Nom : Subaku
Prénom :Hagino (il préfère être surnommé «Hagi »)
Age : 18 ans
Activité Professionnelle : danseur au Luxurious club en couverture, mais receleur qui revend des objets précieux volés par la mafia.
Physique : Hagi est un vrai oiseau exotique. Il mesure 1m74 pour 54 kilos. Il se fait remarquer par sa longue chevelure rouge sang lui arrivant jusqu’au creux de ses reins. Un de ses atouts qu’il met en valeur par sa coiffure la plus courante : quelques mèches tressées décorées par des bijoux et des grelots ajoutant un charme à ses mouvements lors de ses danses. Sa peau claire est joliment satinée, sans la moindre imperfection. Ses lèvres ont pulpeuses et bien rosées en un appel à la tentation. Son regard est envoûtant, ses yeux d’un rouge foncé rappelant ses cheveux. Un nez fier et droit ajoute une dernière touche à son visage qui n’a rien d’innocent.
Mais ce qui peut le qualifier d’un être de feu ne s’arrête pas là. Son corps est finement musclé, pouvant aux premiers abords le faire passer pour frêle, mais une fois découvert, on pouvait apprécier la vue de ses muscles se contractant quand il se met à danser. Il est d’une grande souplesse et sait mettre en avant tout les atouts de son corps, comme ses fesses fermes et rebondies aussi d’une chute de rein bien cambrée. Il a un tatouage d’un dragon crachant des flammes s’enroulant tout autour de sa colonne vertébrale, une œuvre splendide sur un corps tout autant agréable à regarder.
Hagi n’a pas de style vestimentaire précis, allant du plus simple , jeans et tee-shirt, au plus original, une tenue japonaise ancienne le mettant bien en valeur. Tout cela passant par des tenues pour le travail plus ou moins dénudé…
Psychologie : Hagi est une personne qui a de l’ambition, et qui estime que tous les moyens sont bons tant qu’il a à la fin ce qu’il veut. Il n’a pas peur de se soumettre pour cela, et pourtant, il a un égo assez prononcé qu’il cache profondément en lui. Il valorise tout ce qui est apparence, le rêve, envoûte, et fait même preuve de gentillesse, mais attention à vous, il réclame toujours quelque chose en retour. Rien n’est gratuit, absolument rien. Il est sociable, mais hypocrite à souhait. Le mensonge, il sait le manier aussi bien que les mouvements de son corps. Il est insensible, sans être forcément cruel, non, même s’il peut l’être si on le met réellement en colère ou qu’on le frustre. Il est malin, intelligent, fourbe et sait voir rapidement en un coup d’œil quelle personne pourrait être un potentiel client pour lui. Il ne vend cependant que des objets pas son corps. C’est là que son égo se manifeste ! Il ne s’est jamais laissé dominé ! Celui qui profitera de ses fesses sera forcément une personne importante qui devra payer gros, c’est ainsi qu’il l’entend. Par contre, il est loin d’être puceau… Que ce soit garçons, filles, ou encore consentant ou pas, il n’hésite pas à faire même appel à certains produits pour posséder la personne qu’il veut. Son deuxième plaisir est de frustrer ! Tous ces hommes qui rêvent de l’avoir dans leur lit, leurs yeux le dévorant quand ils le croisent ou le voient danser…. Ils peuvent toujours courir pour l’avoir, il est dan-seur… pas un hôte qui se plie aux envies des clients. Non, c’est souvent l’inverse… Il donne l’espoir de se soumettre, demandant d’abord de l’argent et il n’a offert que les caresses de sa bouche, pour laisser ensuite les hommes sur leur faim de beaucoup plus…
Situation familiale : Sa mère est morte et il ne connaît pas son père. Il ignore donc s’il a des frères ou sœurs, etc… Sa mère était donc une prostituée qui est tombée enceinte d'un de ses importants clients. Pour avoir le droit de garder l'enfant, et donc ne pas avorter, elle a accepté de ne pas révéler son identité.... Est-ce pour protéger Hagi ou éviter des ennuis à son père inoccnu? mystère! Sa mère est maintenant morte, et Hagi est libre comme l'air, aucun frein familiale, ce qui lui est bien agréable bien sûr.
Histoire :Un soir d’été, dans une chambre médiocre d’hôpital, une femme rousse hurla son soulagement alors qu’elle venait de donner naissance à un garçon ayant hérité de sa couleur de cheveux. Cette femme s’appelait Hana Subaku, prostituée dans le plus célèbre bordel de la ville. Malgré qu’elle soit une professionnelle, un accident était arrivé avec un de ses importants clients. Elle étai tombée enceinte… Refusant d’avorter, elle voulait porter l’enfant de cet homme, elle céda pour garder l’anonymat de ce dernier, tant que celui-ci ne faisait rien pour lui faire perdre son bébé. Et maintenant son souhait se réalisait. Elle avait devant elle son fils, se plaisant à retrouver ses propres traits et ceux du père… Quelques jours après, elle retourna à son travail, commençant par aider ses amies, jusqu’à pouvoir recommencer à vendre son corps, il le fallait bien, surtout que maintenant, elle avait un petit à nourrir. Son patron était heureusement compréhensif et trouvait là un moyen de donner du travail à sa propre fille qui devint la nounou d’Hagi, ce bébé roux souriant.
C’est ainsi qu’Hagi grandit avec beaucoup d’amour et peu de moyens. Sa mère avait réussit à louer un petit appartement juste en face de son lieu de travail. Elle était contente que son fils cesse de la réclamer le soir alors qu’elle devait partir. Elle n’ignorait pas que ce dernier souffrait des remarques de ses camarades mais elle le conseilla à tenir tête, de se forger un fort caractère car la vie n’était jamais facile. Hagi prit du poil de la bête peu à peu, prenant le dessus sur les jaloux, les moqueurs et les hautains qui estimaient qu’il n’était pas digne qu’ils lui adressent la parole. Ce n’est pas à l’école qu’il se fit des amis, mais dans la rue ! D’autres enfants de prostituées ou de familles liées à la mafia. Après tout, le patron de sa mère était un mafieux, qui lui proposa à l’âge de ses 16 ans de vendre de la drogue au lycée où il venait d’entrer pour subvenir à ses besoins, maintenant que sa mère ne pouvait plus travailler, gravement malade et hospitalisée.
Hagi savait que sa mère n’en avait plus pour longtemps, autant commencer à gagner de l’argent, surtout qu’il avait le caractère pour… Il connaissait beaucoup de monde au lycée et déjà pas mal de conquêtes derrière lui. Il commença ainsi à faire son premier pas dans la mafia, faisant au mieux son travail. De toute façon il savait qu’il n’était pas fait pour les études, il avait trouvé sa voie, bien qu’il envisageait autre chose que de revendre de la drogue tout de même. Un mois après ses débuts, sa mère décéda d’une maladie inconnue et il se retrouva non majeur et viré de l’appartement qui appartenait à sa mère. Il fut recueilli alors par une amie de cette dernière qui lui fit découvrir, d’abord dans l’optique de le divertir, une nouvelle passion pour lui… la danse. A 17 ans, il avait cessé les cours et il passait ses journées à apprendre à danser, sortir dans la rue voir s’il avait des opportunités pour vendre de la drogue, voler ou une personne réveillant le désir en lui. Il finissait ses soirées dans une rue non loin de son ancien lycée où là, il ne faisait que vendre de la drogue, en bon dealer…. Mais il commençait aussi dans un autre domaine, il connaissait un voleur, travaillant pour la mafia par l’intermédiaire de l’ancien patron de sa mère qui lui demanda de revendre des montres de marque en compagnie d’un rceleur dans un premier temps.
Hagi accepta volontiers cette nouvelle expérience et il démontra très rapidement ses compétences de comédiens pour mettre en confiance, ou encore convaincre un potentiel acheteur malhonnête en trouvant vite des arguments et jouant aussi de son physique…. Il y prit vite goût pour laisser de côté la drogue, maintenant, la mafia avait fait en sorte qu’il soit embauché au Luxurious club, en tant que danseur, où il pouvait ainsi rencontré des gros clients, habituels ou non, et il leur donnait ainsi rendez-vous ailleurs pour discuter affaire, un simple échange de papiers ou de murmures suffisait quand il s’approchait du client pour lui offrir le plaisir de l’avoir à danser contre lui. Sa vie prenait un tournant qu’il aimait, même si ce n’était pas encore ce qu’il voulait. Il était bien sûr surveillé, et il n’était pas rare qu’un receleur plus ancien vienne lui rendre visite pour s’assurer de son bon travail. Seulement, il avait l’impression qu’il s’approchait de plus en plus d’une possible meilleure place dans la mafia, n’hésitant pas à lier des amitiés avec d’autres mafieux et apprendre d’eux l’air de rien…
Autre (Si vous avez autre chose a ajouter) : Rien de spécial.
Où avez vous connus le forum? Deuxième compte de
Clarence Evans.