Vaem Harön [validé]

..:*:.. Identité ..:*:..

Nom : Harön
Prénom : Vaem

Age : 20 ans

Activité Professionnelle : Nouvel hôte au Luxurious Club

..:*:.. Description ..:*:..

Physique :
Mesurant un petit mètre 70 pour quelques soixante-cinq kilos, Vaem n'est pas très grand pour un homme, ni particulièrement corpulent : taillé tout en finesse et en longueur, il fait partit de ces gens agréables à regarder sans être beaux, qui attirent plus par un magnetisme intérieur que par leur magnificence extérieur. Son corps finement musclé par des années de sports et de diète, bien que très attirant, a du mal à se débarrasser de certaines rondeurs adolescentes, en particulier au niveau des fesses et des traits du visage. Là où sa figure devrait avoir prit la sécheresse et l'angulosité de l'age adulte, il arbore des traits encore juvéniles mais non dénués de charme, soulignés par une paire d'yeux verts particulièrement lumineux et saisissants. C'est d'ailleurs la première chose que l'on perçois chez lui, outre son fessier moulé dans des jeans trop petits et élimés, les deux flaques émeraude sous les cheveux châtains en pagaille...
Niveau habillement, il affectionne les ensembles T-shirt/chemise et les vieux pulls délavés, les jeans basquets et les vêtements confortables. Malheureusement pour lui, du moins jusqu'à ce qu'il se retrouve comme hôte au Luxurious, la plupart de ses affaires sont trop larges ou trop courtes d'une taille : dans la famille, rien ne se perd, tout se refile...


Psychologie :
Farouche. Voilà le mot qui définirais le mieux le caractère de Vaem ainsi que l'expression de son regard lorsqu'il vous défie. Jeune homme d'apparence réservé et peu entreprenant, il possède en réalité une personnalité ambivalente qui à tout de l'animal sauvage. Très fier, à la limite de l'orgueil, il n'a confiance en rien ni personne hormis en sa famille et quelques rares proches qui ont mit longtemps à gagner sa confiance. Habitué à devoir se débrouiller comme il peut pour survivre et aider les siens, il est impulsif, n'a pas froid aux yeux et ne supporte pas d'entraves. Débrouillard, il s'est toujours arrangé pour rester libre malgré ses nombreuses entorses aux règles de la mafia, et supporterait très mal la captivité.
Etrangement, c'est pourtant quelqu'un d'assez sociable, ou du moins qui réussit à donner une apparence de sociabilité lorsqu'il se retrouve dans un groupe, capable de rire et de faire du gringue pour passer du bon temps en compagnie d'étrangers. Mais ne tentez pas d'entrer de force dans son domaine, il se refermerai immédiatement.


Situation familiale :
Vaem est issu d'une famille nombreuse, avec un père cadre dans une petite entreprise, une mère au foyer, et une floppée de frères et soeurs d'ages divers (de 35 ans à 12). Suite à une erreur du père, la famille est dans une situation financière catastrophique et à deux doigts de se faire 'exumer' par la mafia locale à qui ils ont fait un empreint.

..:*:.. Histoire ..:*:..

Vaem Ezkiel Nael Harön est né dans le clair obscure d'un soir d'automne, cinquième enfant d'une fraterie qui en comptera huit, relié à son frère jumeau par la poitrine et l'un des seuls organes dont on ne peut réellement pas se passer : le coeur. Ce qui détermina sa survie par rapport à l'autre enfant ? La chance. Le hazard. Le destin... l'un devait mourir, l'autre devint Vaem, petit garçon de deux kilos cinq dont le coeur oppéré battait désormait à droite, sous une fine cicatrice qui ornerait à jamais sa poitrine. L'enfance fut paisible. Trois après la naissance de petit, une petite soeur voyait le jour tandis que l'aîné de la famille partait à la fac, et l'existance de Vaem fut dès lors marquée par des arrivées et des départs. Arrivées d'enfants, de famille, d'étrangers, départ de frères, de soeurs, du père qui semblait s'appliquer à être absent.
Une enfance normale à vrai dire, aussi normale que possible dans une ville plus dirigée par les guildes du crime que par la police locale. L'adolescence fut beaucoup plus chaotique. Accepté dans un collège, puis dans un lycée, placé sous la houlette des mafieux locaux, et surtout de leurs fils, il découvrit très tôt que tendre l'autre joue ne sert à rien... mieux vaut frapper le premier et surtout savoir courir vite. Avec le temps, les raclées se firent plus rare : même s'il restait mince, Vaem se développait rapidement en agilité et en puissance, devenant bientôt capable de mettre à terre les petites frappes qui lui avaient mené la vie dure pendant ses premières années dans les collèges et se ménageant ainsi une réputation qui lui ouvrit les portes de la liberté. C'est à ce moment là qu'il reçu la clef qu'il porte en pendentif d'une personne assez spéciale pour lui, personne pourtant depuis longtemps chassée de sa mémoire pour les incidents divers de la vie et seulement reconnaissable au petit cadena d'argent que seule la clef peut ouvrir...

Les clopes, l'alcool, les virées... les deals et les escroqueries... à 15 ans, le jeune Vaem était déjà maître dans le domaine de l'argent facile et des magouilles en tous genre, l'ibre comme l'air le jour et enfant modèle le soir à la maison, lorsqu'il ramenait de quoi nourrir un peu mieux la famille qui traversait une mauvaise passe depuis des années.
Et ce fut cette même maîtrise qui manqua de lui couter la vie trois ans plus tard : surprit en plein vol dans une maison cossue appartenant, pour son plus grand malheur, à un membre du gang de la famille Sawada, il découvrit ce jour, ou plutôt cette nuit-là, combien une balle en pleine poitrine pouvait faire mal... et combien il avait de la chance que son coeur ai été déplacé. Laissé pour mort sur le bitume, avec un énorme trou dans la poitrine, il ne dû la vie qu'à la chance, au hazard, ou au destin, et surtout à un clochard passant par là qui, en lui faisant les poches, se rendit compte qu'il était encore en vie... heureux miracle... heureux miracle qui ne laissera en tout et pour tout qu'une vague marque blanche sur son torse et dans son dos, et la possibilité formidable de se faire passer pour mort dans le « milieu ».
Après 6 mois d'hospitalisation, il se « rangea » pour quelques temps, se contentant de suivre ses opérations de loin et de rester bien sagement à la maison, voir sur les bancs de la fac, se découvrant avec étonnement un goût prononcé pour les études supérieur dans le domaine de l'art. Mais cette période de « grâce » ne pouvait pas durer...
Il est étrange de penser que la pire traitrise vient souvent des personnes qui vous sont les plus chères...
Un matin il fut éveillé par le fracas d'une porte qui vole en éclat, sa petite chambre d'étudiant se retrouvant brusquement envahie d'hommes vêtus de noir et armés jusqu'aux dents, la gueule noire de leurs révolvers pointés sur son crâne. Avant qu'il ne réalise ce qui lui arrivait, on l'avait forcé à enfiler une chemise et un pantalon, à se laisser entraver les poignets, se laisser baillonner les lèvres, et on l'avait obligé à sortir dans la nuit, le traînant sans ménagement jusqu'à une voiture aux vitres teintées qui l'avala en même temps que l'inconscience. Lorsqu'il rouvrit les yeux, la nuque douloureuse du coup de cross qu'il y avait reçu, la voiture s'arrêtait à l'arrière du club le plus renomé de toute la ville : Le Luxurious.
On le sortit sans douceur du véhicule pour lui faire traverser la route et entrer dans le bâtiment, lui explicant gentiment, et à force de coups lorsqu'il tenta de s'enfuir, qu'à partir de maintenant il n'était plus un homme, mais une propriété, une propriété vendue par son propre frère ainé en remboursement de dette...
C'est assomé par cette nouvelle, les coups et l'arrachement bien trop brutal de sa liberté qu'il se retrouva à attendre dans l'anti-chambre du bureau de Kioshi Omura que le directeur accepte de recevoir les hommes qui l'escortaient...

[Suite de l'histoire ? Mais dans le bureau de Kioshi ]

..:*:.. Autres ..:*:..

Signes particuliers :
- Plusieurs percings à l'oreille droite.
- Un tatouage en forme d'as de pique stylisé sur la hanche gauche.
- Une chaîne en or blanc avec une clef du même métal en pendentif dont il ne se sépare jamais.
- Une fine cicatrice au niveau du coeur, mais à droite.



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