Arthur Candy, le roi du balais! {fin}

~ Iძεղէἶէé ~


Nom : Candy
Prénom : Arthur
Age : 20 ans
Surnom: On m'apelle Sucre d'Orge, la momie, Cendrillon, bonbon, sucrerie...Tch...mon nom et mon métier semblent donner des idées.
Activité Professionnelle : Homme de ménage du Club




~ Dεʂƈɾἶրէἶօղ ~

Physique :
"Eh! Toi! La Momie! Tu te grouilles ouai?!?"
Et oui, c'est moi. On me reconnait tout de suite à mon visage couvert de pansements et bandages... C'est aussi pour ça que certains m'appellent la "Momie". Seulement à cause de mes bandages, hein?! Je ne suis pas vieux. Loin de là. J'ai un physique juvénile de jeune homme. J'ai 20 ans, heureusement d'ailleurs. Je ne suis pas immense, atteignant avec difficulté le mètre soixante-sept. Je préfère dire que je suis de taille moyenne. Je pèse ensuite, en tout et pour tout cinquante-neuf kilos, dont une bonne partie de muscles bien que ce ne soit pas vraiment visible... Portant des vêtements plutôt larges, il est difficile de deviner que sous cette couche de tissu se cache une belle musculature finement dessinée. Ma peau est plutôt pâle, quoique je sois atteint de faibles rougeurs au niveau des joues, douce au toucher mais... fine. Particulièrement fine. C'est d'ailleurs la raison de ses bandages: je me blesse facilement. Une vraie tare cette peau! Bien jolie à voir, mais très embêtante lorsque l'on est du genre à se prendre en pleine tête tout ce qui passe. Je possède une chevelure courte et hirsute, de couleur brune, avec un très léger reflet roux. Une vrai tête d'épis, d'ébouriffé qui me donne un air "au saut du lit". Ma frange, longue, passe quelques peu devant mon visage et mes yeux noisettes rieur et pétillant. On me dit souvent que j'ai un regard d'enfant. Je possède ensuite un petit nez fin, légèrement retroussé qui me donne un air espiègle et mon nez surmonte deux belles lèvres fines et pâles bien souvent étirées en un sourire jovial. Oui, j'ai un air sympathique, voire naïf. Le genre de mec dont on se dit en le voyant "Purée mais quel gogole celui-là..." Je suis loin d'être idiot pourtant! Je suis juste souriant. Radieux. Ou tout adjectif de ce genre. Certains disent que je suis "beau". J'ai bien du mal à y croire, qui pourrait me trouver beau, moi qui suis recouvert de bandages? Mais l'on me caractérise plus souvent de "mignon". Barf...après tout je m'en fous. Parlons à présent de mon style vestimentaire. Alors, déjà, sortez de votre esprit le gros malabar qui a forcé sur la bière, en salopette. J'ai un style plutôt soigné pour un homme de ménage! Je porte toujours des chemises pour commencer. Chemises rayées je vous prie! On me dit que c'est passé de mode mais j'apprécie. Par dessus cette chemise, ouverte aux niveau des premiers boutons, je porte généralement une veste. Ces deux vêtements dans les tons beige et marron. Puis, un jean, bleu, simple, et des baskets. Et pour finir, bien vissé sur ma tête, mon chapeau fétiche. Oh, je ne le retire que très rarement...C'est le genre de tenue ou je suis bien à l'aise, sans me sentir souillon pour autant.



Psychologie :
Un jour on m'a demandé si je faisais semblant d'être idiot. J'ai répondu que oui. On m'a demandé pourquoi. J'ai haussé les épaules. Voilà pour les autres ce que je suis: le mec bien sympathique, qui fait rire, dont on se moque, mais rien dans la caboche. C'est simple. C'est caricaturé...
C'est voulu.
Tout le monde porte un, ou des masques. Moi, j'ai choisis celui d'une comédie. Faire rire ou sourire les autres, ça me plait, quitte à passer pour le crétin de service. Je suis joyeux oui. J'aide aussi ceux qui en ont besoin. Pourquoi? C'est tout simplement égoïste. L'être humain aime sentir une personne redevable à elle. Je ne dois pas échapper à la règle. Par contre, lorsqu'il s'agit de m'aider moi, c'est une chose impossible! Je ne laisse pas faire, quitte à sembler de mauvaise foi. Je n'aime pas être aidé, même si j'en ai réellement besoin. Être aidé c'est être dépendant. Être dépendant c'est être enchaîné. Et moi, j'aime ma petite vie libre, et je ne veux surtout pas la quitter. C'est aussi pour cette raison que je fuis les relations de couple. Être en couple revient aussi à être enchainé d'après moi... Je crois que je tiens de l'oiseau. Je veux pouvoir aller où je veux quand je le veux. Je ne suis pas si idiot que ça en fait. J'ai fait mes études comme tout le monde... et j'étais très doué. Particulièrement doué. Pourquoi suis-je donc homme de ménage alors? ... Sans doute à cause de ma flemmardise. Oui je suis un petit flemmard, le genre à piquer un roupillon au moment où il ne faudrait pas... Comme je suis du genre à laisser trainer une oreille quand il ne faut pas. Je suis curieux. C'est maladif. Et le fait d'être homme de ménage me permet de passer librement dans les pièces, écoutant de-ci de-là. Cette partie de moi m'énerve! Mais je ne peux lutter. Quand on me laisse dans le doute je VEUX savoir. Même si parfois, ma flemmardise reprend le dessus et je ne cherche pas plus loin que cela...
Je suis un miroir déformant. Je déforme avec brio la vision que l'on porte sur moi. Comme dit plus tôt, on me croit idiot, débile, crétin, et je vous ai expliqué que je ne l'étais pas. Cela se vaut aussi pour ma joie apparente. Non, je ne suis pas joyeux au fond. Je me le fait croire. Vous connaissez le "Malade imaginaire"? Et bien moi je suis le "Joyeux imaginaire". A force d'essayer de me persuader que "je vais bien, tout va bien" j'ai fini par y croire... Et les moments où, la vérité et les souvenirs me revenant en face sont d'autant plus terrible. Je change. Complètement. Une sorte de schizophrénie peut-être? Je deviens alors extrêmement calme et silencieux... ou bien violent. D'une violence ne me ressemblant pas. J'ai horreur de la violence. C'est les moments que je ne contrôle pas. Comme si je sombrait dans l'inconscience, mon corps agit tout seul. Les mots viennent tout seuls, parfois blessants... et lorsque je redeviens moi-même, ou plutôt le "moi" que je me suis créé, ça fait mal. Très mal. Pour moi et les autres.
Je suis peut-être détraqué en fait.

Situation familiale : J'ai des parents, comme tout le monde... Mais je n'ai pas pris de nouvelles d'eux depuis des années. Pour tout dire, après être entré à l'université, j'ai coupé les ponts avec eux, ainsi qu'avec tout les grands-parents, tantes, oncles, parrains, que je pouvais avoir... En fait, je n'avais gardé contact qu'avec ma sœur jumelle, nommée Anna. Mais c'est déjà du passé et à l'heure où je vous parle, elle est morte... Pour ainsi dire, ma situation familiale actuelle se résume à... rien. Le néant.


~Hἶʂէօἶɾε~ :
Je suis né dans la banlieue de Dallas, il y a vingts années de cela. Le jour de ma naissance, je n'étais pas seul à pousser mon premier cri. En effet, environs cinq minutes après moi, naissait ma sœur jumelle, Anna. Nous étions une petite famille tout à fait normale en apparence, digne de "L'American Waw of Life". Nos parents étaient, comme tout parents, autoritaires, mais gentils. A l'école, nous n'avions pas énormément d'amis. Nous n'en avons jamais eu beaucoup, nous refermant sur notre petit duo de jumeaux. Nous étions très bien sans les autres en fait. Anna était ma moitié, j'étais la sienne. Du moins, j'ai toujours vu les choses ainsi. Je n'avais besoin de personne d'autre.
Elle non plus... du moins, je le croyais.
Nous avons grandi ainsi, enfants sages et sans problèmes... Même si ma flemmardises, notamment au niveaux des études, était embêtante. Ah et un chose que j'ai oublié de dire: je n'ai pas toujours était la personne joyeuse et rayonnante d'aujourd'hui. Oui, à l'époque, j'étais plutôt renfermé, silencieux, avec un air grincheux. La seule à pouvoir me donner le sourire était sans conteste ma sœur. Elle, au contraire, était particulièrement enjouée. Doublé d'une beauté qui semblait s'accentuer au fil des années. De nombreux garçons la voulaient. Je les empêchais d'approcher, quitte à en venir aux mains. Cela avait toujours été ainsi. Petit, de même, je restais toujours avec elle. Et quand on me demandait si j'avais une amoureuse je répondais avec ma naïveté d'enfant "ma seule n'amoureuse c'est Anna!". Les parents riaient. Ils ne disaient rien. On n'était des enfants. Mais plus nous grandissions, moins les parents riaient de notre proximité. N'est-il pas normal que des jumeaux soient si proches? Pour moi, oui du moins.
Nous avons passé notre Bac. Fin de lycée. Moi, je continuais d'être proche d'Anna. Toujours... toujours. Sous l'œil méfiant et inquisiteur de nos parents. Je l'aimais ma sœur que voulez vous! Les relations entre frère et sœur ne se résument pas forcément à des disputes. Oui je l'aimais... Peut-être trop en fait. Trop pour un frère du moins. Pour quelqu'un de sa famille. De son sang. A cette époque, il fallu choisir les universités dans lesquelles nous allions aller. Nos géniteurs eurent alors une superbe idée pour nous éloigner l'un de l'autre! Quoi de mieux que de nous envoyer dans une université différente?! Chacune à l'autre bout du pays. J'étais furieux. Mais leur argument était valable: ma sœur ayant eu des résultats excellents à ses examens, et moi, ayant flemmardé et eu mon diplôme tout juste, ne pouvions pas aller dans le même établissement, nos notes ne nous le permettant pas. C'était en partie vrai. C'est ainsi que je me retrouvais séparé de ma jumelle, pour mon plus grand désespoir. Pendant une année entière je ne la vis plus. C'était dur. Très dur. Nous nous appelions souvent. Une fois moi, l'autre, elle. Mais, étrangement, plus le temps passait, plus je devais prendre l'initiative de l'appeler, Anna le faisant de moins en moins. J'en souffrais mais je ne lui disais rien. Elle s'éloignait de moi. Elle se séparait de moi. Et ma personne n'arrivait pas à s'y faire... Je perdais une partie de moi.
Finalement elle ne m'appela plus.
Un jour, j'avais réussi à trouver des jours où je ne travaillais pas pour aller lui rendre visite. Nos parents n'en saurait rien. Je m'étais rendu à son université, avait donné mon identité, et l'on m'avais indiqué la chambre d'étudiante de ma sœur. Lorsque je frappais, je me rendais compte que la porte n'était pas fermée à clef. J'entrais donc. Et là, je la vis. Ma sœur, ma jumelle, Anna, dans les bras d'une autre fille qui l'embrassait. Je ne sais pas exactement ce que j'ai ressenti à cet instant. La peine d'avoir été écarté de la vie de ma sœur, elle, m'oubliant complétement. La colère de l'avoir perdue. De la... Jalousie? Je piquais alors une colère sans précédent, là dans cette chambre d'étudiant. Une colère comme jamais je n'avais eu auparavant. Ma sœur essayait en vain de me calmer. Elle avait peur. Elle ne me reconnaissait pas. Lorsqu'elle me dit ses mots, je me sentis empli d'une grande douleur. Comme si mon cœur se fissurait. Elle était sensé être la personne qui me comprenait. Ma jumelle à moi! Ma moitié! Je quittais alors cette chambre d'étudiant brusquement, la nausée me prenant. Je retournais dans mon université. Ma sœur à essayé de me contacter. De me voir même, mais, je l'ignorais.
Il se passa bien six mois. Les six mois les plus durement vécu de ma vie. A l'échéance de ce temps, j'avais essayé de reprendre contact avec ma sœur. C'est ainsi que j'appris son suicide, survenu une semaine plus tôt. Mon mépris, ma colère envers elle l'avait mise bien bas, de plus, la fille avec qui elle était, sa petite-amie du moment, l'avait quitté brusquement, abandonné. Elle s'était laissée aller. Et voilà qu'elle se pendit. Je crois qu'il ne se passa pas plus d'une semaine que je quittais les études. Je quittais le pays. J'allais loin, ailleurs, là où personne ne me connaîtrait. C'est ainsi que j'échouais dans cette ville. Mon caractère avait changé. J'affichais alors un air particulièrement joyeux... pour cacher ma culpabilité. En fait, j'avais prit la personnalité de ma défunte sœur. Je devenais homme de ménage. J'avais un petit salaire. On m'ignorait. Mais je vivais tranquillement, tentant d'oublier ma douleur derrière un masque de sourire. La douleur d'avoir perdu une personne que j'aimais.
Oui, je l'aimais vraiment... Vraiment trop.

Autre : Arthur aurait visiblement eu des sentiments incestueux envers sa sœur Anna, mais, suite au suicide de cette dernière, il semble être devenu complétement dégouté du sexe opposé, se tournant alors vers les hommes, pour des histoires d'une nuit.




~ Hors jeu ~

Où avez vous connu le forum ? Par un ami nommé google.
Est-ce votre seul compte ?

Oui

Coucou !
Et bienvenue ^___^

Un homme de ménage fufufu

Pour le physique et la psycho, pas de commentaires, tout va bien.
J'attends la suite avec impatience.

Rah =_=
Le patron est toujours le preums...

Rien à dire non plus, si ce n'est que tu devrais te méfier du type aux cheveux rouges là *montre kioshi*

Bienvenue sur le ménage, homme au balai <3

Bon courage pour la fin de ta fiche !

Merci bien et voilà ^^ ma fiche est à présent terminée

Bonne histoire, j'pense qu'on peux valider

Bon jeux ^^

Je te mets dans ton groupe, et je déplace la fiche ^___^

Merci beaucoup ^^ j'ai hâte de commencer