Nom : Delauro
Prénom : Tendre
Age : (18 ans minimum) 20 ans
Activité Professionnelle (Choisir en priorité les métiers recherché par le forum) : Homme de main
Physique (Décrire votre personnage en fonction de votre avatar en 3 lignes) : Tendre fait environs 1m 70, il n’est pas particulièrement grand ni ne possède de carrure large d’épaule comme on se fait l’idée de quelqu’un qui se bat pour gagner sa vie. Il est musclé mais peu importe qu’il le veuille ou non, cela reste discret quelque soient ses efforts. Il porte des cheveux roux sombre jusqu’au bas de la nuque et la plupart du temps en bataille. Ses yeux sont étonnement de la même couleur mais le fait que la couleur soit assez sombre fait qu’on ne le remarque pas immédiatement.
Il porte souvent des vêtements assez détendus. Il quitte rarement les jeans et aime à des fois simplement enfiler un blouson fermé jusqu’aux clavicules en guise de haut. Son apparence n’est pas vraiment soignée en temps normal mais il sait très bien faire des efforts quand le besoin s’en fait sentir ou simplement pour montrer à la personne qu’il va voir qu’il l’apprécie.
Psychologie (Le caractère de votre personnage en 5 ligne) : Tendre n’est pas vraiment à l’opposé de son nom. Il s’avère être quelqu’un de très patient et même sait se montrer étonnement compréhensif. Même s’il se fait régulièrement intentionnellement passer pour un idiot, il est en fait très vif d’esprit. Il aime l’érudition et les gens dotés de nombreuses connaissances en un domaine et dès qu’il peut apprendre quelque chose il fait de son mieux pour l’assimiler.
Tendre n’est pas du genre à imposer son autorité. Il est plus à son aise au fait d’obéir à un chef et de suivre les ordres sans discuter. Ca ne l’empêche pas de se renseigner sur ce qui se passe mais ces informations, pratiquement quel, qu’elles soient, ne l’arrêtent pas dans son travail.
Il arrive pourtant certains cas où il réagit de manière totalement différente à son habitude.
Le premier de ces cas est dans les situations où il doit torturer quelqu’un. Extérieurement, il n’en montrera qu’une légère réticence et n’hésitera pas vraiment à dire que ce genre de travail ne lui plaît pas mais, à voir le sadisme et le calme dont il fait preuve face à ses victimes, on peut penser qu’il ne répugne pas autant le boulot que ce qu’il laisse penser. En réalité, cela dépend des cas, selon la personne, il peut vraiment se haïr de ce qu’il fait ou au contraire éprouver une joie immense et malsaine à son activité.
Le second cas est quand ça concerne des enfants. Là, il est totalement incapable de faire du mal à un enfant et cela même si cela va à l’encontre des ordres.
Situation familiale (3 lignes) : Tendre ne connaît pas ses vrais parents. Sa mère l’a vendu quand il n’avait que 4 ans et il ne garde d’elle que des souvenirs de sensations trop diffuses pour êtres expliquées. C’est tout ce qu’il sait de sa vraie famille. Ensuite, il a passé plusieurs années à passer par plusieurs propriétaires et ce n’est qu’à ses 9 ans qu’il a enfin eut une situation stable. Une femme l’a acheté et l’as élevé comme son fils. Cette mère adoptive n’était pas étrangère au royaume de l’illégale. Ancienne militaire, elle travaillait pour le gouvernement de son pays comme sorte de mercenaire chargée de divers assassinas.
Elevé à la fois par cette mère adoptive et par un de ses amis régulièrement présent, il est devenus très proche de l’un comme de l’autre. Ce n’est que plusieurs années après son arrivée qu’il a apprit que l’ami en question était le chef de la mafia du coin. C’est pratiquement en même temps qu’il a apprit qu’en réalité sa mère adoptive était suffisamment riche non pas pour s’acheter un château, mais pour en avoir toute une collection et le tout au bas sens du mot.
A ses 19 ans sa mère est morte, suicidée après la mort de la femme qu’elle aimait. Une semaine plus tard, juste après l’enterrement, il a rencontré un jeune homme qui s’est présenté comme étant un « collègue de travail » de sa mère et qui faisait partie de son unité. Il a dit s’appeler K. K n’est pas un membre de la famille au sens propre mais après avoir emménagé en ville, les deux hommes vivent en colocation et son très proches.
Histoire (10 lignes) :
-Qu’est ce que tu transporte S.H ?
-Du travail pour toi. Approche, pour une fois que tu peux te mêler des affaires des autres !
S’il avait put choisir, c’est à ce moment précis qu’il aurait voulut commencer sa vie.
Juste commencer son histoire à ce simple moment. Bercé par une langue dont il ne saisissait pas le sens, le frottement doux d’un manteau enroulé contre sa peau nue, deux bras serrée autour de son corps, émanant une chaleur faible à travers le tissus qui séparait les deux peaux et cette odeur. Surtout cette odeur, au-delà des senteurs l’alcool et de drogue qu’il connaissait tellement qu’il le pensait à jamais incrusté dans sa peau, il y avait cette autre fragrance. Pas douce ni tendre, forte et corsée, violente même mais avec l’image indécise d’un souvenir qu’il n’arrivait pas à replacer.
Oui, s’il avait put choisir le début de sa vie, ça aurait été en respirant cette odeur qui émanait de cette femme qui ne souriait pas.
Bien sur, à ce moment là, il ne savait pas que les choses changeraient dans sa vie. D’aussi loin que pouvaient remonter ses souvenirs, il avait toujours été un objet dont se servaient ses propriétaires. Battus, humilié et brisé de toutes les manières que ses bourreaux avaient eut à l’esprit. Pour lui, ce n’était qu’un changement de plus et la tendresse qu’avait son nouveau propriétaire de le porter n’était selon lui que du à une envie de domination. Pourtant, il ne se débattait pas. Non seulement, il avait bien comprit que c’était inutile à travers les années mais de plus, la drogue qu’on lui avait injecté pour qu’il se tienne tranquille agissait encore.
Il vit un jeune homme s’approcher de lui et de la femme. La peau blanche, planté dans un jeans troué et un survêtement gris, une casquette de travers sur la tête, il se pencha pour voir l’enfant et ce dernier pût voir son visage passer de la surprise à une sorte de colère mêlée à de la déception.
-Merde, S.H. qu’est ce que tu veux faire de ça ?!
Encore cette langue. Il n’arrivait pas à comprendre quoi que se soit. Il savait qu’il n’était plus au Japon, son ancien propriétaire avait tenté de fuir ses créanciers en partant pour l’Europe. Il avait crût comprendre qu’il était en Suisse mais il ne connaissait pas le nom du langage qu’utilisaient les deux personnes autour de lui.
-Où tu l’as déniché ?
-Dans une vente aux enchères. Je crois qu’il ne comprend même pas le français.
-S.H !!! T’as acheté un gosse ! Je savait pas que t’étais comme ça !
-Ji-Jep ! Arrête de gueuler deux secondes et écoute-moi ! Je veux que tu me trouve des papiers. Je veux l’adopter que se soit mon fils.
Le visage du jeune homme eut un instant l’air surprit avant de finalement se refermé dans une sorte de soulagement. Il se tourna vers lui avant de parler brusquement en japonais.
-Bah gamin, t’es pas rendus avec celle-là.
-Qu’est ce que tu lui as dis ? Tu cause japonais ?
-Parce que pas toi ? Pfffffff, t’es vraiment un cas ! Comment tu vas bien pouvoir lui causer au gamin.
La femme avait gueulé d’un air furax contre le jeune homme et ce dernier s’était éclipsé en se moquant d’elle alors que lui, s’était alors endormit.
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-Ta mère t’a trouvé un nom. A partir d’aujourd’hui tu vas t’appeler Tendre.
-Tendre ?
-Bah tiens, il le prend mieux que je l’aurais pensé. Non mais franchement S.H, t’as pas idée de filer un nom pareil à ton gosse.
Dit Ji-Jep en se redressant sur le vieux canapé où il était assis. L’enfant était simplement droit devant le jeune homme tendus, encore incertain sur sa situation. Depuis trois jours qu’il était avec sa nouvelle propriétaire, elle ne lui avait fait aucun mal et l’avait traité même avec beaucoup de gentillesse. Mais comme il ne comprenait pas ce qu’elle disait, il était mal-à-l’aise craignant toujours d’outrepasser ses droits et de se prendre une correction. Pour le moment, Ji-Jep était la seule personne capable de lui parler et il passait pas mal de temps avec la femme qu’il ne cessait de désigner comme sa mère. La femme répondit tranquillement, debout et adossée à un mur, elle les regardait.
-Il ne s’énerve pas parce que c’est en français et qu’il ne sait pas encore ce que ça veut dire. Mais ça lui va très bien comme nom, j’ai jamais vus un gamin aussi calme et gentil.
-Il a seulement peur de toi.
-Je sais qu’il a peur de moi. C’est normal vu ce qu’il a dut vivre. Mais je dis au-delà de ça.
-Excusez moi mais…j’ai vraiment un nom, j’ai vraiment le droit de m’appeler Tendre ?
Le jeune homme ouvrit la bouche l’air stupéfait et resta figé une seconde. Quand il reprit vie, il tourna lentement la tête vers la femme.
-T’as raison. Ce gosse est vraiment space.
-Bien sur que j’ai raison.
Marmonna la femme en réponse.
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Pendant 10 ans, sa vie ne fut pas calme mais pas vraiment surprenante. Sa mère, Lyra Delauro, était une femme qui avait été dans l’armée pendant pas mal d’année. Elle travaillait occasionnellement sur gros contrats aux coûts s’élevant dans les millions pour un seul travail. Elle apprit à Tendre ce qu’elle savait, comment se battre, se protéger mais aussi d’autres savoirs plus surprenant de sa part comme la Chimie ou l’Astronomie. Par là même, elle lui transmit son goût pour la connaissance et le respect pour les personnes cultivées. Tendre appris aussi beaucoup des bas-fonds à force de fréquenter Ji-Jep. En réalité, le jeune homme était le chef de toutes les activités illégales de la région et menait son univers d’une main de fer juste dans leurs quartiers.
Tendre avait un jour demandé à sa mère pourquoi elle ne travaillait pas avec le jeune homme et elle lui avait répondu qu’elle n’avait pas besoin d’argent et que Ji-Jep et elle s’entendaient tellement bien que si elle avait besoin de quelque chose, il lui viendrait de toute manière en aide. Quand Tendre avait ensuite demandé pourquoi il l’appelait S.H, elle avait sourit avant de lui expliquer ;
-S.H. Pour Sans-Histoire. Parce qu’il ne sait rien de moi. Personne dans le quartier, à part toi, ne sais qui je suis. Je n’ai pas d’histoire.
Vers ses 15 ans, on pouvait dire que Tendre s’était bien intégré au milieu de la pègre. Sous la protection du chef des lieux, il avait la confiance de ses supérieurs et démontra bien vite un grand talent pour intimider les gens ou les faire parler. Mais il refusait de se borner à une seule activité et s’arrangeait pour varier les missions. Il fut surprit de se rendre compte que sa mère, loin d’être gênée de son attitude de délinquant le soutenait d’un air impassible en lui fournissant des informations et des armes. Après tout, elle aussi vivait par criminalité et cela même si le gouvernement était son client.
C’est à cet âge là qu’il a commencé choisit ses armes de prédilections. Une paire de pistolets de 38, DA à percussion central automatique qu’il avait trouvé dans l’armurerie de sa mère. Ceux-ci on subit une petite modification très utile en cas de coups durs.
Puis, à 19 ans, sa mère s’est suicidée et il a rencontré le jour de son enterrement un jeune homme qui a dit s’appeler K et avoir travaillé avec elle. Les deux hommes ont déménagé peu après pour changer de ville et vivent maintenant en collocation. Ils semblent être très proche mais si Tendre refuse de parler de leur relation, personne n’a encore osé poser la question à K qui s’avère être quelqu’un de très violent.
Autre (Si vous avez autre chose a ajouter) :
Il est claustrophobe. Pas au point de faire une crise dans un ascenseur mais il se sent mal à l’aise et si l’ascenseur se coince là il peut s’énerver.
Où avez vous connus le forum? (Pour nous aider à faire connaitre le forum) : Nico m’en a parlé IRL.