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 Misaki Mori or Chiba?

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Vaem Harön
Misaki Mori
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Misaki Mori

Misaki Mori


Nombre de messages : 114
Age : 24 ans
En couple avec : Mon 38
Profession : Tueur à gage
Date d'inscription : 29/11/2009

Misaki Mori or Chiba? Empty
MessageSujet: Misaki Mori or Chiba?   Misaki Mori or Chiba? Icon_minitimeDim 29 Nov - 7:57

Nom : Mori

Prénom : Misaki

Age : 24 ans

Activité Professionnelle : Tueur à Gage

[Physique :]


L’homme marche sur le trottoir, une cigarette aux lèvres, sans regarder où il va. Il ne risque pas de foncer dans quelqu’un puisque tous se tassent de son chemin en murmurant. Il est vrai qu’il a l’air effrayant. Avec ses cheveux blonds et sa grande stature – environ 1m82 – il a tout l’air d’un étranger. Seul ses yeux bridés trahissent son sang nippon, bien que ses iris soit d’un bleu éclatant. On dit que c’est parce qu’il a l’hiver dans la tête. Un bleu glacial. Aussi glacial que le regard qu’il pose sur vous. L’hiver dans la tête et pourtant un champ de blé sur le crâne. Il passe une main dans ses cheveux mi-longs tandis que l’autre vient prendre la cigarette du coin de sa bouche. Ses lèvres sont intactes. Aucune cicatrice à cet endroit. Ses mains sont grandes, chaudes et rêches. Elles ont été abîmées trop souvent pour avoir l’air douces. Ses doigts aux jointures apparentes semblent décharnées à cause de leur longueur et crochus à force d’être brisés. Il fait de grand pas, ses longues jambes semblant le porter sans effort. Il expire un nuage de fumés dans le visage d’un passant qui se met à tousser violemment, mais se retient bien de se mettre en colère. Le métisse à l’air d’un délinquant avec ses jeans usés jusqu’à la corde, sa camisole blanche tachée de sang et sa chemise noire passé par-dessus. Bien que ce soit là sa garde-robe de tout les jours – tâches de sang incluses – il lui arrive de troquer ces loques pour quelque chose de plus chic : un pantalon de cuir, une chemise de soie… Il ne change jamais de soulier, par contre. De grosses bottes de cuir noir, maintenues par de grosse lanière et garnie de bout en acier ingénieusement caché sous le cuir. Ça peux toujours être utile. L’homme aux yeux bleu soupire et bifurque dans une ruelle. Il emprunte plusieurs détours et abouti finalement dans un cul-de-sac. Il laisse tombé son mégot sur le sol et ne prend même pas la peine de l’écraser. Escaladant la palissade qui lui fait face, il atterrit dans l’arrière-cour de l’immeuble où il habite. Il pousse la porte, monte les escaliers, ouvre la porte comportant le numéro 4. Enfin. Chez lui. Sans attendre, il retire sa chemise et sa camisole. Les jetant négligemment sur le sol, il examine son ventre. Une longue coupure, pas si profonde que ça, lui barre le flan droit. L’homme est bien formé. Pas gros, pas maigre, juste assez musclé. Par nécessité et non par envie. Sur son dos, ses bras, son torse et ses jambes, des dizaines de cicatrices. Certaines rondes – faites par balles – et d’autres longues – katana ou poignard. Sur son omoplate gauche, le kanji de l’arbre.


[Psychologie : ]


Le métis éprouve un étrange mélange de douleur, de dégoût et d’excitation. Il déteste tuer et, pourtant, il n’arrive pas à effacer de sa mémoire l’image de l’homme qu’il vient d’exécuter. Et cela l’excite. Il ferme les yeux, submerger par la véracité de sa démence. Il caresse sa nouvelle blessure du bout du doigt en soupirant. La porte s’ouvre derrière lui et il se retourne vivement, sortant de sa ceinture un pistolet. L’homme blond se détend rapidement. Dans l’entré, un adolescent aux cheveux noirs et ébouriffés. Il retire ses chaussures et lève la tête, l’apercevant finalement. L’homme aux yeux bleus cache vivement l’arme. L’adolescent ne le remarque pas. Son visage s’éclaire.

- Misaki-nii-san!
- Konbanwa, Haku~


Misaki. Voilà un nom qu’il entendait rarement. À l’âge de douze ans il avait troqué ce nom pour celui de Chiba. Seul son petit frère, Haku, continuait de l’appeler par son vrai nom. En fait, plusieurs personne le ferait encore s’il ne leur avait pas interdit formellement. Il ne veut plus entendre qui que ce soit l’appeler de cette façon. Seul les personnes qu’il aime peuvent utiliser ce nom. Et Misaki aime beaucoup Haku, son petit frère. Ils ne se ressemblent pas du tout. Aussi bien Misaki a des cheveux blonds, une peau pâle et des yeux bleus que Haku a des cheveux noirs, des yeux bruns et une peau doré. Le plus jeune s’approche de l’autre et s’arrête soudainement. Son visage se fait dur.

- Tu es encore blessé!
- Désolé, j’ai pas fait attention.
- Bakayaro!

Haku écrase alors son poing contre la coupure encore ouverte. Misaki serre les dents et agrippe le poignet du jeune garçon pour le soulever dans les airs. Avec un rire de gamin, il plante ses yeux bleus dans ceux bruns de l’autre.

- Tu veux que je me mette en colère, Haku?
- C’est pour que tu te souviennes d’être plus prudent! Lâche-moi maintenant! Parce que t’es un imbécile je vais encore devoir passer ma soirée à te recoudre tout ça!
- Tu parles beaucoup trop.
- Humph! Crétin.

Haku traîna son frère jusque dans la cuisine et l’assit de force à une chaise. Il alla chercher la trousse de premier soin et s’assit en face de lui. Le métis arborait un sourire amusé. Il adorait la façon presque excessive dont Haku s’occupait de lui lorsqu’il était blessé. C’était toujours son petit frère qui le soignait car il serait bien trop suspect d’aller à l’hôpital trois fois par semaine. L’adolescent ouvrit la trousse. Avec la rapidité de l’habitude, il sortit les gazes, ciseaux et fils dont il avait besoin. Misaki haussa les sourcils en le voyant sortir un band-aid. Haku l’ouvrit et le mit sur une coupure qu’il avait sur la main. Tiens, l’homme blond ne l’avait pas remarqué. Attrapant un zippo qui traînait sur la table il s’alluma une nouvelle cigarette. Plissant les yeux à cause de la fumée qu’exhalait son frère, Haku coupe un bout de fils.

- Tu devrais arrêter de fumer. Ou du moins réduire la quantité ; tu fumes tout le temps! Tu vas mourir d’un cancer du poumon avant l’année prochaine, je te le dis, moi.
- D’où elle vient cette coupure, Haku?
- Oh! Ça? C’est arrivé quand l’autre type m’as plaqué dans le mur…

Le blond se fige.

- Quel type?

Haku lève la tête, réalisant soudain qu’il venait de dire quelque chose qu’il n’aurait pas dû. Misaki sent déjà la colère monter de sa poitrine jusqu’à sa tête. Haku tente aussitôt de le calmer.

- Bah! C’est quasiment rien! Laisse-moi regarder ta coupure maintenant…

Il tend la main vers la blessure, mais le blond attrape son poignet et le serre avec force. Sa voix se fait douce, sifflante et menaçante.

- Quel type, Haku?
- Hey! Tu me fais mal!
- JE T’AI DEMANDÉ QUEL PUTAIN DE TYPE, HAKU!!

Sans même savoir de qui il s’agit, Misaki s’imaginait déjà en train de tuer ce salop. Lui briser les doigts un a un, lui écraser son mégot de cigarette sur la langue. Lui faire croire qu’il a peut-être une chance de vivre puis, sans aucun regret, lui exploser le crâne en le fixant droit dans les yeux. Il y avait souvent des types louchent qui tentait de s’en prendre à son frangin, simplement parce que c’est son point faible. Mais tous ces enfoirés ignorait à quel point le métis était colérique, sadique et sans pitié. Il avait déjà tué un gars parce qu’il avait proféré une menace contre le jeunot. Une seule. Bam. Jamais il ne laissera son frère être pris dans l'univer mafieux. Misaki serre un peu plus, sans trop comprendre qu’il faisait mal à son frère. Haku explose.

- PUTAIN! MISAKI TU VA ME LÂCHER MAINTENANT ET TE CALMER, NOM DE DIEU!

Sans trop savoir pourquoi, l’homme aux yeux bleus obéi. Haku ramène son bras vers lui et se masse le poignet. Ce genre de dispute éclate souvent, mais ils ne s’en veulent jamais. C’est comme ça, c’est tout.

- C’est personne, okay? J’ai provoqué un balèze en classe et il s’est fâché, okay?

Misaki grogne, dubitatif.

- Si tu continu comme ça je te fais boire trois litres de sake! Maintenant montre-moi cette foutue coupure!

Misaki éclate de rire, toute colère envolée. L’allusion à sa faible résistance à l’alcool le fait franchement rigoler. C’est ridicule qu’un dur à cuire comme lui ne soit pas capable de supporter plus d’un verre de sake. Portant sa cigarette à ses lèvres il laisse Haku observer la plaie.

- Haku… Ça te dirait d’aller à la piscine demain?
- Hum… ouais, bonne idée…

Les deux frères adorent se baigner. En fait, Misaki aime l’eau en général. La pluie, les rivières, la mer, la piscine, la baignoire… Une fois remis à neuf par le fabuleux Docteur Haku, il alla directement se coucher. Perdre du sang, ça fatigue.

~¤~


Une odeur amère et riche. Distante et tentante. Le blond ouvre les yeux et se redresse d’un coup, grimaçant à cause de la coupure. Il hume de nouveau. Aucun doute : du café. Il se lève et se dirige vers la cuisine, uniquement vêtu d’un boxer. Sur le comptoir, une tasse de café noir et un bol de fraise. Le métis sourit de toutes ses dents. Il adooooore le café et les fraises. Haku entre dans la pièce, déjà habillé, prêt à partir faire des courses. Misaki enfourne deux fraises et se brûle allègrement le palais avec le café.

- Doucement! T’es pas obligé de t’ébouillanter pour l’apprécier tu sais!

Il se penche et met ses souliers. Il passe une main dans ses cheveux et pointe la table.

- J’ai vu ces trucs dans les magasins hier. J’ai pensé que t’aimerais.
- Pourquoi pas me les avoirs donnés hier alors?
- Tu dormais.
- Oh.

Misaki tire une chaise et s’assoit à la table avec sa tasse de café et ses fraises. Sur la table, un livre et un porte-clés. Le livre n’est autre qu’un recueil d’histoire de samouraï. Le métis est un amoureux des histoires de samouraï. Il caresse la couverture du bout des doigts puis attrape le porte-clés pour l’observer de plus près. Il prend une gorgé de café. C’est un mezumi-neko, un chat de la chance. Il est… mignon. Haku est bien la seule personne a savoir qu’il adore les trucs mignons. Son honneur en prendrait un coup si ça venait à s’ébruiter!

- Dis donc, je suis choyé ce matin!
- Bof…

Misaki rit. Il est réellement content.

- Haku.
- Quoi?
- Merci.
- … C’est rien.

Misaki gobe une fraise en une seule bouché et lance un regard pensif sur son frangin.

- Dis, pourquoi c’est toujours toi qui va faire les courses?
- Parce que tu ne sais pas compter.
- Ah. C’est vrai.


Misaki n’a jamais été à l’école. C’est à peine s’il sait lire. Il s’entraîne avec les livres que lui achète Haku, mais si c’est trop compliqué il lui demande de le lui lire. Les yeux du métis s’attendrissent en se posant sur le garçon noir. Un décor d’hiver se transformant en ciel d’été. Cela ne dure qu’une fraction de seconde, cependant. Dans le centre de ce cœur de glace se situe une graine. Une semence d’affection qui a oublié de poussé. Juste assez d’amour pour une seule personne : son frère. Pour Misaki, tout les autres sont à détester. Il est empli de haine depuis ce jour… Le jour où il a changé de nom.

[Situation familiale:]


Il vit seul avec son frère depuis des années. C’est sa seul famille. Leur père? Connais pas. S’il est encore en vie, ils espèrent bien jamais le rencontrer. Leur mère? Exécutée d’une balle dans le crâne. Misaki avait douze ans. Haku en avait six.

[Histoire :]


Son cœur bat à tout rompre. Il a l’impression qu’il va défoncer sa poitrine. Sa respiration est saccadée. Il tremble. Il est incapable de bouger, incapable de se relever pour faire quoi que ce soit. Deux personnes lui hurlent des mots, des phrases… des ordres. Il ne sait plus laquelle écouter. Devant lui, un couteau. On lui demande de tuer. Il ne veux pas, il ne veux pas….
BAM!


Misaki a sept ans. Il est caché dans l’armoire à futon avec son frère d’un an dans les bras. Il entend des bruits, plus loin dans la maison. Des éclats de voix colériques, des bruits de verre brisés. Le gamin ne comprenait pas ce qui se passait. Il y a quelques minutes encore, ils étaient dans le salon maman, Haku et lui. Ils s’amusaient avec des blocs de bois. Puis, une voiture s’était arrêtée devant. Une voiture noire. Maman lui avait aussitôt dit d’aller se cacher avec Haku.

- C’est un jeu?
- Oui, on joue à cache-cache! Va te cacher, vite!

Misaki avait prit Haku dans ses bras et était partie en courant, le bonheur plein la tête. Mais maintenant, il n’était plus joyeux. Il avait peur. Que se passait-il? Il entendait les panneaux coulissant s’ouvrir avec fracas, des meubles être renversés. Il commence à trembler, à gémir. Même Haku semble comprendre que quelque chose se passe. Puis, la porte de l’armoire s’ouvre en grand. Un homme complètement vêtu de noir se trouve devant eux. Des larmes montèrent aux yeux du gamin. L’homme sourit et crie : « J’ai trouvé quelque chose…! » Sans avertissement, il se penche et agrippe Misaki par les cheveux. Prenant Haku sous le bras, il traîna le blondinet jusque dans le salon. Le gamin se mit à pleurer, criant de douleur. Haku aussi fondit en larme. Leur mère se mit aussitôt à hurler elle aussi. «Ne touchez pas à mes enfants ! » L’homme lâcha Misaki au pied de la pauvre femme et elle se jeta aussitôt sur lui pour récupérer son plus jeune et éviter qu’il ne le jette à terre également. Haku dans les bras, elle s’accroupit à côté de Misaki pour les protéger jalousement. Le blond s’agrippa à sa mère, essayant d’apercevoir entre ses larmes ces hommes en noirs qui venait d’envahir leur maison. Le gamin ne comprit pas la conversation entre eux et sa mère, mais il écoutait avec attention.

- Il en manque beaucoup.
- Je sais bien! Mais je suis seule, je ne peux pas en amasser aussi vite que vous le demander!
- Quand on emprunte, il faut rendre.
- Mais puisque je vous dis que je n’en ai pas!!

De quoi parlaient-ils? Le ton monta et ils se mirent à hurler. Haku recommença à pleurer. Misaki se plaqua les mains sur les oreilles et ferma les yeux. Il ne veut plus. Partez. Partez tous… Il resta longtemps comme cela. Peut-être s’était-il même endormit. Toujours est-il qu’il rouvrit les yeux seulement lorsque sa mère le força à retirer ses mains de sur ses oreilles.

- Ça va Misaki?

L’enfant hocha doucement la tête. Il lança un coup d’œil dans la maison. Plus aucune trace des hommes en noirs. Sur le divan, Haku dormait. Sa mère soupira et passa sa main dans les cheveux blonds du gamin. De longs cheveux lui atteignant les épaules. Il les laisse pousser parce qu’il veut devenir samouraï. Les samouraï, ça a de long cheveux! Le gamin va se cacher dans les bras de sa mère. Elle le serre de toutes ses forces. Elle tremble.

- Qu’es-ce qu’ils voulaient, maman?
- De l’argent.
- Beaucoup?
- Oui.
- Je pourrais vendre mes jouets?
- Ce ne serait pas assez, trésor.
- Et qui c’était?
- …
- Maman…?

Elle le serre encore plus fort dans ses bras. Il écoute les battements affolés de son cœur. Il n’a pas besoin qu’elle le dise. Il sait qui ils sont.

Ce sont des shinigami.

~¤~


Leur mère devait beaucoup d’argent à une organisation mafieuse. Dans le passé, leur père avait fait beaucoup d’emprunt sur des promesses vides. Maintenant qu’il était partit, c’était maman qui devait rembourser. Et elle le faisait. Misaki s’était toujours dit qu’elle n’avait qu’à s’enfuir très loin et que tout allait s’arranger, mais il ignorait qu’elle était surveillée. 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Si elle tente quoi que ce soit, ce sont ses enfants qui écoperont.

Ils grandirent sur le qui-vive. Maman était rarement à la maison. Elle préparait les repas et expliquait à Misaki quoi faire pour chaque situation et partait travailler. Aussi, Misaki devint autonome rapidement. Il devait s’occuper de Haku, de la maison et de lui-même. Les hommes en noirs revinrent souvent, mais ce n’était plus aussi violant que la première fois que Misaki les avait vus. Misaki n’allait plus à l’école : qui s’occuperait de Haku aussi non? Les années passèrent et cela devint le mode de vie normal. Il en vint même à oublier que les hommes noirs étaient dangereux. Mais, dans l’année des 11 ans de Misaki, maman tomba malade. Elle ne pouvait plus travailler. Elle ne pouvait plus ramasser d’argent. Elle passait ses journées à pleurer. Haku tentait de lui remonter le moral, croyant que c’était parce qu’elle était malade qu’elle était triste, mais Misaki savait qu’elle pensait aux hommes en noirs qui allait bientôt débarquer. Ses cheveux lui atteignaient maintenant le milieu du dos, mais il n’était pas encore un samouraï. Il ne pouvait pas protéger maman et Haku. Alors, lorsque les shinigami arrivèrent, il se laissa traîner docilement. Il avait pris son frère dans ses bras pour éviter qu’on ne les sépares et il était monter dans la voiture noire. Ils avaient fait monter maman aussi, mais elle était assise à l’avant et il ne pouvait pas lui parler. Lorsqu’on les avait fait descendre, il ne savait pas où ils étaient. C’était une grande maison qu’il ne connaissait pas. On les avait mis, maman, Haku et lui, dans une pièce blanche. Maman s’était alors remise à pleurer et les avait pris dans ses bras. Misaki se mit à respirer difficilement. Maman et Haku s’agrippaient à lui et il n’en pouvait plus. Il devait être l’homme de la famille, le fort, celui qui protège, mais il n’en est pas capable. Il n’est pas encore un samouraï! Le shoji glissa de côté et un homme entra. Il sembla les jauger avec dégoût et, peut-être, une pointe de découragement. Il fit signe à leur mère de venir le rejoindre et elle se leva en tremblant de tous ses membres. Elle était encore malade. Ils sortirent.

- Misaki-nii…?
- Nani?
- Oka-san, doko?
- Shiranai…


Haku se blottit contre lui et ils attendirent. Ils attendirent longtemps. Le plus jeune s’endormit, confortablement appuyé contre son grand frère, mais Misaki, lui, ne pouvait pas fermer l’œil. Il voulait voir sa mère. Deux heures plus tard, ils revinrent, l’homme et elle. Elle semblait encore plus malade qu’avant, si possible. Elle resta là, debout, le regard fixé au sol, tandis que l’homme s’approchait des enfants. Sans explication, il prit le bras du blond et lui dit de se lever. Misaki le fit, délicatement, pour ne pas réveiller Haku. L’homme le tira vers la sortit. Maman ne bougeait pas. La vérité commença à l’envahir une fois le seuil franchit.

On les séparait.

Plus précisément : on l’emmenait dans un autre endroit. Pourquoi? Où allaient-ils? Le cœur du garçon s’emballa. Il s’arrêta. L’homme tira sur son bras, lui disant d’avancer.

- Où ont va?
- Tu verras bien! Allez, avance!
- Non, je veux savoir!

Misaki ne le savait pas, mais à ce moment précis, il venait de dépasser les bornes. Mais il continuait. Pourquoi? Où? Comment ça? Non, je ne veux pas! Lorsqu’il essaya de partir en courrant, l’homme péta les plombs. Il l’agrippa et le jeta sur son épaule. Le gamin se mit à hurler, à se débattre. Il mordit le cou de l’autre qui le laissa tomber en portant la main à la morsure. L’homme l’attrapa alors par les cheveux et le traîna carrément dans les couloirs. Ouvrant une porte à la volé, il le prit par le collet et le fit tomber à quatre pattes dans la pièce. Il reprit une mèche de cheveux et lui releva la tête. Misaki vit la pièce, pleine d’arme en tout genre et d’hommes à l’apparence sinistre. L’un d’eux écrasa une cigarette en l’observant.

- Qu’es-ce que c’est que ça? On amène les femmes ici, maintenant?

Des éclats de rire gras. Misaki a honte.

- Je ne suis pas une femme! Je suis un samouraï!
- Tais-toi!

L’homme qui le tient par les cheveux lui enfonce son pied dans le ventre, lui coupant le souffle. Des larmes lui montent aux yeux. Il sait que c’est un mensonge, mais il ne pouvait supporter qu’on se moque de ses cheveux. L’homme qui a écrasé sa cigarette lève un sourcil. Un sourire amusé se dessine sur son visage tandis qu’il sort un couteau de sa ceinture. Il s’approche du gamin en le laissant bien en évidence. Il l’empoigne par le menton.

- Les samouraï…

Il le fixe droit dans les yeux.

- …ça n’existe plus.

Il lève son couteau et empoigne les cheveux blonds. Lorsque Misaki comprend qu’il va les coupés, il se met à hurler. Il empoigne la main de l’homme et essaie de s’esquiver, mais c’est impossible. Les mèches de cheveux se mettent à tomber, comme on coupe le blé à l’automne. Il se laisse retomber à quatre pattes, le regard fixé sur les mèches blondes sur le sol. Il pleure. L’homme au couteau se relève.

- Je m’appelle Ryu. À partir d’aujourd’hui, tu dois m’écouter et la première leçon : des cheveux longs, c’est pour les femmes.

Nouveaux rires gras. Misaki n’a plus honte : il est brisé.

~¤~



- Bordel! C’est pas compliqué pourtant! T’as qu’à le poignarder!

Ils sont en pleine rue, mais c’est désert. Cela fait trois mois que Misaki n’a pas vu ni sa mère, ni Rei. Pour pouvoir rembourser ses dettes, sa mère l’a vendu. Mais il ne lui en veut pas. Il comprend. Et puis, ils auraient pu simplement le tuer et vendre ses organes. Pourtant, ils s’efforcent de le transformer en tueur à gages. S’efforcent, parce que Misaki refuse de tuer. Même cet homme, là, que Ryu tient immobile pour lui permettre de le frapper avec le poignard qu’il a dans la main. Il n’y arrive tout simplement pas. En trois mois, on lui a montré à se servir d’un fusil, d’un poignard et même d’une corde. Cependant, il refuse de tuer qui que ce soit. Ses mains tremblent et la nausée s’est emparée de son estomac. Voyant que le gamin ne le ferait tout simplement pas, Ryu sort son propre couteau de sa main libre et l’égorge, tout bonnement. Le sang gicle et éclabousse le visage de Misaki. Un cri monte lentement de son ventre jusqu’à sa bouche mais avant qu’il ne puisse sortir, un poing vint s’écraser contre sa mâchoire. Le blond s’effondre au sol, complètement K.O. Lorsqu’il se réveille, il est sur son futon et, appuyé contre le mur, Ryu et un autre type, Gantaro, discutent. Sans vraiment le vouloir, li entend une partir de leur conversation.

- … il lui manque la haine.
- La haine?
- Ouais. Pour pouvoir tuer, il faut la haine.
- Si tu crois que j’ai rien fait pour ça! Je n’arrête pas de le frapper et de l’humilier publiquement.
- Tu devrais faire plus.
- Comme quoi?
- Tu…
- Oh! Alors le blondinet s’est réveillé, finalement.

Misaki sursaute. Ryu s’avance jusqu’à lui. Il s’accroupit et le fixe dans les yeux. Misaki n’ose pas bouger. Après un long moment, l’adulte se tourne vers Gantaro.

- Tu as raison. Il n’a pas de haine.
- … Je crois avoir une idée.
- Hum?

Misaki dégluti avec difficulté. L’envi de partir en courant le prend soudainement. Des fourmis s’emparent de ses jambes et il se lève aussi vite qu’un ressort. Il se précipite vers la porte, mais avant qu’il ne l’atteigne, Gantarô l’attrape par le cou et le ramène vers le futon. Il l’écrase sur le ventre. Misaki entend une ceinture se déboucler.

- … et puis ça fait un moment que je n’ai pas été aux putes…


~¤~


Misaki est en boule sur le plancher. Il est dans une pièce qu’il ne connaît pas et il ignore comment il est arrivé là. ET IL S’EN FOU ROYALLEMENT. Tout ce qui le préoccupe, c’est cette douleur, cette atroce douleur dans tout son corps. Il entend la porte s’ouvrir. Il s’en fou. Des bruits de pas. S’en fou. Une présence. Fou. Il lève les yeux. C’est Ryu. Il se rétracte un peu plus, tel un mollusque. Ryu se penche et dépose quelque chose par terre. Misaki s’en fou. Puis, quelque chose à laquelle il ne s’attendait pas.

- Tues-moi.

Misaki lève la tête, les yeux écarquillés. Ryu semble sérieux. Il regarde par terre. Un couteau. Le blond dégluti. Il se redresse en grimaçant. Le tueur à gage répète.

- Tues-moi.

Le cœur de Misaki fait un bond. Il attrape le poignard, comme s’il ne savait pas vraiment ce qu’il fait. Il le lève dans les airs, plante son regard dans celui de Ryu. Sa main tremble. Ses doigts s’ouvrent. La lame tombe. Bruit métallique. Il n’est pas capable de tuer. Tout simplement pas capable. Une effrayante colère, aussi imposante qu’un dragon, s’imprime sur le visage de l’adulte.

- KUSA! Après tout ça! Même après tout ça, tu n’as pas la haine!

Misaki baisse la tête. Ses mains tremblent toujours. Ryu frappe à plusieurs reprise dans le mur et l’écho de ces coups effraie le gamin. Le tueur à gage se calme, respire profondément, puis appèle.

- Gantaro!

Misaki se raidit. La porte s’ouvre, mais il n’ose pas relever la tête. Ce n’est que lorsqu’il entendit une voix familière qu’il osa regarder.

- Misaki-nii!
- Haku?!

Uso. Maman et Haku! Que font-ils là? Gantaro tient Haku par le bras et pousse leur mère sur le sol. Elle tombe facilement, encore affaiblie par la maladie. Es-ce une impression ou Haku as-t-il maigri? Ryu sourit. Il prend sa voix la plus douce.

- Voyont cela comme ça, alors, Misaki-kun. Sois tu me tues…

Gantaro sort un pistolet de sa ceinture et le pointe sur la tête de sa mère. Haku ouvre de grands yeux effrayés. Misaki a envie de pleurer.

- …soit il LA tue.

Sa respiration s’accélère. Que faire? Son cœur bat à tout rompre. Il a l’impression qu’il va défoncer sa poitrine. Sa respiration est saccadée. Il tremble. Sa mère se met à crier.

- Ne le fait pas Misaki! Je suis fière de toi! Fière que tu n’ais tué personne! Ne le fais pas!
- La ferme! Gantaro.

L’homme accentua la pression sur la détente. Ryu se mit à provoquer le gamin tandis que sa mère lui disait de ne rien faire. Il est incapable de bouger, incapable de se relever pour faire quoi que ce soit. Deux personnes lui hurlent des mots, des phrases… des ordres. Il ne sait plus laquelle écouter. Devant lui, un couteau. On lui demande de tuer. Il ne veux pas, il ne veux pas….

BAM!


Misaki sursaute. Il voit sa mère s’affaler par-terre, une mare de sang se formant rapidement autour d’elle. Haku se met à pleurer. Un rictus monstrueux déforme le visage de Ryu. Gantaro pointe son pistolet sur la tempe gauche du gamin de six ans. Non… Non… Non! Misaki prend le poignard et bondit en hurlant, hurlant comme jamais il n’avait hurlé. C’était presque inhumain. Il se jette sur Gantaro, plante la lame dans son ventre et ses dents dans sa main. Il lâche son arme, le souffle coupé. Il lâche Haku, par la même occasion. Il tombe sur le dos, Misaki par-dessus lui. Le gamin de douze ans retire la lame du ventre de l’autre sans porter attention au sang qui lui gicle dessus. Empoignant les cheveux de l’adulte, il lui redresse la tête et, sans aucun sentiment, lui enfonce le couteau dans l’œil. Gantaro ne bouge plus. Haku pleure derrière lui. Ryu applaudit sarcastiquement. Et sans savoir pourquoi, dégouté par lui-même, Misaki est excité.

Non, il n’est plus Misaki…

- Bravo gamin.
- …
- Misaki-chaaaan~?
- Non…
- Hum?
- C’est Chiba.

Je m’appelle Chiba.


~¤~


- Misaki?

Le blond se redresse vivement. Il est confus, observe autour de lui. Haku le regarde anxieusement. Oh… un rêve. Misaki passe une main dans ses cheveux, ferme les yeux, soupire.

- Tu es déjà revenu des courses?
- Déjà? Cela fait trois heures que je suis partit!
- Oh!… Pourquoi m’as-tu réveillés? J’était si bien…
- …
- …?
-… tu disais « Je m’appelle Chiba » dans ton someille. C’était un peu efrayant.
- Oh. Désolé.
- Pas besoin de t’excuser, c’est rien…!
- Non, vraiment Haku, désolé…
- Misaki…?

Désolé Haku, ton frère n’existe plus depuis longtemps. J’ai pris sa place.
Je suis Chiba.

~¤~


Misaki et Haku quittèrent l’appartement ensemble et se dirigèrent vers la piscine publique. Haku parlait et riait et le blond se surpris à penser qu’il aurait été incapable de vivre sans cet adolescent. Et dire qu’il en avait fallu de peu pour qu’ils soient séparés! Lorsque Misaki avait tué Gantaro, cela lui avait prit un moment avant de revenir à ses sens. Il était resté longtemps assis sur le corps, fixant le vide, tentant de faire disparaître cette adrénaline qui restait dans ses veines. Il répétait qu’il s’appelait désormais Chiba. Puis, son regard fût attiré par le corps de la femme à côté de lui. Il ne la reconnaissait pas. Qui était-elle déjà? Et lorsqu’il avait finalement compris, il avait été étonné de ne verser aucune larme. En fait, il était simplement terrifié de ce qui allait arriver à Haku qui continuait de pleurer derrière lui. Ce jour là, il le prit en charge. Il l’adopta, si on peu dire, mais il ne voulait pas qu’on lui fasse subire les mêmes choses que lui. Il ne voulait pas qu’il ait des problèmes, tout simplement. Alors, pour éviter que son précieux petit frère ne se retrouve embobiné dans des histoires louches, il augmenta encore plus sa dette en passant un contrat avec les Yakusas. La famille Sawada n’était peut-être pas complètement insensible, finalement, puisqu’ils acceptèrent.

Il dût, cependant, rester sous la tutelle de Ryu jusqu’à ses 17 ans. L’homme semblait avoir apprécier la fameuse nuit où Gantaro avait eu une idée pour planter la haine dans le cœur du garçon, puisqu’il réitéra l’expérience plusieurs fois. Ce qui était le plus frustrant, c’est que Misaki n’y pouvait rien : pas assez de force physique ou la volonté de désobéir à un canon de 38 pointé sur sa tempe. Lorsqu’il pu enfin s’éloigner de cet homme, il se promit que si jamais il le voyait de nouveau, il trouverait finalement le moyen de le tuer…

Les frères Mori étaient libres, ou presque. Misaki trouva un petit appartement dans la banlieue, juste assez grand pour eux deux, juste assez loin de la ville pour se dissimuler. La porte numéro 4. Shi. Comme la mort. Mais le blond se retrouva bien vite avec des problèmes monétaires. Comme les Sawada n’avaient pas toujours besoin de ses services, il se retrouvait à court d’argent. Et comme il n’avait fait aucune étude, personne ne voulait engager un analphabète comme lui. C’est dans un bar que la chance lui sourit. En fait, c’est grâce à sa faible résistance à l’alcool qu’il trouva la solution à ses problèmes. Cette solution s’appelait Pika. Ou du moins, se surnommait-elle de cette manière. Shuhei Kitagishi, homme excentrique, travaillait dans ce même bar, à l’époque. Il avait observer le blond toute la soirée, se demandant comment l’abordé, mais lorsqu’il c’était carrément effondré sur le comptoir, il en avait profité! Le ramenant dans son appartement du moment, Pika et le garçon aux yeux bleus avaient passé une nuit assez intéressant… Bref, suite à des révélation que Misaki avait fait sous l’effet de l’alcool, Pika était devenu, par cette rencontre du hasard, son informateur. Il trouvait des contrats et en informait le garçon qui n’avait plus alors qu’à s’occuper de la salle besogne.

Misaki se passa la main dans les cheveux et ferma les yeux pour camoufler son malaise à Haku. Cela faisait longtemps qu’il n’avait pas passé la nuit avec Shuhei… Parce que cela devenait trop intime… Un adolescent le tirant par la manche le sortit de ses pensée, et il sourit en oubliant instantanément.


Autre : Misaki est un homosexuel 100% vrai. Il est plutôt connu au Luxurious Club. Il ne travaille pas exclusivement pour les Sawada, mais leurs demandes passent en priorité, à cause de sa dette à rembourser.
Oh! Et fait plutôt interessant : dès qu'il picole un peu trop, il devient docile et, étonnement, mignon.

Où avez vous connus le forum? Trouver par hasard en cherchant « RPG YAOI » sur google.


P.S. J'ai des problèmes avec mon avatar : je n'arrive pas a l'afficher à la bonne taille. Quelqu'un peu m'aider?


Dernière édition par Misaki Mori le Mer 2 Déc - 3:43, édité 10 fois
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Vaem Harön
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MessageSujet: Re: Misaki Mori or Chiba?   Misaki Mori or Chiba? Icon_minitimeDim 29 Nov - 14:49

Eh bien... Quelle fiche !

Bon, j'suis pas encore tout à fait modo officiel, mais je peux déjà te dire que tu sera validé sans problèmes ^^

Pour ton avat', le plus simple, c'est de le mettre à la bonne taille avec paint, photophiltre ou photoshop, de l'héberger, et de mettre l'url d'ébergement dans la dernière ligne sur ton profil ("avatar tiré d'un autre site" je crois).
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Shiki Tôga
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MessageSujet: Re: Misaki Mori or Chiba?   Misaki Mori or Chiba? Icon_minitimeDim 29 Nov - 16:48

Totalement d'accord avec Vaem très très bonne fiche j'adore!
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MessageSujet: Re: Misaki Mori or Chiba?   Misaki Mori or Chiba? Icon_minitimeDim 29 Nov - 19:17

Merciii~ Very Happy

Pour l'avatar, j'ai déjà essayé avec Paint et l'hébergement, mais elle reste de la même taille ^^"

M'enfin~
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MessageSujet: Re: Misaki Mori or Chiba?   Misaki Mori or Chiba? Icon_minitimeDim 29 Nov - 23:09

Bienvenue ^^

pour la taille de ton avatar essaye avec ca :

http://www.xooit.com/app/resize-image.php?new_w=200&new_h=200

Je ne te garantie rien mais ca marche pas mal ^^

kisu
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Misaki Mori

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MessageSujet: Re: Misaki Mori or Chiba?   Misaki Mori or Chiba? Icon_minitimeDim 29 Nov - 23:27

Merciii~~~

Je vais essayée!

*Hug*
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MessageSujet: Re: Misaki Mori or Chiba?   Misaki Mori or Chiba? Icon_minitimeDim 29 Nov - 23:29

Mais de rien ^^ le plus dure c'est de trouver les bonnes dimensions ( comme pour les signa ) mais quand tu les sais y a pas de soucis normalement ^^"
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MessageSujet: Re: Misaki Mori or Chiba?   Misaki Mori or Chiba? Icon_minitimeLun 30 Nov - 0:12

Euf~!

Sur le site, l'image affichait les bonnes dimensions et, pouf!, icim elle retourne à sa phase mini T____T

J'suis pas douée avec les ordinateurs... XDD

Merci quand même...
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MessageSujet: Re: Misaki Mori or Chiba?   Misaki Mori or Chiba? Icon_minitimeMar 1 Déc - 15:40

Belle fiche ^^ Ca manquait des tueurs à gages ici xD Bienvenue !
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Sawada Kenji

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MessageSujet: Re: Misaki Mori or Chiba?   Misaki Mori or Chiba? Icon_minitimeMar 1 Déc - 23:00

Je suis d'accord avec mon frère!!! XD

Bienvenue \o/
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MessageSujet: Re: Misaki Mori or Chiba?   Misaki Mori or Chiba? Icon_minitimeMer 2 Déc - 1:32

Merci~!

*Air sérieux*

J'essairai donc de satifsaire vos attentes de... tuerie XD

cherry

P.S. Uh-oh, j'ai rajouté des choses que j'avais oublié de mettre sur ma fiche~!
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MessageSujet: Re: Misaki Mori or Chiba?   Misaki Mori or Chiba? Icon_minitimeMer 9 Déc - 23:04

Bon très belle fiche donc *-*

Par les pouvoirs qui me sont conférés par le GRAND ET UNIQUE Toshinya...
Tu es validé !
Bienvenue parmis nous et bon jeux !
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Misaki Mori

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MessageSujet: Re: Misaki Mori or Chiba?   Misaki Mori or Chiba? Icon_minitimeJeu 10 Déc - 0:38

*YÉÉÉÉÉÉÉH!*

Merci! TwT

*Se jette à genoux devant Vaëm*

Misaki : >_<"

*Donne un coup de pied à sa joueuse*
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MessageSujet: Re: Misaki Mori or Chiba?   Misaki Mori or Chiba? Icon_minitime

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