Petit jeu entre amis (pv Vaem) [terminé]

Shiki avait réussit à se débarrasser du petit nouveau et pour une fois il faisait acte de présence au poste. Il trainait derrière chacun de ses subordonnés et tenait son rôle de sympathique capitaine même si cela lui tapait sur les nerfs. Shiki avait fait son boulot en partie en classant ses dossiers.

Il fini par s’ennuyer et à trainer dans le poste sans bute. Il passa dans tous les recoins en disant bonjour à tous les employés. Il fit un tour aux archives où il lut fit classé des dossier épineux pour une joli somme et fini par prendre l’air pour fumer une cigarette sur le parvis du commissariat. Il regardait avec intérêt les passant cherchant un partenaire éventuel. Et oui Shiki avait envie de se faire plaisir et quoi de mieux qu’un inconnu? Il cherchait désespérément du regard un homme à sa hauteur qui soit beau et susceptible d’accepter.

Il restait à regardait dans le vague les hommes qui passait faisant plusieurs réflexion sur leur physique attendant le mignon qui le satisferai. Il trouva plusieurs hommes à son gout mais il était soit pris soit hétéro ça n'aidait pas. Il tenta plusieurs approche mais s'en alla vite car de près ils n'étaient pas assez mignon. Il lui fallait un mignon un peu récalcitrant.

En pensant à un mignon récalcitrant il pensa à Vaem il avait fait quelque recherche sur le jeune homme qui avait été très intéressant. Shiki se promit de faire payer au jeune hôte son attitude de la dernière fois de la manière la plus cruel et cru. Il voulait l'avoir dans son lit quoi qu'il en coute.

Cela faisait bien dix minutes que Vaem était dehors, sans chaperon, sans autre chaîne que le traceur dissimulé par le bracelet de force à son poignet, et chaque seconde lui paraissait plus délicieuse et plus précieuse que la précédente.
Il était de hors.
Il était dans les rues.
Il était presque libre...

Que Nico accède aussi facilement à sa demande l'avait étonné, perturbé même : il s'attendait à un refus, il s'attendait à devoir se battre, à tempêter, en venir au mains peut-être, pour obtenir cette petite heure supplémentaires à se balader dans les rues de la ville, sans personne pour le surveiller, à profiter des reflets du soleil couchant sur la mer tout en marchant lentement le long de la promenade de la plage... mais non. Une journée seulement après sa semi-liberté dans le jardin des Sawada, un billet lui était parvenu, signé de la main de l'héritier, l'autorisant à sortir une heure, ce soir, et à en profiter.
Honnêtement, la seule chose manquant à son bonheur était un peu d'argent pour acheter quelque chose afin de combler son ventre vide, mais 60 précieuses minutes de liberté valaient bien ce petit désagrément : il pouvait attendre pour manger.
Comme ivre, il avait déambulé dans les rues, le nez en l'air, les mains dans les poches, toujours gainé dans les vêtements mis le matin même, soit son pantalon noir taille basse moulant aux fesses et sa chemise sans manche, cintrée à la taille, dont la glissière laissait voler les pans afin qu'on puisse voir son ventre plat, son tatouage, mais aussi sa gorge nue décorée de la petite clef d'or blanc qui ne le quittait jamais.
Les yeux verts restaient perdus dans le vague, attentifs à tout ce qui se passait autour de lui, mais aussi distants et posés, comme ailleurs. Sa première action avait été d'aller marcher sur la plage, l'air de rien, et la seconde d'entrer chez un fleuriste-jardinier pour faire mine de s'intéresser aux plantes qu'il pourrait mettre sur son balcon, au Luxurious.
En réalité, il avait surtout repéré les pinces coupantes pour le fil de fer et avait pris soins de s'intéresser aux plantes grimpantes.
Le traceur ne résisterait certainement pas à des cisailles...

Puis, alors que 30 minutes de son précieux temps s'étaient déjà envolées, il avait remonté les rues au hasard, souriant un peu bêtement en croisant des passants, simplement heureux de ne plus être enfermé par aucuns murs, fussent-ils ceux d'un immense jardin.
Et finalement il était passé devant le commissariat. Dans la lune. Sans même s'en rendre compte. Sans même faire attention à l'homme blond qui fumait devant en regardant les passants. L'éclat vert de ses yeux avaient survolés Shiki, une bouffée de vent frais avait ébouriffé les cheveux du jeune homme, et il avait dépassé le policier, lui offrant une vue délicieuse sur sa chute de reins moulée de noir.

Shiki venait d'entamait sa cinquième cigarette quand l'objet de ses pensées passa par là, seul et libre comme l'air. Il devait sûrement s'être enfuit encore une fois. Vaem était habillé de manière aguicheuse ce qui excita l'esprit du policier s'imaginant déjà les scènes les plus obscène qu'ils soient. Sans attendre le policier jeta sa cigarette et l'écrasa du bout du pied. Puis il s'élança à toute vitesse à la suite de Vaem pour ne pas le perdre de vue.

Il n'attendu pas longtemps pour passer les menottes au jeune homme. Faisant claquer la fermeture du premier bracelet, Shiki attrapa l'hôte par la hanche pour le ramener contre lui avec un sourire sadique. Il caressa les fessier ferme du jeune homme avant de se moquer un peu de lui.

- Bonjour Vaem. On se promène seul? En as-tu vraiment le droit mon joli?

Sans attendre la réponse, Shiki passa le deuxième bracelet autour du poignet fin du jeune homme l'amenant de force vers le commissariat avec ses portes grandes ouvertes pour les laisser passer. Le policier traina Vaem sans lui adressait un mot. Il lui fit traverser le hall d'entré puis l'emmena vers les cellules. Shiki avait trouvait un cul, il n'allait surement pas le laisser s'échapper.

Shiki balança Vaem dans une cellule vide et le jeta sans ménagement sur la banquet qui servait de lit. Puis il appela l'officier qui surveillait les cellules.

- Ce jeune homme est un suspect dans une affaire compliquait qui occupe mon service. Je vais l'interroger ici je demande à ce que personne ne viennes me déranger. C'est capital pour le bien être de notre ville.

L'officier de service était assez jeune et impressionnable. Il obéit bêtement à Shiki le prenant pour un bon policier au service de la loi. Puis le capitaine rentra et ferma la porte derrière lui en riant. Tout cette comédie l'amusait, c'était totalement ridicule pour ceux qui le connaissait vraiment.

Shiki pénétra donc dans la pièce en riant du ridicule de la situation. Il s'approcha détendu de Vaem et s'assit sur la banquet au il avait balancé le jeune homme qu'il attrapa avec force le forçant à rester allongé sur le ventre et profitant pour caresser le dos et les fesses du jeune homme.

- Je suis heureux de te revoir mon petit Vaem. Notre dernière rencontre a été assez houleuse et je n'ai pas aimé notre séparation. J'ai senti un gout d'inachevé à vrai dire.

Se rapprochant du visage de Vaem il l'obligea à le regarder en lui imposant une torsion du cou assez intenable. Il s'amusa avec les cheveux.

- J’aurai voulu que cet entrevu se termine par un déchainement de passion mais tu n’as pas l’air d’accord avec ça.

Shiki se releva tout en maintenant Vaem plaquait pour s’allonger sur celui-ci. Le capitaine commença à s’attaquer au lobe de l’oreille et au cou du jeune homme en l’embrassant de façon plus que déplacé.

- Je trouve que tu es très beau aujourd’hui ce pantalon met très bien tes formes en valeur tu as eu de la chance de pas te faire violer…

Shiki commença de lent mouvement pour frotter son sexe contre le corps de Vaem pour déclencher une érection digne de ce nom. Son corps réagit au quart de tour et son il sentait déjà le sang afflué dans sa verge qui commençait à gonfler sous la stimulation que s’apportait le policier.

- … et puis cette chemise met très bien en valeur ton torse.

Il ne l'avait pas vu ni entendu venir.
Trop heureux de pouvoir divaguer au grés de ses envies, il n'avait pas fait attention à ceux qui l'entouraient, et ce ne fut que lorsque le métal froid de la menotte se referma sur son poignet mince qu'il prit conscience du danger.
Mais trop tard. Bien trop tard.
Ses yeux verts rencontrèrent l'éclat fauve de ceux du policier, et la seconde d'après il se retrouvait coinsé contre son torse, une main baladeuse déjà en train de lui caresser les fesses, lui arrachant un violent frisson de dégoût.

-Lâchez-moi ! J'ai parfaitement le droit de...

Le second bracelet de métal se referma sur ses mains avec un crissement sinistre de fin du monde, et le temps que le jeune homme réalise qu'il était de nouveau prisonnier, Shiki le traînait déjà sans ménagement vers le poste, faisant fi de ses hurlements et de ses protestations, de ses arguements comme quoi il avait le droit d'être dehors, qu'on le lui avait permis, que l'autre n'avait pas le droit de l'attacher ainsi. Ruant, criant, se débatant comme un diable, Vaëm essayait en vaint de rallentir la progression de l'autre, se retrouvant bientôt dans l'enceinte du commisariat ou personne ne vint à son secour, puis dans le couloir menant aux cellules dont la simple vue lui glaça le sang.
Il y était déjà venu.
Plusieurs fois même.
Et il savait comme certaines d'entre elles étaient insonorisées.
La terreur le prit.
Il avait déjà vu certains hommes, ou certaines femmes ressortirent de ces cellules, du sang sur les jambes.
Et la dernière fois le flic avait été des plus explicite sur ce qu'il voulait lui faire.
Hurlant de nouveau sa colère et son refus, le jeune homme planta solidement ses deux pieds dans le sol, s'arquant en arrière pour empêcher l'autre de continuer à le tirer.
Ce qui ne servit à rien.
La minute d'après, il était balancé dans l'une de ces cellules insonorisées, puis jetté sans ménagement sur une banquette qui devait servir de lit en temps normal.

Immédiatement, il bondit sur ses pieds afin de se ruer vers la porte de la cellule. Au travers de cette dernière, il pouvait voir Shiki parler avec un gardien qui finit par le saluer et s'en aller, les laissant seuls...

Il n'y aurait personne pour le sauver...
Il ne pouvait compter que sur lui-même.

Reculant, il retourna vers la banquette, prêt à défendre chairement sa peau et surtout ses fesses, mais le rapport de force n'était pas équitable : il avait les mains liées, le ventre vide et des vêtements peut pratiques alors que Shiki était libre de ses mouvements, musclé et en tenue facilitant les mouvements. Après une brêve lutte qui se solda de nouveau par son échec, le jeune hôte se retrouva étendu sur le ventre, mains immobilisées en avant, obligé de subir les attouchements sur ses fesses et son dos sas rien pouvoir faire pour les éviter...

- Arrêtez ça !!!

Son corps s'agitait inutilement sous les larges mains sur flic, cherchant vainement à s'échapper sans avoir le moindre espoir de pouvoir le faire. Crispé des pieds à la tête, il eut confirmation de la peur qui l'avait étreint en voyant la cellule, et profita du fait qu'on lui tordait douloureusement le cou pour voir son visage pour lançait un regard chargé de haine et de colère au commissaire avant de lui cracher tout simplement au visage.
Ses yeux verts étincelaient de rage.

- Et je ne le suis toujours pas !!

Il tenta de profiter du fait que Shiki s'était redressé pour se relever, mais le poids du policier vient rapidement le re-coller à la banquette, lui coupant partiellement le souffle au passage. Un grognement de détresse le échappa... il était complétement incapable de s'opposer à lui.
Des lèvres s'approchèrent de son oreille, la mordirent, puis s'attaquèrent à son cou.
Son cou...
Son point le plus sensible...
Essayant d'ignorer les frissons et le foisonnement d'excitation que provoquaient ces attouchement sur son corps, il donna un coup de reins pour essayer de se débarasser du flic, mais sans succès, encore une fois. La phrase sur le viol lui fit avoir un rire rauque.

- Et je suppose que vous voullez y remédier ?

Le mouvement contre ses fesses étrangla le reste de sa phrase dans sa gorge. Il pouvait sentir le sexe de l'homme grossir rapidement au fur et à mesure de ces stimulations, et s'il s'était écouté, il en aurait sanglotté de rage et de terreur.
Au lieux de ça il banda ses muscles et rua avec brutalité, expédiant le flic au sol et en profitant pour lui envoyer son pied dans la figure au passage. Utilisant le court temps que la surprise lui donnait, il faucha les clefs du flic et bondit vers la porte, tentant frénétiquement d'ouvrir la serrure.
Et enfin celle-ci eut le déclic libérateur.
Et enfin la porte s'ouvrie sur la sortie.
Et la main du flic se posa sur son épaule...

Vaem ne se laissait pas faire sans savoir comment Shiki se retrouva au sol sonné. Le policier reprit ses esprits et vu le jeune hôte en train d'ouvrir la porte. Il se releva un instant en comprenant ce qu'essayer de faire le jeune hôte et sans hésiter Shiki posa sa main sur l'épaule et rejeta en arrière le jeune homme comme si de rien n'était. Shiki s'assura que la porte était bien fermé avant de se retourner passablement irrité vers Vaem.

Shiki attrapa le jeune hôte par les cheveux et le traina vers la banquet. Puis il défit un des bracelet et passa le lien des menottes autour de la barre de fer qui maintenait la banquet au mur. Ensuite Shiki s'amusa à déshabiller tranquillement le jeune homme qui se retrouva la chemise ouverte et le pantalon et le boxer envoyé à quelques mètres d'eux. Enfin Shiki se releva pour observer le jeune homme dans un état de soumission extrême.

- Tu as raison j'ai bien l'intention d'y remédier que tu sois d'accord ou non.

Shiki se ralluma une cigarette et retira ses chaussure et sa veste. Il s'approcha avec sadisme de Vaem et posa le bout de son pied sur l'entrejambe de sa victime. Il imposa quelque pression au jeune homme avant de s'accroupir devant lui et d'éteindre sa cigarette près de la cicatrice qui ornait le torse du jeune homme.

- Tu sais j'ai fais quelque recherche sur toi mon mignon c'était très instructif.

Shiki écarta violemment les jambes de Vaem observant avec froideur la nudité du jeune homme. Il s'amusa à observer un moment le tatouage qui ornait la hanche du jeune. Le policier caresse la peau tatouer avant de regarder avec un grand sourire sa victime.

- Tu t'es fais tatouer ton avenir? Un as de pique, la mort par excellence... Bientôt on te tatouera "propriété des Sawada« .

Shiki attrapa le menton de Vaem pour lui maintenir la tète avant de l'embrasser. Le policier aimait tenter le diable et savait que jamais le jeune homme ne se laisserai pas faire. Se redressant le capitaine gifla Vaem de colère. La joue du jeune homme était rouge dut au coup. Avec un sourire victorieux il fixa son regard dans les prunelles vertes.

- C'était pour le crachat. Nico aurait dut te dresser mieux que ça.

Shiki décida qu'il était peut être temps de commencer se faire plaisir. Le policier ouvrit son pantalon et le baissa avec son boxer. Il enfila ensuite un préservatif avant d'approcher son sexe de l'entrée de Vaem.

- Pas besoin de préparation, je suis sûr que plus vite on aura fini plus vite tu seras content.

Shiki attrapa les cuisses du jeune homme et les écarta le plus qu'il put.

Il avait vu sa seule issue de secour s'envoler en même temps que lui, et s'était retrouvé au sol, le souffle coupé parce qu'il était tombé dans une mauvaise position, un bras sous lui, et sonné parce que sa tête avait heurté le béton tapissant la cellule. A peine avait-il eu le temps de recouvrer un peu ses esprits qu'on l'attrapait par les cheveux pour le traîner sans douceur vers la banquette à laquelle il fut rapidement attaché. Chance dans son malheur, le flic avait lié sa main transpercée par la lame de Nico, la gauche, la mettant hors de portée des coups pour le moment.
La suite se passa non sans résistance, mais toujours de manière aussi peu avantageuse pour l'hôte, qui se retrouva bientôt nu, les jambes serrées, légèrement remontées contre lui pour cacher sa nudité et essayer de se préserver malgré sa vulnérabilité, son regard vert enflammé assassinant Shiki du regard.
L'homme n'avait pas intéret a se retrouver un jour devant lui et une lame...
Il le paierait.

- Tu as raison j'ai bien l'intention d'y remédier que tu sois d'accord ou non.

Un sourire carnacier étira ses lèvres.
Il fallait qu'il morde pour exorciser sa peur, sinon il allait devenir fou...

- Imbécile ! Bien sûr que ce sera sans mon accord, c'est de viol qu'on parle pauvre con !

Il le vit s'approcher et son pied partit, visant l'entre-jambe qu'il ratta de peu, heurtant la hanche, tandis que l'autre lui atteignait sa cible. Un gémissement de douleur s'échappa des lèvres du garçon, et sa main libre vint se crisper sur le molet du flic, essayant de le repousser, tandis que ce dernier exerçait diverses pressions sur son membre, irradiant ses cuisses de douleur plus que de plaisir, le faisant parfois crier, comme n'importe quel homme que l'on maltraite à cet endroit là.
L'extinction de la cigarette contre sa peau, elle, ne lui tira pas un son.
Et pourtant ce n'était pas faute d'avoir mal. Il avait l'impression que son téton à proximité avait prit feu en même temps que la chair, et une attroce odeur de fumée mêlée a la chair brûlée lui envahissait les narrines. Mais l'autre ne semblait pas prêt à s'en tenir là...
Lui écartant violemment les jambes, il se rinça l'oeil, donnant l'impression au jeune homme d'être passé à l'acide partout où le regard ambre se posait.

Et puis les doigts attérirent sur son tatouage.
L'as de pique...
Shiki ne pouvait pas comprendre...
Il se l'était fait tatoué après sa "mort", comme signe de renaissance.
Il réprima son envie de pleurer. Tout ça foutut en l'air.
Tout ça pour... ça...

L'autre l'embrassa et il mordit, mordit au sang, jusqu'à ce qu'une gilfe violente fasse baller sa tête sur le côté, le laissant sonné, le crâne en feu à cause de la douleur : la main de Shiki avait heurté l'énorme hématome qui colorait déjà cette partie là de son être, et cela avait eut pour résultat de lui faire voir des étoiles et bourdonner les oreilles.
Doucement, il s'affaissa sur la banquette, comprennant à peine ce que l'autre lui disait.

Jusqu'à la douleur.
Là, entre ses cuisses.
Un hurlement s'échappa de ses lèvres tandis que son corps se cambrait, que ses ongles s'enfonçaient sans ménagement dans le bras du capitaine, pour essayer d'oublier l'attroce déchirure d'une pénétration forcée et à sec.
Shiki était imposant, Vaem plus vierge depuis à peine deux jours...
La peau avait craqué. Du sang lubrifait déjà son intimité et la verge chargée de la ravager.
C'était atroce...

Les larmes noyant ses beaux yeux verts, l'hôte se redressa sur le coude de son bras attaché et envoya le poing de l'autre dans la figure du poulet, cognant, cognant, cognant jusqu'à ce qu'il se retire pour se protéger puis l'immobilise, face contre le mur, le bras gauche attaché à la banquette cruellement tordu en arrière.
Le jeune homme laissa échapper un sanglot en sentant le sang couler sur ses cuisses, puis rua, frappant on ne sait trop comment en plein dans l'entre-jambe du flic.

Vaem défendait sa peau ou plutôt son cul. Il se débattait et Shiki ne pouvait que le violenté un peu plus pour le calmer. le policier le pénétra ans attendra sentant un liquide chaud coulé. Sûrement du sang mais il n'en avait rien à faire. L'hôte ne se calmer pas et se défendait en dépensant bêtement son énergie, en laissant son bras et ses jambes dans tous les sens. plusieurs reprise il avait faillit toucher le policier mais pas de chance il n'avait jamais touché le point qui aurait put faire vaciller Shiki.

Le capitaine dut l'immobiliser en le plaquant contre le mur lui tordant le bras une fois bloquer dans cette position, Shiki donna quelques coups dans les cotes pour calmer le jeune homme. Le policier obligea Vaem à tourner son visage vers lui. Les larmes qui coulait des yeux du jeune homme donnait une expression magnifique. Shiki attendit un eu avant de bouger et approcha ses lèvres du lobe de Vaem.

- Charmant... Je te trouves encore plus mignon comme ça.

Après ça Shiki commença des mouvements violent, sec et rapide. Il n'avait ni de temp^ à perdre, ni de pincette à prendre. Après tout cet homme était un objet. Les mouvements s'intensifiait et le policier gémissait de plaisir. Vaem était crispé ce qui accentuer l'étroitesse du jeune homme. Le capitaine s'arrêta un instant pour rire et regarda avec méchanceté sa victime.

- On ne te dira jamais assez de te détendre.

Après ça Shiki martela Vaem sans s'arrêté jusqu'à arriver à sa délivrance. Il se retenu le plus longtemps pour faire durer ce moment qui était agréable uniquement pour lui. Le sang de Vaem émettait un son humide à chaque mouvement de reins ce qu'appréciait énormément Shiki qui ne put se retenir plus longtemps. Il planta ses dents dans le cou de Vaem et laissa un gémissement étoffé sortir de sa gorge.

Ce moment avait été délicieux et Shiki aurait voulu qu'l dure un peu plus longtemps mais son temps était compter. Sans aucune délicatesse il se retira et repoussa violemment Vaem de manière à ce que celui-ci se retrouve allonger. Puis se redressant, Le capitaine retira le préservatif qui était teintait de rouge qui mit dans un mouchoir et qu'il rangea dans sa poche intérieur. Enfin il se rhabilla s'arrangeant du mieux qu'il put car le sang avait teintait son pantalon qui avait été baisser jusqu'à ses genoux. l fallait qu'il trouve une solution.

- Désolé Vaem on va devoir passer à la partie le moins plaisante.

Shiki détacha le poignet de Vaem et récupéra de ses menottes qu'il rangea avant de commencer à tabasser sans ménagement Vaem. Ses pieds et ses points s'abattaient sur chaque partie du corps du jeune homme. Lorsque celui-ci fut assez amoché le capitaine ressortit de la pièce.

- Je reviens d’ici trente minutes je prépare ta sortie.

Il ferma la porte à clé et alla réglé la paperasse pour la détention de Vaem.

Il ne savait pas ce qui était le pire, l'impuissance ou la douleur... l'impossibilité de résister, l'impossibilité de le repousser, et la douleur qui irradiait entre ses jambes à chaque mouvement de reins s'enfonçant en lui. S'il avait réussit à se libérer de cette présence, ç'a n'avait été que pour se faire calmer à coups de coups dans les côtes jusqu'à ce qu'il ai du mal à respirer. Les yeux baignés de larmes de douleur, il avait sentit qu'on lui tournait la tête et, un peu hargard, il avait contemplé sans le voir le premier homme à faire réellement naître de la haine au creux de sa poitrine.
Il le tuerait...
Peut importait le temps que ça prendrait.
Il le tuerait.
Il le ferait souffrir, longtemps, puis il le tuerait.

S'accrochant désespérement à cette idée qui tournait sans arrêt dans sa tête, il subbit les assauts de l'autre sans plus résister, écoutant avec dégoût son propre sans faire un bruit horrible à chaque mouvement de l'autre entre ses jambes, sa joue tuméfiée reposant contre le béton froid du mur. La douleur était telle que les muscles de ses fesses se crispaient instinctivement pour l'arrêter sans savoir qu'en plus de l'augmenter, cela donnait plus de plaisir à l'homme en train de le violer.
Shiki prenait son pied et lui ne ressentait rien.
Que la douleur. Et la vague sensation du liquide qui coule le long de ses jambes.

Le regard trouble, l'esprit enfermé dans cette petite bulle de haine qui lui permettait encore de ne pas perdre pied, le jeune homme poussa un gémissement plaintif quand les dents s'enfoncèrent dans son cou, accompagnant la jouissance du flic qui venait enfin d'en finir. Une simple pichenette aurait suffit à le faire tomber, mais Shiki n'y alla pas de main morte, l'envoyant valser sur la banquette, l'y laissant tremblant et dérouté quelques secondes, le temps de lui annoncer que ça allait devenir déplaisant (ah ? parce qu'avant ça ne l'était pas peut-être ?) et de donner le premier coup.

Brouillard...

Vaem était roulé en boule sur le sol glaçé de la cellule, les yeux mi-clos, a peine conscient, le corps couvert de bleu, les jambes et les lèvres maculées de son sang qui s'écoulait encore des déchirures de la peau, tâchant le sol de petites goûttes rondes qui avait tendance à s'étaller. Tout son être lui faisait mal, mais même ça ne pouvait pas effacer l'attroce douleur qui lui paralysait les reins à mesure que ses muscles se détendaient et que son corps se rendait compte de l'empleure des dégats.
Il avait essayé de se défendre, un peu, au début, puis avait finit par simplement se protéger le visage de ses bras, le ventre et l'entre-jambe de ses cuisses, et par serrer les dents en attendant que ça passe. Et puis un bout de chaussure ferré était entré en contact avec sa machoire, lui fendant les lèvres, et sa tête était partie en arrière, détruisant la faible protection qu'il avait mit en place contre les coups, et l'enfer s'était déchaîné...

A présent il attendait, baignant dans son propre sang, tremblant, pitoyable, ravagé, que l'autre dispose de nouveau de lui, l'emmène à l'hôpital où le laisse crever là avec indifférence...

Shiki s'était déchainé et avait laissé Vaem dans un état piteux avec une apparence méconnaissable. Shiki ressortit tranquillement et régla l paperasse. Il inscrivit sa victime dans une cellule partager par un violeur présumer, de deux junkies et un alcooliques. Il rédigea un rapport comme quoi il avait interpellé un jeune homme qui avait refusé de décliner son identité et de montrer ses papiers. Une fois cela réglé il retourna dans la pièce avec un calme olympien.

Shiki s'accroupit devant le corps dénudé et ensanglanté de Vaem. Il caressa avec une douceur sadique les cheveux de sa victime. Il embrassa sa joue du jeune homme et le prit dans ses bras. Il l'emmena dans une autre cellule et le laissa se reposer un peu sur une banquette recouverte d'une couverture pour retenir le sang. Il alla ensuite déplacer ses junkie, son alcoolique et son violeur dans le lieu du crime. Puis il retourna dans l'autre cellule et le prit dans ses bras. Il prit l'air le plus paniqué qu'il put et courra dans le couloir trouver ses collègues.

- Nous avons une victime! Il était dans la cellule insonorisé numéro 3. Il a été à première vu tabasser et surement violé! Appeler une ambulance d'urgence.

Après sa petit comédie Shiki déposa Vaem sur un banc dans le hall du commissariat et commença à soigner les plait les plus simple. Ensuite il se pencha vers Vaem lorsque ses collègues l'observer.

- Ne vous inquiétez pas ça va aller! Vous êtes en sécurité on va vous amenez à l'hôpital et prendre soin de vous.

Shiki se félicita intérieurement de sa comédie qui valait bien un prix. Au moins le capitaine avait trouvé une reconversion possible. L'ambulance ne tarda pas à arriver et le bon capitaine dévoué monta avec le pauvre Vaem dans l'ambulance qui les emmenait à l'hôpital où il avait l'intention de prévenir Nico.

Les doigts dans ses cheveux le tirèrent un peu de sa léthargie, et un instant il eut le fol espoir que c'était Nico qui était venu le chercher, que quelqu'un, enfin, venait le tirer de là... mais non, le cauchemar continuait. C'était Shiki qui était revenu, s'étaient ses doigts qui passaient doucement dans ses cheveux, presque avec tendresses, et s'étaient ses lèvres qui se posaient sur sa joue, lui arrachant un haut-le-coeur qui lui fit vomir de la bile et du sang avant que le flic ne le relève.
Le changement de position fut un calvaire qui le fit gémir et perdre conscience pour de bon, inerte dans les bras de son violeur, il fut transbahuté dans une autre cellule où son corps meurtrit essaya en vaint de se reposer un peu avant d'être de nouveau soulevé par un flic en panique...

La douleur, cette fois-ci, lui fit ouvrir les yeux.
Devant eux défilaient un kaléïdoscope incompréhensible d'images, de lampes, de plafonds, et de visages, l'éclat fauve de cheveux blonds, l'éclat bleu d'un uniforme, et puis brusquement, l'immobilité, le contact dur et inconfortable d'un banc dans son dos, sous ses fesses...
Nouveau gémissement de douleur.
Pourquoi ?...

Une ombre se pencha sur lui, cachant la lumière qui lui agressait les pupilles, et il reconnu avec horreur le visage de l'homme penché sur lui. Dans un dernier sursaut de force, sa main se leva et alla frapper le visage, ses ongles cassés y laissant quatre scillons parallèles avant de retomber lourdement sur son torse, l'autre lui assurant qu'il ne craignait rien, qu'il était en sécurité.
Un rire amer lui déchira la poitrine.

- Connard...

Il fit de nouveau un saut dans l'inconscience, jusqu'à ce que l'ambulance arrive, s'épargnant sans doute une vengeance mesquine de la part de Shiki, et ne fit plus aucun retour parmis les vivants jusqu'à son admission à l'hopital.

==> Hopital central / Une affaire urgente

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