fois, qui, avec l’alcool, fut bien torride. Seulement ils avaient oublié d’éteindre les lumières, et deux des étudiants de la soirée s’étaient arrêté sur un banc du parc de l’immeuble et aperçurent la scène, de ces deux frères faisant l’amour, et, saoul, eurent l’idée de prendre des photos avec l’appareil numérique qu’ils avaient surtout parce qu’ils avaient pris avant la soirée, des photos pour écrire un article pour l’université. Que devinrent ces photos ? Mystère…. Le lendemain matin, tard, Clarence se réveilla, avec un mal de crâne pas possible, mais surtout, il resta allongé, ressentant une douleur au bas du dos très significative. Tournant la tête, sentant quelqu’un bouger à côté de lui, il écarquilla les yeux en croisant le regard de son demi-frère. Se souvenant de la nuit passé, il se sentit paniqué, ses sentiments étaient forts pour Mayuto, il se pourrait qu’il ne supporte pas d’être repoussé par ce dernier. Mais ce ne fut pas le cas, conscient tous les deux du danger, ils entretinrent une liaison secrètement, les volets se fermant souvent tôt dans le studio.
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Clarence Evans

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MessageSujet: Re: Clarence Evans [validée]   Clarence Evans [validée] Icon_minitimeDim 22 Mar - 0:04

Clarence aurait pu être perturbé, avec ses révisions pour le bac, mais non, ce fut comme une continuation plus approfondie de sa vie avec Mayuto. Il obtint ainsi une mention très bien, ce qui se fêta grandement et il s’inscrit ainsi à l’université dans l’optique de devenir policier déjà, féru de justice et d’égalité. 16 ans et il commençait sa vie d’étudiant promettant d’être brillante, et cela se prouva par la suite. C’est ainsi qu’un an passé, avec Mayuto, son petit ami, son amant, son demi-frère… Clarence était en vacances, travaillant en job d’été dans un Mac Donald, pas qu’il manquait d’argent, mais il tenait à se prendre en main et à devenir responsable, de savoir se débrouiller. Un après-midi d’été particulièrement chaud, il rentra pour trouver Mayuto déjà là, ils mangèrent tous les deux, avant de se retrouver au lit, commençant un tendre câlin. Seulement, quelqu’un frappa à la porte, Clarence chassa juste à temps la main de son demi-frère, s’aventurant sous son haut, tous deux se relevant, au moment où leurs parents entrèrent, avec un grand sourire, pensant leur faire une bonne surprise. Le jeune homme, le cœur battant à tout rompre, devant cette peur de la catastrophe, réussit à afficher un sourire de façade qui passa fort bien, et tout fut comme si de rien était avant l’arrivée de leurs visiteurs. Qu’est-ce que ça serait s’ils savaient tous deux que eux amis de Mayuto s avait gardé en secret des photos de leur première fois, bien que n’en parlant à personne… Ils passèrent l’après-midi et le dîner en famille, apprenant que Chikashi était promu en chef du principal service de l’hôpital…. Une fois seul, Clarence baissa les yeux, gêné, en repensant à ce qui avait faillit se passer, le risque étant bien plus fort, et combien de temps pourraient-ils continuer avec cette liaison en secret ? S’était-il trompé sur ses sentiments pour Mayuto ? Non…. Ce fut la discussion entre les deux frères, l’aîné décidant de stopper tout, sans expliquer son impression d’avoir abusé de son demi-frère. Et ils s’éloignèrent peu à peu, Clarence souffrant silencieusement et restant plus longtemps au travail, et qui de changer de ville pour aller à l’école de police la plus réputée.

C’est ainsi que Clarence fit ses adieux à ses parents et à Mayuto, à la gare, promettant d’écrire et de téléphoner souvent, pour garder un bon contact. Une fois dans le train, il s’appuya contre la vitre, ce voyage était essentiel pour lui, mais pourquoi avait-il mal ? Il ferma les yeux, chassant toutes pensées l’anxiété prenant place, avec le décollage…. Ses études se passèrent fort bien, il décrocha la première place à l’examen en fin d’année, il avait eu un début de relation avec un étudiant plus âgé que lui, mais cela n’avait pas duré plus d’un mois. Il revint auprès de sa famille, Mayuto avait commencé à travailler, et ils se virent aux repas de famille, ou en se croisant en ville, ou rarement juste pour parler, tout le monde les voyant comme de bons frères, sans remarquer un quelconque vide entre eux. Il s’installa dans un appartement, ayant gagné suffisamment d’argent, continuant ses études brillamment en retournant au studio sur Tokyo, se faisant une excellente réputation, avec ses petits jobs entre temps, gagnant de l’expérience. Seulement, alors qu’il avait 21 ans, étant à un dîner aux chandelles avec son petit ami depuis 5 mois, il reçut un appel de sa mère… un drame venait de se passer. Laissant planter là son petit ami, sans donner la moindre explication, il se précipita à l’hôpital où travaillait encore son père… Deux hommes armés étaient soudain entrés dans la chambre, où son père s’occupait d’un patient blessé par balle, et ils tuèrent le médecin et le patient qui s ‘était confié à Chikashi, effaçant des témoins sur une affaire louche… C’est ce qu’on leur rapporta, à lui, à Mayuto et à leur mère, cela revenait au même, leur père était mort, n’était plus là pour apporter le réconfort comme il savait si bien le faire. Qu’avaient-ils fait pour mériter cela ? Clarence jeta un coup d’œil à son demi-frère, qui alla s’occuper des formalités, tandis qu’il s’occupa de serrer fort dans ses bras leur mère, laissant des larmes lui échapper, pour éclater de rage une fois seul, dans une chambre, brisant la fenêtre, se blessant à la main, gardant en souvenir une fine cicatrice au creux de sa paume, de ce jour-là. Cicatrice qu’il regarde à chaque fois que son métier l’amène à pouvoir détruire un gang, n’étant pas prêt de céder face à la mafia et de la combattre. Car pour lui, c’était bien la mafia qui avait tué Chikashi…

L’enterrement de cet homme qui avait apporté tant de bons principes, tant d’humanité, tant d’espoir dans cet hôpital amena beaucoup de monde qui rendirent une partie de ce que leur avait donné Chikashi à la famille en soutient, bien qu’avec discrétion, car la lutte contre la criminalité n’était pas encore bien organisé, pour pouvoir afficher son avis sans risque. Clarence, une fois la cérémonie finie, salua sa mère et son demi-frère, pour se diriger vers son petit ami, qui était resté un peu à l’écart, mais quand ce dernier posa sa main sur son épaule, il la chassa brutalement, sans dire un mot, retournant à la voiture. Et un mois plus tard, il rompait avec son petit ami, 8 mois, cela avait été sa plus longue relation depuis qu’il s’était raisonné, d’après lui. Il ne cherchait pas à savoir ce qui l’empêchait d’avoir une relation stable et qui dure. Clarence termina avec succès ses études à 22 ans, commençant par travailler dans un commissariat de Tokyo pendant trois ans, menant une vie plus ou moins paisible. Puis il obtint un poste dans le commissariat de la ville de son enfance, bien que dégoûté par ce monde de mafia, il serait prêt des siens pour les protéger. Il gagnait moyennement sa vie mais cela lui suffisait. Il lia quelques amitiés au travail, en plus de l’équitation, il commença à faire du tennis avec ces connaissances, tout en allant voir sa mère ainsi que Mayuto chaque week-end quand il le pouvait, cette dernière se reprenant de la mort de son époux lentement.

A 25 ans, Clarence avait montré une excellente efficacité pour devenir lieutenant, même s’il sentait que même dans son milieu de travail, on lui mettait des bâtons dans les pieds. Il continuait sa vie, ayant encore moins de contact avec Mayuto qui ne le prévint pas de sa candidature au poste de Maire, ni ne demanda son soutien… Ce dernier était devenu bien étrange, mais que pouvait-il y faire ? Il en était à prier que celui-ci soit tout de même élu, ne suivant pas plus que cela, se concentrant bien plus sur son travail, car, il n’en manquait pas dans cette ville..


Autre (Si vous avez autre chose a ajouter) : Une cicatrice au creux de sa paume droite.

Puis si quelqu’un est intéressé à l’idée de faire son demi-frère (en maire ou pas, plutôt corrompu au fil du temps mais à discuter), mp moi ! ^.^



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MessageSujet: Re: Clarence Evans [validée]   Clarence Evans [validée] Icon_minitimeJeu 26 Mar - 18:51

desolé pour l'attente de reponse mais je n'ai pas le net en ce moment. Validée trés bonne fiche^^ (ca fais plaisir) et amuse toi bien, je ferais ton aparte ton rang etc ce week end mais tu peu commencer a poster.
Amuse toi bien
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MessageSujet: Re: Clarence Evans [validée]   Clarence Evans [validée] Icon_minitime

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